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Le monde des béats et des moutons bêlants

Il y a dans notre pays de France un certain nombre de personnes qui ont une vision assez étrange, hyper optimiste et exagérément enthousiaste de la vie. Dans cette catégorie de personnes on peut regrouper les naïfs, les candides, les ravis, les stupéfaits, les extasiés, les bobos, les gauchistes de base, les ignares et les incultes, et ils sont légions.

Des gens pas très compliqués qui ne comprennent pas grand-chose au monde qui les entoure et qui ont besoin d’être rassurés.

Mon propos n’est pas de dire du mal de ces personnes, mais d’affirmer qu’elles ont une certaine responsabilité dans le cours des choses de la vie de notre pays, par le fait qu’elles expriment des opinions et qu’elles ont le droit de vote, comme tout un chacun.

Être béat, c’est penser que l’homme est naturellement foncièrement bon et que le mal n’existe pas, que la vie est un long fleuve tranquille et que tout le monde il est beau et il est gentil. Et je reconnais que parfois je préférerais que ces gens-là aient raison. Le béat se veut tolérant, philanthrope, humaniste, gentil et défendant les plus nobles causes, parce qu’on lui a dit que c’étaient les bons choix et qu’il devait suivre ces choix.

Malheureusement, cette vision de la vie est un petit peu réductrice,  légère et déformée.

La vérité est que l’homme n’est tout simplement ni bon ni mauvais (pas plus que n’importe quel autre animal, qu’un arbre ou qu’un rocher) et qu’il accompli son destin en puisant sa force dans ses instincts naturels. La culture, l’éducation, l’instruction, le savoir et les apprentissages de la vie ont aidé l’homme à s’améliorer en société. Mais l’homme porte aussi en lui les germes du bien et du mal, selon la définition qui en est donnée par notre culture judéo-chrétienne.

Mais nous savons bien que le mal c’est aussi la facilité et qu’il est très facile d’y sombrer.

En termes de vie de la société, de religion ou de politique, les béats adhèrent souvent à des courants d’idées qui les flattent en leur laissant croire qu’ils sont dans le vrai par la force du nombre (des béats). Un peu comme un mouton ou une brebis se sent dans le droit chemin et protégé par le reste du troupeau, beaucoup d’humains ont besoin de se sentir entourés par un groupe qui les rassure, les porte et leur donne du courage pour affronter les turpitudes de leur pauvre existence. Mais les grands hommes qui accomplissent de grandes choses sont souvent seuls et en opposition avec la masse.

Il suffit que des politiciens hauts placés leur disent, par exemple, un sujet au hasard, que l’islam est une religion de paix, d’amour et de tolérance et ils se précipitent tous aussitôt sur cette vision ô combien rassurante et béatifiante de la chose et ils ne veulent rien savoir de plus.

Les vilaines choses, le terrorisme, les morts, les blessés, les mares de sang des victimes, les destructions et tout ça, ils ne veulent pas le savoir. Ça leur fait peur, ça les perturbe, ça les gêne et ça contrarie leur digestion. Et puis, ils se disent qu’il y aura des secours, cellules psychologiques, des fleurs et des bougies, des interventions pleines de trémolos de quelques politiciens et on pourra passer à autre chose.

Et lorsque les mêmes politiciens se veulent « rassurants », leur affirment que « c’est pas ça l’islam », que le terrorisme n’a rien à voir avec l’islam, que le jihad n’a rien à voir avec l’islam et que les musulmans sont nos amis et des chances pour la France, les voilà réconfortés et rassérénés, sûrs que tout ça n’est que le produit des agissements de quelques fous, déséquilibrés, perturbés, dérangés, instables et j’en passe.

De toute façon, ils savent que derrière le terrorisme il y a toujours les juifs et les américains.

Ils ne veulent surtout pas voir ni connaître la réalité.

Ils veulent s’enfermer dans leurs certitudes que la béatitude et la gauche les sauveront de tout péril, leur apporteront le paradis sur Terre et leur offriront une vie de rêve avec que des gentils et pas du tout des méchants vilains pas beaux…

Alors, en pensant que les gentils musulmans sont les seules et premières victimes du terrorisme, ils s’apitoient sur leur sort, se foutant en même temps pas mal des millions de morts juifs ou chrétiens qui l’ont sûrement bien mérité.

