Le pire ennemi des apostats de l’islam, c’est hadj Rachid Mélenchon

Avant de commencer cet article, je dois préciser que la gauche en général et l’ultragauche en particulier sont les ennemies déclarées des apostats de l’islam. Pour ces mouvements politiques, quitter l’islam en dénonçant son idéologie mortifère est assimilé à du racisme. En vérité, en faussant compagnie à l’islam, les apostats mettent à nu la gauche et sa stratégie de captage des voix musulmanes lors des élections. L’apostasie est un crime de lèse-majesté pour la gauche qui préfère défendre le voilement des femmes en France, alors que dans les pays soumis aux lois chariatiques, ces dernières, au péril de leur vie, luttent, chaque jour, pour s’émanciper. L’exemple des femmes iraniennes contredit la position de la gauche française qui se couche devant les revendications islamiques.

Hadj Rachid Mélenchon et ses sbires ne veulent nullement que les apostats aient des canaux de communication afin de mettre à nu leur connivence avec l’islam et les frères musulmans, car il y va de la survie de leur business électoral.
Caresser dans le sens du poil les musulmans, pour la gauche, c’est assurer le plein des voix.
Que les femmes musulmanes soient bâchées, hadj Rachid s’en fout éperdument, car ce qui l’intéresse, c’est d’être au sommet de la pyramide, près d’Allah Akbar.
Celui qui dit la vérité sur l’islam est qualifié automatiquement d’extrême-droite par cette gauche raciste et revancharde.

Prendre son destin en mains, c’est mauvais pour la santé mentale selon les idéologues de la gauche paternaliste, si comme les musulmans étaient incapables de réfléchir par eux-mêmes.
Se remettre en cause, c’est trahir ses racines d’après la gauche qui veille au respect des cultures des uns et des autres, et surtout des musulmans en leur disant de rester comme ils sont, car la France est un hôtel où ils seront servis. Ils n’ont pas besoin de faire des efforts pour s’assimiler.
Douter devient un blasphème pour cette gauche paternaliste et raciste qui croit détenir le monopole du bien et du mal.

Hier, c’est-à-dire au XIXe siècle, elle assumait sans complexe que la colonisation est un bienfait. Elle affirmait haut et fort qu’il faut libérer les musulmans, les noirs et les asiatiques de leur arriération en leur apportant la civilisation occidentale si comme des derniers étaient sortis du néant, sans passé, balayant d’un revers de la main l’histoire.
Hier pourtant, elle était animée d’un anticléricalisme chrétien maladif et elle demeure encore.
Aujourd’hui, Allah et ses dérives malfaisantes sont du pain béni pour cette gauche du renoncement surtout en France où l’islamisation gagne chaque jour du terrain pour la satisfaction de Hadj Rachid et de sa stratégie de créolisation de la société française.

Aujourd’hui, la gauche tente de diaboliser les apostats en les assimilant à des traîtres et à des racistes de l’extrême-droite, dans le seul but de se montrer comme la protectrice des musulmans comme si ces derniers restent des mineurs qui ne peuvent pas se prendre en charge par eux-mêmes.
Mais à qui profite cette politique collaborationniste ? Bien évidemment à l’islamisation de la France, car en dernier ressort, c’est le peuple français qui sera le grand perdant de cette politique suicidaire.

Revenons à l’article d’aujourd’hui qui va traiter des djinns et des djinnyates en islam.
Il est écrit dans le coran :
« Je n’ai créé les djinns et les hommes que pour qu’ils M’adorent. Je ne cherche pas d’eux une subsistance; et Je ne veux pas qu’ils me nourrissent. En vérité, c’est Allah qui est le Grand Pourvoyeur, Le Détenteur de la force, l’Inébranlable. » (Coran 51/56-58).
La sourate 72 (Al-Jinn) montre l’importance accordée par l’islam au monde des invisibles ( djinns).
Selon la tradition islamique, le début de l’humanité a commencé par un acte de rébellion d’un djinn, plus tard connu sous le nom d’Iblis (diable), refuse de se prosterner devant l’image d’Adam qu’Allah venait de créer.
En guise de punition, le diable est expulsé des cieux et lance ainsi sa guerre contre Dieu et l’homme. Plus tard, il trompera Adam et Ève dans le jardin d’Éden, initiant ainsi leur chute du Paradis.
Satan ou Iblis ainsi que les djinns ont été créés par Allah à partir du feu. Ils sont similaires aux humains sur le plan spirituel, car ils sont capables d’avoir un jugement moral, une liberté de pensée et d’action.
Tous les djinns ne sont pas considérés comme des démons maléfiques.

