Le procès Hidalgo n’avait qu’un objectif : faire tomber Pierre Cassen

On attendait ce grand jour avec impatience ! Un procès aussi ubuesque à la XVIIe chambre, ça ne se manque pas ! La présidente n’est autre que Caroline Kuhnmunch, ex-conseillère de Christiane Taubira et vice-présidente du tribunal de grande instance de Paris. Il fallait bien ça pour juger Riposte Laïque et Ri7, présumés coupables d’avoir mis en ligne une caricature d’Anne Hidalgo. Rappelons que Riposte Laïque a déjà eu maille à partir avec cette juge, dans au moins deux affaires : celle des caissières d’H et M en 2016 et celle des autocollants, via Résistance Républicaine en 2019.

https://ripostelaique.com/le-juge-kuhnmunch-veut-que-rl-donne-8000-euros-aux-deux-caissieres-voilees.html

https://ripostelaique.com/proces-islam-assassin-agressee-christine-tasin-a-rendu-coup-pour-coup.html

On attendait surtout de voir comment le conseil de Mme Hidalgo, du cabinet Jean-Pierre Mignard (grand ami de François Hollande) allait s’en sortir. Mais avant d’entrer dans les détails, rappelons les enjeux : d’un côté le maire de Paris qui porte plainte pour injure publique, aux frais de la princesse, de l’autre une dessinatrice bénévole et Pierre Cassen, en qualité de directeur de publication présumé d’une association qui lutte contre l’islamisation de la France. La salle est plutôt vide en ce 12 décembre 2019. Ri7 n’a pu se rendre au procès, faute de moyens de transport. C’était la seule affaire de la journée. Deux sympathisants de Pierre et Christine vont écouter les plaidoiries qui dureront plus de trois heures. Et l’on nous répète que la justice est engorgée !

Pierre Cassen se présente à la barre

Le juge Kuhnmunch rappelle les faits, non sans une remarque ironique sur le poids du dossier : une pile de documents d’au moins 30 cm de hauteur se trouve sur le bureau du tribunal. Cette affaire « très grave » a effectivement fait travailler beaucoup de monde !

Les premières publications du dessin remontent à 2014, mais il y en aura d’autre les années suivantes, avec toujours en toile de fond, la célébration par la Mairie de Paris de la rupture du jeûne du Ramadan et donc, une forme d’allégeance à l’islam et à ses représentants en France, malgré le caractère laïque et le devoir de neutralité des institutions républicaines. Mais ça, on évite d’en parler pour le moment !

En tout, trois plaintes d’Anne Hidalgo, qui seront traitées au cours d’un même procès, celui du jour.

Les questions tournent autour de l’implication de Pierre Cassen dans la gestion du site. Il a beau répéter qu’il n’est plus directeur de publication depuis 2012, puisque le site a été transféré à Riposte Laïque Suisse, rien n’y fait ! Il doit expliquer quel est son rôle au sein de l’équipe. L’interrogatoire est à charge et la partie adverse ne manque pas d’armes. En effet, une première plainte d’Anne Hidalgo a donné lieu à une information judiciaire confiée à la Brigade de la répression de la délinquance à la personne (BRDP). Il en résultera une moisson de renseignements sur les activités de Pierre Cassen. L’enquête suit son cours : commission rogatoire internationale et convocation d’Alain Jean-Mairet, alors directeur de publication en Suisse, audition de Pierre Cassen, perquisition à son domicile, saisie de son ordinateur et de son téléphone portable. Malgré une ordonnance de restitution, l’ordinateur de Pierre ne sera jamais récupéré, ce que semble ignorer la présidente. Un dysfonctionnement de la justice ou la volonté de priver M. Cassen de son outil de travail ? On le saura peut-être un jour !

La première question porte sur l’histoire de Riposte Laïque que nos lecteurs connaissent par cœur. Puis il est fait référence à un échange de correspondances entre Pierre Cassen et Ri7. « Ce mail peut donner l’impression d’un rôle très actif dans le fonctionnement du site ? » interroge la présidente. Il faut expliquer au tribunal le fonctionnement d’un site de presse en ligne : un forum permettant aux rédacteurs de communiquer entre eux, l’existence d’une photothèque partagée sur la plateforme de Word Press. Pierre Cassen n’a jamais caché qu’il participe à la vie du site au même titre que d’autres contributeurs : il fait des titres, propose des articles, participe à la relecture…  Rien d’étonnant à ce que le dessin de Ri7 se retrouve sur le disque dur de son ordinateur ! De là à en tirer la preuve que M. Cassen a participé à la mise en ligne du dessin, c’est autre chose !