Ils pleurnichent sur le sort de ces pauvres musulmans, ils veulent leur tendre la main, ils veulent les aider, les chérir, les embrasser, les accueillir chez eux, en accueillir aussi d’autres, des tas, des millions qui fuient tous des pays en guerre (car pour eux tout le proche et le moyen orient, le Maghreb et l’Afrique subsaharienne sont des régions totalement embrasées et dévastées par la guerre…)

C’est tellement beau tous ces vêtements typiques chatoyants de leurs pays exotiques, djellabas, qamis, babouches, hijab, niqab, burka et burkini si pratique pour nager dans la piscine !

Les musulmans sont leurs amis et donc « touche pas à mon pote ! » Et puis, quelque part, ils savent que ce n’est pas bien de dire du mal des musulmans ou de les critiquer. La preuve, plein d’horribles libres penseurs se retrouvent condamnés à des amendes et de la prison avec sursis et bientôt sans sursis pour avoir usé de leur saleté de droit à la libre expression dans des articles traitant de petits problèmes dans les banlieues.

Que peut-on faire face à une telle force d’inertie de la stupidité destructrice de tant de gens irresponsables et dangereux qui en redemandent ?

Eh bien non, l’islam n’est pas gentil et les musulmans ne sont pas des victimes innocentes.

L’islam est une horreur sans nom, une « saloperie », comme l’a si justement dit Christine Tasin, présidente du site « Résistance Républicaine » et que j’approuve.

Oui, l’islam est une saloperie.

L’islam contient dans son livre, dans ses canons et dans sa loi, (la charia), tous les ingrédients incitant le musulman de base à la haine des non musulmans, à la destruction et à la mort de ces mêmes non musulmans afin de leur voler leur terre et de les remplacer comme ils le font depuis plus de 1400 ans.

L’islam n’a pour seul et unique funeste projet que la disparition de tous les juifs, de tous les chrétiens, les bouddhistes et toutes les autres religions, toutes les idéologies, tous les courants de pensée, mais aussi la suppression de toutes les libertés, de tous les droits, de tous les sentiments, de toutes les émotions, la joie, le rire, l’amour, le plaisir, le bien-être, etc.

L’islam est tellement absurde, paranoïaque et destructeur qu’il en est arrivé à haïr toutes les femmes, tous les humains, tous les animaux, la nature et tout simplement la vie.

C’est la seule vérité à retenir.

Tous les musulmans, depuis le plus doux, le plus gentil et le plus pacifique, jusqu’au terroriste le plus sanguinaire et assoiffé de sang, ont le même livre qui leur dit à tous de faire la même chose.

Il ne tient qu’à eux de le faire ou de ne pas le faire en prenant le risque d’être tués pour apostasie s’ils ne le font pas.

Tous partagent aussi la même responsabilité du sang versé par leurs frères puisqu’ils s’affirment tous membres d’une même communauté soudée et solidaire qui œuvre dans le même but.

Tous partagent la même responsabilité de tous les crimes de l’islam, car s’il en existe qui ne sont pas d’accord, ils se gardent bien de le dire. Et qui ne dit rien consent…

Et le musulman le plus gentil peut très bien un jour devenir un terroriste sanguinaire ou bien l’un de ses enfants le deviendra ou un de ses petits-enfants, car tous hériteront du même livre qui contient les mêmes prescriptions de haine et de meurtre.

Il n’y a pas de musulman innocent parce qu’en refusant de se dresser contre la barbarie de leur dogme et de leurs frères ils sont automatiquement complices de leurs crimes contre l’humanité.
Ou plutôt, si. Il existe des musulmans innocents, ce sont ceux qui quittent l’islam pour aller vers une autre religion ou vers aucune religion, tant ils se sont lassés de toute l’horreur de l’islam et de leurs coreligionnaires. Ceux-là aspirent à une autre vie et il est de notre devoir de leur tendre la main et de les aider.

Quant au béat irresponsable de service, en glorifiant et en soutenant la communauté musulmane, il soutient aussi les crimes de l’islam et il en devient donc complice par sympathie et parfois collaboration pour des groupes terroristes qui sèment la mort chez nous, en France, mais aussi dans le monde entier.

S’il n’y avait pas ces politiques complices et traîtres à la nation et ces troupeaux de béats bêlants pour soutenir l’islam et ses horreurs, peut-être que l’islam n’avancerait pas aussi vite.

Le béat est indirectement responsable et complice du sang des innocents versé sur notre territoire à chaque attentat terroriste musulman.

Finalement, le béat tolérant, philanthrope et humaniste devient un béat inhumain et monstrueux en approuvant, en soutenant et en défendant clairement une cause abjecte d’une extrême violence qui est d’une profonde inhumanité et qui est même la lie de l’humanité.

Il faut se méfier de la tolérance mal placée…

Et béats en anagramme ça fait aussi bêtas…

Laurent Droit