Dans la tradition islamique, beaucoup de djinns sont des bienveillants envers l’humanité. Mais l’islam ne recommande pas une alliance entre les hommes et les djinns. Chacun doit demeurer dans son monde.
Cette division est mentionnée dans la sourate 72, versets 11 et 14 :
« Il y a parmi nous des vertueux et [d’autres] qui le sont moins: nous étions divisés en différentes secte ».
« Il y a parmi nous les Musulmans, et il y en a les injustes [qui ont dévié]. Et ceux qui se sont convertis à l’Islam sont ceux qui ont cherché la droiture ».
Les djinns sont invisibles et souvent représentés dans l’imaginaire musulman comme des êtres effrayants qu’il faut éviter de rencontrer.

Le monde de l’invisible (l’obscurité) appartient aux djinns. Ils espionnent les humains en permanence, et certains ont la capacité d’influencer leur action, en incitant discrètement les hommes et les femmes à faire des choix qui ne sont pas dans leur intérêt. Parfois, certains djinns accompagnent les humains et vivent parmi eux.
D’ailleurs, de temps à autre, des mariages mixtes entre les humains et les djinns se réalisent dans la discrétion la plus totale. De même, il y a aussi des adultères. Un djinn peut quitter sa compagne djinniya pour aller copuler avec une femme. Un homme lui arrive aussi de découcher et d’aller culbuter une djinniya.
Des histoires croustillantes entre le monde du visible et de l’invisible pullulent dans le récit musulman.

Les contes populaires sont friands pour ces aventures amoureuses entre les humains et les djinns. Pour preuve, dans certaines contrées islamiques, les parents interdissent à leurs filles de s’approcher des mares d’eau, des rivières, des lacs, des endroits lugubres et sombres comme les forêts où vivent les djinns, de peur d’être détournées par ces derniers. Certains musulmans font attention à ce que leurs filles mineures ne se fassent détourner par les djinns. Par contre, aucun écrit islamique ne mentionne des agressions sexuelles.
Le mot « djinn » vient de la racine trilatérale arabe « ja-na-na », qui signifie cacher ou dissimuler qui est une description appropriée pour des créatures que l’œil humain ne peut percevoir et qui existent dans un monde parallèle, connu sous le nom d’al-Ghayb (l’invisible).

Selon la tradition musulmane, les djinns seraient les premiers habitants de la terre et auraient jadis régné sur la planète après avoir combattu d’autres formes de vie connues sous le nom de hinns, des êtres faits de vent, et de binns, des êtres faits d’eau. Certains oulémas font remonter l’origine des djinns à la création de la vie par Allah, bien avant les hommes.
La sourate 72 (Al-Jinn) montre l’importance qu’accorde Allah aux djinns, car son Salut est offert à la fois aux djinns et aux hommes en les mettant sur le même pied d’égalité pour l’adorer.
Selon certaines croyances colportées par la tradition musulmane, après avoir vaincu les hinns et les binns, les djinns seraient devenus les maîtres de la terre. Mais au lieu que triomphe la paix, la destruction s’ensuivit, jusqu’à ce que des anges créés par Allah d’une lumière pure, soient envoyés sur terre pour combattre les mauvais djinns et mettre fin à leur chaos. Cette histoire a été plagiée sûrement du Livre d’Hénoch, dans lequel est décrite une bataille entre des anges et des démons, et qui a inspiré les descriptions de djinns réalisées ultérieurement par des érudits musulmans comme al-Qazwini (né à Qazwin en Iran vers 1203 et mort à Bagdad vers 1283, est un homme de lettres et un juriste musulman), et Ibn Kathir ( juriste et historien. Il est né en 1301 apr. J.-C. à Bosra (sud de la Syrie et mort en 1373 apr. J.-C à Damas. Il fut un élève de Ibn Taymiyyah, un intégriste dont s’inspirent de nos jours les salafistes).

