William Audureau, l’omniscient décodeur du journal Le Monde dont on attend encore la présentation de ses nombreux diplômes et publications académiques pour lui reconnaître le droit d’écrire sur les plus éminents scientifiques, nous propose un article merveilleux intitulé : Les nouveaux climatosceptiques agitent le spectre d’un projet totalitaire. Là où les négateurs du dérèglement climatique craignaient autrefois l’abolition du système libéral ou la menace soviétique, ils empruntent désormais les codes anti-système nés pendant la pandémie de Covid-19. Tout un programme. (Les nouveaux climatosceptiques agitent le spectre d’un projet totalitaire (lemonde.fr))
Juste une petite leçon pour commencer. Faire science, c’est débattre des faits, des résultats des recherches, traiter les objections et critiques portant sur les méthodes, les possibles biais des mesures, la contestation des extrapolations, la qualité des prédictions, les controverses sur la pertinence d’autres modèles, etc. Jamais la démarche scientifique ne glose sur les personnes, leurs appartenances philosophiques ou religieuses et elle ne pratique jamais l’attaque ad hominem où les explications sociologiques. Force est de constater d’emblée que le journal Le Monde et son fameux décodeur ont fait foi de propagande anti-scientifique. Car depuis que je lis leur prose sur le climat, je n’ai jamais lu le moindre article sur le fond.
Alors que des prix Nobel de physique émettent des réserves motivées scientifiquement, critiquant les calculs, les modèles, leur pertinence, leur construction, leur hypothèse, que lisons-nous… Rien. Quelques extraits démontrent ici une bonne foi pour toutes que le climat est devenu l’otage d’un combat idéologique anti-scientifique par construction où le journal Le Monde apporte son crédit, bien mince en matière scientifique tout de même, pour nous prouver qu’il fait de l’anti-science. Lisez :
« Historiquement, les arguments niant le changement climatique ou la responsabilité humaine dans celui-ci étaient portés par trois grands types d’acteur : des lobbys industriels, des conservateurs et des scientifiques en marge de leur communauté, comme le détaillent les historiens des sciences Naomi Oreskes et Erik Conway dans le livre de référence sur le sujet, Les Marchands de doute (Le Pommier, 2012). »
Où sont les arguments, où sont les réponses scientifiques ? Une dernière fois. Rien. Et pour cause, on disqualifie, on discrédite à tour de bras. Non, deux prix Nobel de physique, ce sont des incompétents notoires qui n’ont rien à dire en matière de discipline et méthode scientifique. On n’étudie pas, on classe, on veut faire autorité. Erik Conway est un écrivain et historien américain parmi des milliers et Naomi Oreskes est professeur d’histoire des sciences à l’université de San Diego en Californie. Combien de professeurs d’histoire des sciences y a-t-il en ce moment dans nos universités ? A-t-elle produit un travail épistémologique qui la mettrait au niveau de quelques contributeurs prestigieux : Kuhn, Feyerabend, Lakatos, etc. Un livre parmi d’autres, et un argument d’autorité totalement fallacieux : « le livre de référence ». C’est simplement faux, car c’est une assertion sans fondement académique.
« Pour les représentants des industries polluantes, l’enjeu était d’éviter que l’État, convaincu de leur responsabilité dans la dégradation de l’environnement, ne régule voire ne réduise leur activité. Pour les conservateurs américains, il s’agissait de protéger le libre marché, pour des raisons à la fois idéologiques et clientélistes. »
CQFD. William Audureau peut-il faire le même exercice pour s’intéresser aux nombreux lobbies qui profitent des milliards déversés dans la transition énergétique, les éoliennes par exemple ? Même procédé. Au lieu d’aborder les connaissances scientifiques, on dévalue les auteurs et on accrédite leur compromission et conflits d’intérêts. Dommage que l’exercice n’ait pas été fait à l’époque de la crise sanitaire. La démarche eût été intéressante. Et là encore, l’argument d’autorité, mais ce n’est plus un professeur et un écrivain mais un modeste maître de conférences qui sert d’alibi, je cite :
« Antonin Pottier, maître de conférences à l’École des hautes études en sciences sociales, dans la revue Natures sciences sociétés. »
Qui est Antonin Pottier, ingénieur des Mines et enseignant en économie ? Le vrai spécialiste du climat.
