Le patient Emmanuel Macron est autiste Asperger… comme Greta !

« Le patient Emmanuel Macron est probablement autiste Asperger »

En complément de mon article précédent
« Le dossier psychiatrique du patient Emmanuel Macron »
https://ripostelaique.com/le-dossier-psychiatrique-du-patient-emmanuel-macron.html

J’ai voulu prolonger un peu ma réflexion et mon étude de ce cas clinique particulier puisque c’est un chef d’État.
On sait que dans l’histoire du monde, des rois et des chefs d’État ont été des malades mentaux et des fous.

Le président des USA, Thomas Jefferson, semble avoir été un autiste de haut niveau, très intelligent et cohérent dans ses actes.
« Le troisième président des États-Unis, (1743-1826) fait partie de la liste des Asperger de Ledgin, de façon d’autant plus convaincante que non seulement il en rencontre presque tous les critères, mais que sa sœur Elizabeth aussi correspond à ce portrait, de même que son frère jumeau. Pauvres parents, diront certains ! Jefferson considérait que ses meilleures contributions avaient été la Déclaration d’indépendance des États-Unis (qu’il a rédigée en 1776), la création de l’Université de Virginie et son texte fondamental sur la liberté de religion. Sa bonté faisait l’unanimité, tout autant que son excentricité, qui était de notoriété publique. Politicien atypique qui parlait très peu mais écrivait beaucoup, il s’intéressait aussi au droit, à l’agriculture, aux sciences naturelles, à l’architecture. Libéral, tenant d’un idéalisme humanitaire, Jefferson faisait la promotion d’un gouvernement décentralisé et s’opposait à l’esclavagisme, qu’il a cherché à abolir. »

Dans le passé, on ne parlait pas d’autisme ni du syndrome d’Asperger.

Aujourd’hui, on en sait davantage.
« Trouble neurodéveloppemental d’intensité variable, l’autisme se caractérise par la grande hétérogénéité de ses cas. Alors que le nombre de patients concernés ne cesse d’augmenter et que les possibilités de prise en charge piétinent, les professionnels parviennent de mieux en mieux à comprendre la maladie.
Comme il existe autant de formes d’autisme que de cas, la profession s’est arrêtée sur le terme de « troubles du spectre de l’autisme » (TSA). Cette nouvelle terminologie, plus précise que « l’autisme », a l’avantage d’englober des pathologies telles que les troubles envahissants du développement (TED) et le syndrome d’Asperger.
Les troubles du spectre de l’autisme se caractérisent par une anomalie du développement neurologique. Ils apparaissent généralement dès les premières années de la vie et frappent majoritairement les garçons – quatre garçons pour une fille. Ces troubles envahissants toucheraient aujourd’hui 1 % de la population, soit environ 600 000 personnes en France. Mais les récentes données mondiales signalent une nette progression de la maladie : alors qu’elle ne concernait qu’un enfant sur trois mille dans les années 1970 outre-Atlantique, elle touche aujourd’hui un enfant sur soixante-huit…
 »

https://www.fondation-fondamental.org/les-maladies-mentales/troubles-du-spectre-de-lautisme/la-maladie?gclid=EAIaIQobChMI792IwKuk6wIVkbLVCh3APQ22EAAYASAAEgJUg_D_BwE

Il existe donc un grand nombre de variantes de cette pathologie (TSA).
Il n’est pas impossible que la vie moderne loin de la nature et la pollution chimique des grands centres urbains et de tout ce qui nous entoure (alimentation, médicaments, peintures, appareils électroniques, ondes hertziennes, etc.) soient en grande partie responsables de la progression rapide de ces pathologies.

On observe des symptômes divers :
« Trouble de la communication, altération des interactions sociales et anomalies comportementales. L’altération de la communication des sujets porte à la fois sur la communication verbale à la base de notre langage mais aussi sur celle de notre corps. »

Mais aussi des manifestations particulières de la maladie qui n’affectent pas les capacités cognitives et intellectuelles du patient :
« Forme particulière de troubles autistiques, les TSA sans déficience intellectuelle – anciennement regroupés sous le terme « autisme de haut niveau » – désignent des patients présentant les difficultés de la triade mais sans retard mental, et donc avec une intelligence dans la norme et parfois, comme pour le reste de la population générale, au-dessus de la norme. »

Je ne suis pas seul à me poser des questions sur ce qui fait de Macron le personnage décalé et incompréhensible qu’il est :
« Mais de quoi souffre donc Macron ? »
https://www.a-droite-fierement.fr/mais-de-quoi-souffre-donc-macron/

Lorsque le patient Macron dit « Votre problème c’est que vous croyez qu’un père c’est forcément un mâle » on est en présence d’une grave altération du jugement qui confirme la pathologie mentale.
Un chef d’État qui tient ce genre de propos est quelqu’un de potentiellement très dangereux.
« Est-ce vraiment un problème de penser qu’un enfant a besoin d’une mère et d’un père ? L’utilisation du mot « croyez » est encore plus insultant. Défendre le droit des enfants relève pour Macron de la croyance ! On mesure ici les ravages que peuvent faire, dans un cerveau même brillant, les théories progressistes fumeuses telles que la théorie du genre… ! »

Sur 10 critères qui permettent de diagnostiquer un TSA, il semblerait que le patient Macron en réunissent 6 :

1 – Une difficulté à se faire des amis
2 – Aucune empathie
3 – Des troubles dans la communication non verbale
4 – Un mutisme inexpliqué
5 – Des difficultés à écouter les autres
6 – Des obsessions passagères
7 – Un besoin de routine
8 – Un enfermement dans des loisirs
9 – Aucun second degré
10 – Des difficulté de motricité.