Lorsque les anges remportèrent le combat, les mauvais djinns furent repoussés dans des lieux reculés de la planète, telles que des îles, des grottes et des forêts. Ils sont considérés dans certains contes musulmans, comme des esprits qui tourmentant les voyageurs de passage dans des régions éloignées de la présence humaine.
Là où les djinns sont supposés vivre, les musulmans sont encouragés à réciter certaines prières de protection, au cas où ces créatures seraient agacées par la présence humaine dans leurs foyers invisibles, comme par exemple le verset 255 de la sourate 2. Ce verset appelé ayat Kursiy ( verset du Trône) aide à lutter contre l’influence néfaste des djinns.

Les savants musulmans recommandent de le psalmodier en silence dans les endroits lugubres pour éloigner les djinns.
« Allah! Point de divinité à part Lui, le Vivant, Celui qui subsiste par lui-même “al-Qayyum”. Ni somnolence ni sommeil ne Le saisissent. A lui appartient tout ce qui est dans les cieux et sur la terre. Qui peut intercéder auprès de Lui sans Sa permission? Il connaît leur passé et leur futur. Et, de Sa science, ils n’embrassent que ce qu’Il veut. Son Trône “Kursiy” déborde les cieux et la terre, dont la garde ne Lui coûte aucune peine. Et Il est le Très Haut, le Très Grand ».

D’après les exégètes de l’islam, lorsqu’un fidèle croit réellement aux attributs d’Allah, il se libère de toute anxiété et de toute crainte de l’inconnu, car Dieu vient à son secours. Ce verset lui fait également rejeter les prétentions des polythéistes qui croient en de nombreuses divinités.
Selon la tradition musulmane, certains djinns auraient été capturés et ramenés au ciel en tant que prisonniers, où des anges se seraient chargés de les rééduquer sur le chemin d’Allah. Mais l’un d’entre connu sous le nom d’Azazel refusa de s’incliner devant Adam conformément aux ordres d’Allah.

Cet épisode est mentionné dans le verset 50 de la sourate 18 ( Al-Kaf- la caverne) :
« … Et quand Nous dîmes aux Anges : « Prosternez-vous devant Adam ! » Ils se prosternèrent donc, sauf Iblis [qui] était parmi les Djinns et fut pervers à l’ordre d’Allah. « Eh quoi ! le prendrez-vous ainsi que ses suppôts comme patrons (’awliyâ’) en dehors de Moi, alors qu’ils sont pour vous des ennemis ? Quel exécrable échange pour les Injustes ! «

Depuis, il est connu sous le nom d’Iblis ou Satan. Il est le chef suprême des djinns démoniaques, qui sont à l’origine des guerres civiles musulmanes ( fitnas) et du chaos sur terre.
Selon l’imam Muslim, ( né à Nichapur-Iran vers 821 et mort dans la même ville en 875. Il fait partie des six collecteurs reconnus des hadiths de Mahomet), Iblis avait cinq fils, mais dont l’identité de la mère est floue. Aucune information n’a été rapportée à son sujet par la tradition islamique.
Les cinq fils d’Iblis ( Satan) sont d’eux est passé maître dans l’art de créer des troubles spécifiques. Tir (ou Thaber) provoque des blessures physiques. Sout (ou Misout) colporte des mensonges. Zalanbour encourage les transactions commerciales malhonnêtes. Aawar encourage l’adultère et la séduction. Dasim est l’instigateur de la haine entre les époux.
Les djinns s’incrustent dans les foyers des musulmans afin d’y briser la structure familiale, ce qui représente une grande victoire pour Satan.

S’ils sont généralement considérés comme des esprits malveillants, dans la tradition islamique, il existe également des djinns bienveillants qui vivent paisiblement dans une dimension invisible mais parallèle aux humains. Comme ces derniers, ils ont des structures familiales, des royaumes et peuvent être adeptes de n’importe quelle foi ( juive, chrétienne et autres). Il y a aussi parmi eux des djnns mécréants !
Certaines croyances islamiques attribuent aux djinns d’avoir aidé les humains à construire certains des plus grands édifices de l’Antiquité, tels que les pyramides d’Égypte et le temple de Salomon.
Selon le Coran, le roi Salomon, connu sous le nom du prophète Souleymane, avait le pouvoir de contrôler les djinns.