Tentant de déstabiliser le prévenu, le juge Kuhnmunch se fend d’une remarque infantilisante : « sortez les mains de vos poches ! » lance-t-elle à Pierre Cassen. Ce dernier n’accepte pas cette tentative d’humiliation, et explique pourquoi, durant quelques secondes, il a mis ses mains dans les poches, rappelant à la présidente, d’une manière très sèche, qu’il a de l’éducation, et qu’il a appris à bien se comporter en public.  Cette mise au point effectuée, la présidente Kuhnmunch continue ce qui s’apparente à un véritable interrogatoire.

« Et quels sont vos liens avec la dessinatrice ? » Pierre évoque des liens amicaux et de confiance avec Ri7. Il cite la réalisation en commun d’une bande dessinée : « Le Guignol de l’Élysée » visant François Hollande. Sourires contenus dans la salle… Puis elle demande : « et que pensez-vous du dessin ? » Réponse : « Anne Hidalgo a gravement violé la laïcité. C’est très sain qu’il y ait des dessinateurs qui peuvent faire savoir qu’ils ne sont pas d’accord avec sa façon d’agir. Que serait la France si cela n’avait pas été fait ? Cela ne serait plus la France ».

Lorsque arrive la question du procureur au prévenu, Pierre Cassen, de peur de faire un impair, demande à la présidente «  qui dois-je regarder, le procureur ou le tribunal ? ». Réponse de la présidente, dont l’ego semble démesuré : « MOI » !

L’avocat du cabinet Jean-Pierre Mignard entre en scène

On était presque tenté d’avoir pitié pour ce jeune avocat qui se trouve de facto impliqué dans une manœuvre juridico-politique visant à avoir la peau du patriote Pierre Cassen. En était-il bien conscient ?

Sa défense est claire, argumentée autant qu’elle puisse l’être. Un vrai pro qui a de l’avenir, s’il reste dans le camp du pouvoir en place ! Il veut que l’on évite de faire un parallèle avec l’affaire de la caricature montrant Bernard Cazeneuve en lèche-babouche et qui s’était soldée par la relaxe de la dessinatrice Ri7 et de Pierre Cassen.

Pour mémoire, Cazeneuve avait porté plainte pour injure, mais le tribunal avait estimé qu’il s’agissait plutôt d’une diffamation. Or la diffamation emportant l’injure, la plainte était mal fondée. Pas question pour le jeune avocat de retomber dans le même piège ! Pour lui le caractère injurieux de la caricature ne fait pas de doute : « une attaque personnelle, dégradante, gratuite qui n’a rien à voir avec le fait de rendre hommage à des victimes », faisant allusion au « je suis Charlie » d’Anne Hidalgo au lendemain des attentats et à ses prises de position sur la défense inconditionnelle de la caricature (sauf lorsqu’elle vient de ses adversaires politiques !).

Il prétend qu’il ne peut y avoir diffamation car les textes associés au dessin seraient sans rapport avec celui-ci, ce que contestera plus tard maître Pichon, le conseil de Pierre Cassen.

Puis il reprend un argumentaire maintes fois entendu selon lequel M. Cassen serait le « vrai » directeur de publication, en opérant cette distinction issue du droit des affaires entre un directeur « légal » et un directeur « de fait ». Selon ses dires, « on en sait plus sur les activités de Pierre Cassen que lors du jugement du 3 mai 2017 par lequel le tribunal avait estimé ne pas avoir assez d’éléments pour conclure à la qualification de directeur de publication ». Bref, il ambitionne de remettre en cause tous les jugements précédents au cœur desquels se trouvait la récurrente question du directeur de publication.