Et on y va de l’interprétation psychologique et sociale pour expliquer comment de pauvres débiles expriment leurs angoisses, etc. :
« Le climatoscepticisme contemporain est devenu intensément idéologique, relèvent les chercheurs en sciences politiques Renaud Hourcade et Albin Wagener en 2021, dans la revue Mots. Les langages du politique. Il n’est plus l’affaire des grandes majors pétrolières, mais celle de conservateurs chauffés à blanc par le sentiment d’une menace existentielle. »
Là encore, on est vraiment sur les faits, sur les problèmes climatiques et les critiques fondamentales concernant l’astronomie, les cycles de glaciation, les évolutions du taux de carbone, etc. On fait de la psychologie de comptoir. À propos, qui sont les prestigieux Renaud Hourcade et Albin Wagener ? Le premier, simple chargé de recherche au CNRS qui a publié une thèse sur les politiques de la mémoire de l’esclavage en 2012. Un vrai spécialiste du climat encore. Et Albin Wagener, mieux, directeur de recherche à l’ICAM de Lille, en charge de la chaire Sens et travail, c’est un spécialiste de la science du langage. Un vrai spécialiste du climat lui aussi.
Un dernier extrait pour la route :
« Une anxiété nourrie de complotisme. Aux États-Unis, ces discours ont trouvé un écho tout particulier chez les militants trumpistes. En France, la crainte de projets liberticides a pu s’arrimer à d’authentiques épisodes de suspension de libertés, comme les mesures prises lors de l’état d’urgence sanitaire, ou de déni démocratique, comme la répression violente des « gilets jaunes » ou le passage en force de la réforme des retraites. »
Là, c’est l’acte d’accusation qui dispense de débattre. Ils sont trumpistes, etc.
Voilà la puissance intellectuelle de William Audureau, le décodeur du journal Le Monde. Il faudra un jour que nous demandions au rédacteur en chef de relire ses journalistes. Car l’État de Californie a la bonne idée sur le fond d’attaquer les majors pétrolières pour désinformations et mensonges systémiques pendant des décennies. Chiche. Quand nous aurons prouver, ce qui ne saurait tarder, qu’il n’y a pas de théorie du climat, que le sujet est d’une infinie complexité et qu’il n’y a aucun consensus scientifique parce qu’il n’y a pas de loi, pas de preuve, pas de faits scientifiques pour une telle extrapolation, alors nous demanderons, peut-être, nous citoyens, des comptes à ceux qui auront accrédité des hypothèses en nous les assénant comme des vérités révélées. Si le temps d’une éthique de la parole journalistique advient selon les quatre constats du pape François : désinformation, diffamation, calomnie et goût du scandale, William Audureau aura effectivement à s’expliquer, tant ce journaliste triche avec les auteurs, met en exergue des travaux quelconques parmi des milliers de travaux dont beaucoup ne disent pas la même chose, avec un refus obstiné qui est à lui seul la preuve de sa totale incompétence et illégitimité en matière scientifique, celui d’examiner les faits, les chiffres, les modèles, les critiques et les recherches multiples qui sont très loin de partager l’hypothèse du GIEC. Quand on abandonne la science pour la subvertir d’un jugement permanent sur les personnes, on contribue simplement à détruire ce qui a fait la grandeur des sociétés européennes. Mais, visiblement, les dénonciateurs de complots ont mieux à faire que de contribuer au débat scientifique. Anti-science, obscurantisme et idéologie, voilà la triste réalité du journal Le Monde aujourd’hui… Dommage.
Pierre-Antoine Pontoizeau
William Audureau le suceur en chef des Islamistes radicaux s’est totalement trompé avec le prétendu Réchauffement climatique qui est une Escroquerie écologique bien huilé pour punir les Français moyens,ce journaliste du Monde est un incompétent en la matière et un propagandiste d’extrême gauche qui soutient les thèses mensongers des prêtres et prêtresses de l’Apocalypse climatique tellement ce type est con et vivement qu’il brûle en enfer !