Empathie : Selon Hervé Le Bras, historien, démographe et directeur d’études à l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS), « Emmanuel Macron est brillant mais peu empathique, un peu Asperger. »
https://www.sudradio.fr/politique/herve-le-bras-emmanuel-macron-est-brillant-mais-peu-empathique-un-peu-asperger/

En tant que chef d’État, président de la République française, le patient Macron est complètement à côté de son rôle de rassembleur, de protecteur du pays et de dirigeant sûr de lui, de sa mission constitutionnelle, de ses prérogatives et de la responsabilité qu’il porte devant les citoyens.
Il est très éloigné de tout ça et on voit bien qu’il ignore, même, ou qu’il feint d’ignorer, quel est le rôle d’un chef d’État.
Il est très souvent incohérent dans ses paroles et dans ses comportements et il se comporte le plus souvent en irresponsable face aux défis de sa tâche.

Cette façon de ne se préoccuper uniquement que de ce qui se passe à l’étranger, tout en feignant d’ignorer ce qui se passe en France et en appliquant son plan de destruction de la France en dit long sur sa duplicité, sa bipolarité et la confusion mentale dont il est l’objet.
Il est clair, aussi, que cette remarque au sujet de la Biélorussie est une façon de jouer les durs face à Vladimir Poutine à la cheville duquel il est parfaitement conscient de ne pas arriver, lui qui est incapable de respecter les droits, les libertés et la souveraineté du peuple français. Macron joue là le jeu d’un gosse jaloux qui taquine un catcheur professionnel.

Le diagnostic d’autisme de haut niveau lui convient bien et semble confirmé en partie par les 6 critères sur 10 qui ont été relevés.  
Le patient Macron se rapproche un peu du cas de la jeune suédoise Greta Thunberg et doit se trouver à un niveau d’autisme peu éloigné.
La comparaison peut aider à comprendre les choses.
La différence c’est que Greta Thunberg est plus jeune et manipulée par ses parents.
Morphologiquement Greta porte aussi sur le visage et les yeux les signes d’une légère trisomie 21.
On retrouve la même précision du détail dans leurs discours parsemés de crises de colère et l’assurance de posséder la science infuse et d’avoir la mission sacrée de l’infliger à toute la planète, y compris aux plus grands chefs d’États…

Dans cet article, le Dr Anne Wintgens, responsable du Centre de référence pour les troubles autistiques des Cliniques universitaires Saint-Luc (UCLouvain), donne des réponses intéressantes sur le cas de Greta Thunberg :
« Syndrome d’Asperger : au-delà du cas Greta Thunberg »
https://www.enmarche.be/bien-etre/psychologie/syndrome-d-asperger-au-dela-du-cas-greta-thunberg.htm

Comme Greta Thunberg, le patient Macron se sent investi ou porteur de superpouvoirs sans lesquels il serait juste dans une profonde dépression. On l’a conditionné pour ça et sa femme ne doit pas être la dernière, elle qui a tout à y gagner.
Le sujet croit donc vraiment posséder ces superpouvoirs (comme d’être immortel avec les milliers de policiers qu’il a exigé d’avoir autour de lui) et croit de même être un super-héros qui réussit tout…
Il vit dans un monde qui n’est pas le nôtre, un monde imaginaire qui est le sien, dans lequel il n’y a que lui et où toutes les règles sont différentes (« vous croyez qu’un père c’est forcément un mâle »), mais il est le seul à ne pas le savoir.

Ici, le Super-Héros au commissariat du 18e avec la BAC se croit immortel sans masque :

« Le syndrome d’Asperger, « superpouvoir » de Greta ? »
https://www.lesoleil.com/actualite/le-syndrome-dasperger-super-pouvoir-de-greta-8797409d7d8ad4e36c3e4a9202ff3563

Tout le problème est aussi que Greta n’a aucune responsabilité personnelle, tandis que le patient Macron est un chef d’État et que tout ce qu’il dit et fait entraîne obligatoirement des conséquences extrêmement importantes et graves sur des millions de personnes. 

Et un chef d’État qui dit et fait n’importe quoi est un danger public pour le pays qu’il gouverne et pour le peuple de ce pays.

Le patient Emmanuel Macron a largement été scruté, étudié et analysé depuis qu’il est au pouvoir et la seule conclusion qu’on peut en tirer est qu’il est incapable d’assumer correctement et de mener à bien la tâche d’un chef d’État et qu’il doit être démis de ses fonctions.

Mais nous savons aussi qu’il ne se laissera pas faire et qu’il préfèrera assassiner tous ses opposants et mettre le pays à feu et à sang plutôt que de perdre ce pouvoir auquel il s’accroche désespérément et veut (croit) le voir renouveler en 2022 pour le plus grand malheur de la France.

Laurent Droit-Perrault