Puis il nous explique que si la cour estimait que la loi sur la presse de 1881 ne s’appliquait pas, du fait que le site se trouve hébergé à l’étranger, il conviendrait d’appliquer les dispositions du droit pénal ordinaire : pas d’impunité pour les personnes qui participent à l’infraction. En résumé : « on a les preuves que M. Cassen est directeur de publication, mais à défaut, il a bien participé à l’infraction ». Donc condamnable dans tous les cas. CQFD. La partie civile (Anne Hidalgo) réclame 5 000 € aux prévenus – in solidum – en réparation du préjudice invoqué.

Le procureur nous surprend par un coup de théâtre

Il nous dit d’abord qu’entre l’injure et la diffamation, c’est l’injure qu’il faudrait retenir. Pour lui, la responsabilité personnelle des deux prévenus ne fait aucun doute. Il estime que M. Cassen s’est livré à un vrai travail de directeur de publication. Mais il se montre plus réservé sur le fond (NDLC : on entre enfin dans le vif du sujet après deux heures d’audience !).

Il poursuit : « Les dessins reprochés sont-ils condamnables ? C’est moins évident ! La caricature vise une personne publique. La jurisprudence s’est toujours montrée très peu restrictive en la matière. Il est compliqué de considérer que le dessin puisse être considéré comme injurieux ».

Maître Pichon rebondit sur les propos du procureur

Il soutient que la liberté d’expression doit être acceptée, même si elle ne plaît pas : «  dans une caricature, il y a une distance par essence, on exagère la réalité et cette liberté doit être acceptée. Ce n’est pas une photographie ! Quant au thème du lèche-bottes, il n’est pas nouveau » citant les caricatures du Crapouillot.

Il poursuit : « Mme Hidalgo qui se prétend à la pointe du combat pour la liberté d’expression devrait avoir « le cuir tanné » et accepter des propos désagréables ».

https://youtu.be/q3PZb026_gM

Il ajoute que d’autres ont été exposés aux mêmes désagréments : Marine le Pen comparée à un étron, Sarkozy en position compromettante avec Carla Bruni, Hollande avec une jeune femme, sans parler d’une religieuse avec un crucifix dans l’anus, une caricature de Charlie Hebdo qui l’a particulièrement affecté en tant que catholique pratiquant.

Pour les détails, il fait remarquer que les éléments apportés au débat sont postérieurs à la publication du dessin et ne prouvent en rien que M. Cassen ait participé à la mise en ligne. Il rappelle le contexte de la caricature et des articles associés : une célébration du Ramadan qui a coûté 100 000 € au contribuable parisien. Mme Hidalgo est critiquée pour le non-respect de la laïcité.

Puis il revient sur l’enquête de police qu’il qualifie de « disproportionnée », voire « effrayante » : oser lancer une perquisition pour une histoire de caricature !

Il conclut que les limites de la liberté d’expression n’ont pas été franchies et demande la relaxe pure et simple de ses clients ainsi qu’un dédommagement pour procédure abusive.

Le mot de la fin revient à Pierre Cassen

Revenant à la barre, il rappelle ce qu’il avait dit au président du tribunal en 2012 lors de son premier procès : « je mène un combat contre l’islamisation de mon pays (…) Je cesserais la bataille si les faits venaient à me donner tort ». Puis il énonce la liste des attentats, commis au nom d’Allah, qui ont, depuis cette date, meurtri la France.

https://ripostelaique.com/proces-3-fevrier-2012-ldh-mrap-licra-ccif-ils-se-mettent-a-quatre-pour-tuer-riposte-laique.html

Il reprend : « j’ai la désagréable sensation que plus les faits me donnent raison et plus la répression s’accentue (…). C’est ma dixième comparution devant ce tribunal. Les modèles totalitaires m’ont toujours révulsé : un caricaturiste algérien Abdelhamid Amine vient d’écoper d’un an de prison dont trois mois ferme pour des dessins critiquant le pouvoir … »

https://www.lefigaro.fr/flash-actu/algerie-un-dessinateur-ecope-de-trois-mois-ferme-pour-des-dessins-antipouvoir-20191211

« J’ai la désagréable impression que certains veulent utiliser mes courriels pour revenir sur des décisions de justice (…). Je pense qu’il y a d’autres priorités ! » a-t-il ajouté.