Les djinns ont joué un rôle important dans la tradition islamique
Certains musulmans continuent à considérer le monde invisible responsable des maladies comme l’épilepsie ou les troubles mentaux, mais ils gardent le secret à leur sujet en raison de la stigmatisation sociale associée au fait d’être possédé par un djinn, préférant chercher l’aide de figures religieuses pour aider à les exorciser.
Les soufis et les mystiques, notamment, sont sollicités pour exorciser les mauvais djinns, à l’aide d’une musique obsédante et extatique appelée nawa (ou gnaoua). La hijama ( thérapie par ventouses) est aussi utilisée par certains oulémas pour éliminer les djinns quand ils habitent une personne.
Leur existence et leur forme restent sujettes à interprétation, certains musulmans affirmant qu’elles sont purement métaphoriques tandis que d’autres estiment que refuser la croyance des djinns équivaut à remettre en cause la foi islamique d’une personne.

Cette croyance reste néanmoins répandue, et certaines traditions associées aux djinns sont transmises de génération en génération, notamment en racontant leurs histoires lors des veillées surtout en hiver où les nuits sont longues à s’écouler et lors des réunions familiales.
Et hadj Rachid, en gourou de l’islam, voudrait, peut-être un jour, avec sa créolisation (comprendre islamisation) voir apparaître des clubs de discussion sur l’existence des djinns à travers toute la France.
Quand le réel disparaît, c’est l’invisible ( l’irréel) qui le remplace. Et on est en plein dedans!

Hamdane Ammar

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6 Commentaires

  1. En premier lieu, l’islam n’est pas une religion, voici le premier mensonge des musulmans, ensuite le mot paix ne correspond en rien avec cette secte sanguinaire et intolérante. Finalement, le mot démocratie est une insulte à l’intelligence. Regardons ce qui se passe dans les républiques islamiques, l’Iran est une dictature des plus fermes, ils tuent leurs concitoyens qui réclament la liberté et je ne ferai pas la liste de tous ces pays primitifs, elle serait trop longue. Je suis islamophobe et j’en suis fier. Je lutte contre ce fléau avec acharnement.

  2. la gauche a trahi les travailleurs, les pauvres, les sans grade, pour un plat de lentille i.e. quelques sièges de députés

  3. Sourate 4, verset 84 – traduction extraite du livre de Malek SIBALI :
    ” Islam, sacrée violence – Textes fondateurs ” – Paru en 2011

    “Combat pour la cause d’allah.
    Et bien que tu ne sois responsable que de toi-même, incite les croyants au combat.
    Car allah brisera bien, un jour ou l’autre, la puissance des mécréants.
    allah est infiniment plus fort qu’eux et plus redoutable dans ses châtiments. ”

    ” …Car allah brisera bien, UN JOUR ou L’AUTRE, la PUISSANCE des mécréants. … ”

    Je comprends que les mécréants sont plus forts que ce dieu à la con !!!

    Rien que ça, ça montre, d’abord qu’il s’agit bien d’un texte écrit par un homme, et qui avoue l’impuissance du dieu à la con appelé “allah” …

    Parole d’amour : ” incite les croyants au COMBAT. ”

    Suis dans le livre, l’écriture en arabe de ce texte …

  4. Hamdane, merci pour la description de ce qui s’apparente, une fois de plus, à un plagiat des contes que l’on raconte aux enfants, enfin racontait aux enfants, dans la France d’avant …

    Les seuls jinn que je connais, pour en avoir mis quand j’étais jeune, sont les jeans !! ils avaient pour nom, Lewis, Strauss, Cooper, enfin, moi, c’est plutôt leur parents plus pauvres, donc moins chers, que je pouvais me permettre de mettre, car ils avaient un coût, comme vous le savez tous ici …

    Comment ne pas voir l’abyssale absurdité de ce monde dans lequel les jeans, pardon, les jinns, ont les mêmes qualités & défauts, pensées dans un sens, ou dans l’autre … ?

    allah (gros) con a lui aussi des “pensée” bien humaines … Tiens, ça me rappelle la sourate 4, verset 84, je la cite dans mon second commentaire …

  5. Le hadj 🤣🤣rachide c’est excellent. Le hadj Il l’envoyer en tôle sérieusement il est vraiment dangereux Le petit fils Hitler..

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