La putosphere mondiste en marche.
Il n’y a aucun dérèglement climatique, d’ailleurs qui l’aurait réglé, nos ancêtres des cavernes.
Il y’a q’une évolution naturelle du climat que quelques illuminés croient pouvoir contrarier, et pourquoi pas aussi bloquer la dérive des plaques tectoniques pour éradiquer les séismes et autres raz de marées.
L’imMONDE En Marche vers SATAN !
Méthode typiquement gauchiste : diaboliser les personnes pour discréditer leurs arguments et éviter d’y répondre. le militant réchauffiste copie (peut-être sans s’en rendre compte) les méthodes de Trophim Lyssenko : on détruit les personnes pour faire disparaître toute contradiction. On sait quel retard énorme et quel gâchis de moyens les élucubrations du charlatan Lyssenko ont engendré pour la science soviétique. Le Réchauffisme et la Théorie du Genre aussi, d’ailleurs…
quand on jette un oeil sur un nom pareil on tombe sur un….Le Monde
Publié le 17 septembre 2021 à 05h00,« Les Protocoles des sages de Sion », la plus grosse fake news antisémite du XXe siècle : stop ! fini ! quand tu t’intéresses à ce genre de conneries il faut en être et je suis sûr que si. c’est bien simple, pour eux n’existe que l’entité judéo-judéique, le reste est à éliminer. ils ne s’intéressent qu’à ça.
il oublie une chose le monsieur je sais tout mais je sais rien : c’est que les apocalyptiques du climat sont une branche de l’extrême gauche qui compte sur l’imposture climatique organisée pour prendre le pouvoir, à défaut de lutte des classes qu’ils ont dû abandonner faute de combattants : cette entourloupe d’envergure doit sans cesse être dénoncée, et rejoindre les climato réalistes est une nécessité absolue
Ces tas de crétins et d’imbéciles heureux soit disant spécialistes du climat ne savent même pas calculer le volume ainsi que la quantité des différents éléments qui entourent notre planète et voudraient nous enseigner la science du climat!!!, arrêtez de nous faire rire j’ai mal aux côtes!
Colmar (68) : de nombreux poissons retrouvés morts après une action des écolos-gauchistes d’Extinction Rébellion. Ils ont versé un colorant ultra-puissant dans les canaux de la ville.
Ce journal m’était vanté comme le journal de référence quand j’etais jeune..cela fait belle lurette que je ne lis plus ces torchons…
Notre regretté Coluche parlait du journal “l’immonde”, un véritable révélateur.
Remarquable article. Bravo M. PONTOIZEAU. C’est un bonheur de vous lire !
William Audureau. Tête d’article: Regardez ce regard pétillant d’intelligence, ça vaut tous les discours du monde 😆
Une vraie trogne à gros rouge qui tâche.
une bonne ” foi” pour toutes :
–
Il était une FOIS
dans la ville de FOIX
un bonhomme de FOI
qui mangeait du FOIE .
Merci.
Oui fois mais je voulais jouer avec bonne foi
Etre de bonne foi
Un pied de nez
William Andureau a les cheveux roux et il ne semble pas sain d’esprit, nous avons affaire sans l’ombre d’un doute a un ROUQUIN MARTEAU !
l’important c’est de faire peur aux gens, vous allez mourir!!!
Avec ce que la sciooôôônnnce nous a servi pour le con-vide, les scientistes climatiques ont de plus en plus de mal à faire passer leurs oukases auprès de la population, et ça les énerve, alors ils font comme pour les “populistes” , ils les diabolisent.
De même que lorsque la gauchiasserie n’a pas d’argument à opposer elle sort “facho” , lorsque le giec n’a pas d’argument ils sortent “complotiste” ou “méchant”
Ce pourquoi il est aussi urgent, selon breton, de “réguler” internet avec toutes les lois liberticides en cours.
On est vraiment revenu à l’Inquisition. Ils se rêvent tous en Torquemada.
Encore un candidat putatif pour les Fumiersdor2023.
“Dans la tête des complotistes” – de William Audureau
Ce type a donc commis un bouquin ! En matière de tète de Com…” Il en connait un rayon !