L’affaire est mise en délibéré et le verdict sera rendu le 5 mars à 13 h 30

Hector Poupon

image_pdfimage_print

30 Commentaires

  1. Et Noël ça rapporte combien à l’état qui a détourné une fête religieuse à des fins commerciales ? Il est Laïque quand ça l’arrange celui-là ! Idem pour la galette des rois et j’en passe.

  2. Ce n’est qu’une expression et traduction picturale du terme lèche-babouche qui dans ce cas précis doit être interdit comme effacé de tous les livres où il apparaîtrait, considèrant qu’il vise une communauté religieuse en particulier.

  3. Il est vrai que Notre Drame de Paris n’a pas besoin d’être caricaturée : elle EST une caricature d’autocrate. À une certaine époque, elle aurait pu être présidente du conseil général de Charente

  4. un jour proche , tres proche , il faudra mettre toutes ces vermines delinquantes et mortiferes dans un bateau ! remigrer toute cette merde avant que DES francais petent les plombs et s en prennent physiquement a ces gens !…la guerre civile serait trop moche mais les francais ne lacheront jamais et , si on persiste a les torturer , ils vont finir par prendre les armes et se dechainer sur leurs oppresseurs ! cela n est PAS SOUHAITABLE DU TOUT . c est pourquoi , il vaut mieux pour tous, un divorse a l amiable : une remigration generale de nos chances pour la france . les garder , c est a coup sur une GUERRE CIVILE qui sera HORRIBLE ; et que TOUS les citoyens civilises veulent eviter a tout prix ! maintenant , il conviendrait de ne pas vouloir pousser le bouchon trop loin .

    • Oui, compris, Mais quelles armes? Nous n’y avons pas acces a moon que j’ai rate qqchose…

  5. Y a-t-il une majorité de citoyens pour une politique identitaire ? Depuis que ce thème est apparu vers1983 dans le champ politique, les scrutins démontrent que non ! Est-ce que l’Etat de droits – ou l’état du Droit – permet une libre controverse sur l’identité, la nationalité ? Les procédures judiciaires fondées sur la prohibition des thèses politiques identitaires révèlent que non ! Dès lors le fer de lance du camp patriote ne peut plus être un parti – quelque soit son mérite – mais trop défavorisé par l’écosystème juridico-médiatique et aisément neutralisable par des procès. Faute de probité de l’Etat, le relai offensif doit passer aux associations et publications dissidentes. Elles ont l’avantage de ne pas centraliser les responsabilités, et de pouvoir fédérer des majorités locales.

  6. Comment organiser notre RIPOSTE CIVIQUE ? Tout d’abord il s’agit de réaffirmer nos libertés publiques : notre héritage de 1789, lui même inspiré par le Droit naturel, philosophie du Droit justifiant notre Liberté. Cette défense peut réunir nos concitoyens bien au delà d’un seul parti ou camp, du seul populisme, de la seule lutte contre l’islamisme, ou de la seule Droite. Nous n’avons rien à vendre, sinon la défense résolue de nos libertés héréditaires : nos droits du Citoyen de 1789 doivent PREVALOIR sur les droits de l’Homme de l’ONU et de l’UE. Face à la répression judicaire, nous devons avoir le nombre et répartir les responsabilités par le principe de subsidiarité. Une association active par terroir serait idéal. Plusieurs réseaux RIPOSTE CIVIQUE sont possibles selon les affinités.

  7. Nombre de patriotes, politiciens, essayistes, journalistes, responsables ou collaborateurs de RL ou de RR ont souvent été poursuivis, et parfois condamnés, Il est temps de faire cesser cette persécution. Comment ? En organisant la RIPOSTE CIVIQUE du Peuple français contre un droit progressiste supranational . En l’espèce, contester la primauté du droit onusien (ou euro-communautaire) sur notre droit national traditionnel, et ses libertés publiques, déclarée en 1789, et inspirées du Droit naturel. Nous avons en héritage les luttes des peuples d’Europe pour leur Liberté. Tour à tour hollandais, anglais, américains et français se sont levés contre la tyrannie de leur propre Etat. Que ne suivons-nous leur héroïque exemple ! L’ UE et ses séides vendent nos pays. Concertons-nous et agissons !

  8. je me demande si pierre ne devrait pas, à l’instar de certains politiques “trainés” devant un tribunal, aller voir son toubib.
    certificat médical à l’appui, éventuellement un fauteuil roulant,, qui éviteraient les débats trop longs pour sa santé fragile.
    je ne sais pas pourquoi mais un sourire me vient en songeant à un ex ministre PS en fauteuil roulant….suivez mon regard (rire)

  9. La Justice est trop importante pour être confiée à des… Juges !
    Quand le Bon Sens prévaut, les… Prévôts doivent se taire !

  10. Nous sommes bien habitués maintenant à tous ces juges en conformité avec le mur des cons de leur syndicat. La justice islamo gauchiste ne fait plus de doute. Hidalgo lèche bien les babouches des musulmans et a dépensé 100 000 euros d’argent public de la Mairie de Paris pour leur fête religieuse, ce quelle ne fait pas pour le jour de Pâques par exemple, ni pour aucune fête d’une autre religion. C’est bien la maire de Paris qui est en infraction avec la loi.
    Il y a bien un parti pris évident que le dessin démontre clairement. La juge Trucmuche, amie de Tubira, a un parti pris conforme à la ligne gouvernementale.

  11. Dans un pays normal habité par des gens normaux, le délit à juger devrait être plutôt la célébration d’une fête religieuse avec l’argent des sans dents.

  12. Tiens, les féministes n’ont pas encore imposé le terme “la procureureuh” ?

  13. Espérons au moins qu’après les municipales,
    Madame Hidalgo ne soit plus qu’un mauvais souvenir.

    • c’est le voeu du plus grand nombre…..bon vent l’idalgo la retraite en espagne c’est il y a nombre de migrants pour la satisfaire (dans tous les domaines….)

  14. Il faut souligner que le représentant du Parquet a mis en doute le caractère condamnable de la caricature. Il resterait donc des magistrats faisant preuve de neutralité ?

  15. Larousse: <>
    La caricature sert donc à outrer la personne visée
    Si la personne visée n’est pas outrée c’est que le dessin est raté.
    Mais si elle vous traine au tribunal c’est que le dessin est bon, même très bon.

  16. Les magistrats sont du même tonneau que ceux des années 40… UN seul ne prêta pas serment à
    Petain. Aujourd’hui les juges sont dévoués à l’Islam, à ses pompes et à ses œuvres. Les présumés sont coupables ;le jugement n’est qu’une formalité.

    • Et du même tonneau que ceux des années 45 avec ses comités de censure et d’exclusion !

  17. Il y a dans cette judiciarisation pathologique du débat politique quelque chose de l’acharnement thérapeutique, une multiplication de procédures pour tenter de sauver un cas désespéré…
    Mais quoique fassent les docteurs mabouls des prétoires, praticiens zélés d’une administration soi-disant surchargée, les régimes mourants peuvent accumuler les procédures, mais l’issue est certaine…
    Les peuples libres vomissent l’islam.

  18. La dictature macronienne sait bien manier ses trois piliers : la propagande avec la presse, la police , et la justice ……
    Qu’attendent les Français pour s’insurger et renverser brutalement ce régime ?

  19. 5 mars, pierre et ri7 seront condamnés
    il faut les faire taire ! c’est honteux de les laisser ainsi s’opposer aux zélites islamocollabos et mondialistes

    • Charlie Hebdo fait bien.pire à chaque édition. Passe t-il au tribunal chaque semaine ?

  20. Attention, l’Islam est maintenant la religion d’Etat;
    tout et tous doivent se plier à ce postulat. Les juges ont des directives dans ce sens.

    • Jill, l’islam religion d’État n’est pas encore officiel mais ne saurait tarder. De toute évidence cette religion catastrophique est protégée comme aucune autre. Nous allons voir durant les elections municipales ces listes islamiques fleurir aux quatre coins des grandes villes ou règnent des zones de non droit déjà totalement dans leurs mains. Macron n’a pas voulu les interdire, il avoue de ce fait sa connivence avec eux.

  21. En tous cas chapeau au dessinateur qui taggé la fresque, c’est très ressemblant, il est sans doute lecteur de Rispote Laïque et je le félicite :-))

Les commentaires sont fermés.