Le procureur Bonhomme, ou une justice qui protège les voyous et massacre les victimes…
Le vaillant procureur Olivier Bonhomme peut être fier de lui : les jurés d’assises ont suivi son réquisitoire, et envoyé en prison pour 12 ans un homme qui a tué son cambrioleur…
Certains vont me trouver obsédé par les juges, en ce moment, dans mes éditos. La semaine dernière, je titrais : “Bien sûr que nous allons commenter les décisions de justice de magistrats collabos“. Et je parlais, entre autres, du président du Tribunal de Grande Instance de Poitiers, le nommé Franck Wastl-Deligne, qui venait de condamner les cinq jeunes Identitaires montés sur le toit de chantier d’une mosquée en construction à 1 an de prison avec sursis, à 40.000 euros d’amende, à 5 ans de privation de droits civiques et à 2 ans de rééducation !
Le vaillant président du TGI de Poitiers a courageusement condamné 5 jeunes Identitaires à 1 an de prison avec sursis, 40.000 euros d’amende et 5 ans de privation de droits civiques…
J’avais également épinglé quelques autres magistrats, qui se distinguent en émettant des verdicts zélés contre des patriotes résistants, qui refusent l’islamisation de leur pays, et qui se voient systématiquement menacés, et parfois condamnés, à des peines de prison. Leurs noms : Thomas Joly, Olivier Roudier, Gérard Boyadjian, Christine Tasin, Pierre Cassen et trop d’autres, anonymes…
Ce samedi matin, jour où j’écris cet édito, je tombe sur deux verdicts de justice qui me révoltent au plus profond de mon être. J’apprends qu’un malheureux internaute vient de se prendre, sur Rodez, 4 mois de prison ferme pour avoir écrit “fuck islam”, alors que, selon le procureur de la République Frédéric Coulomb, qui a requis cette peine, la diversité serait une richesse. L’accusé ayant affirmé vouloir défendre sa culture, le procureur, de manière cinglante, répondra : “Il n’y a pas de culture aveyronnaise”. Comme un certain Macron niant l’existence d’une culture française. On ne peut mieux décrire une police politique de la pensée, et une justice aux ordres d’une idéologie.
Le vaillant procureur de Rodez, Frédéric Coulomb, a demandé et obtenu 4 mois de prison ferme contre un internaute anti-migrants coupable de défendre la culture aveyronnaise…
Surtout quand on sait que, dans le même temps, à Alès, un gauchiste avec un tee-shirt “Un bon flic est un flic mort” a été relaxé. On voit, là encore, la haine des policiers de la part de magistrats qui n’ont pas hésité, comme à Calais, à condamner un agent des forces de l’ordre à 6 mois de prison ferme pour avoir repoussé brutalement un clandestin violent et menaçant. Cette justice politique, au service du pouvoir et de son idéologie, est vraiment de plus en plus pourrie.
Mais le pire n’est pas là. Le somment de la honte judiciaire et de la haine du peuple des petits blancs, comme dirait Alain Finkielkraut, s’est déroulé au tribunal de Nantes. Notre ami Géronimo, policier, nous raconte souvent, dans ces témoignages, la réalité des deux grandes villes de l’Ouest, Nantes et Rennes. Les migrants et les voyous font la loi, agressent régulièrement les étudiants bobos qui réclament leur régularisation, et bénéficient de la mansuétude du maire de la ville, les socialistes bobo Johanna Rolland ou Nathalie Appéré, et des magistrats, qui remettent systématiquement en liberté ceux que les policiers, au prix de risques physiques énormes, arrivent à arrêter.
Par contre, la mansuétude de ces magistrats a des limites. Pas question qu’un Français de souche, qui a travaillé toute sa vie, à Joué-sur-Erdre, et contre qui les cambriolages se multiplient, ose se révolter, et se défendre.
L’occupant des lieux, déjà cambriolé plus de dix fois, avait vu, en 2014, à 5 heures du matin, les malfrats embarquer ses outils de jardin, son compresseur ou encore sa débroussailleuse. Il avait alors décidé d’affronter les deux jeunes, et était sorti, s’avançant vers eux avec une carabine à la main. Un coup est parti, touchant mortellement un des deux jeunes dans le dos.
Ils ne peuvent pas imaginer, ces magistrats petits-bourgeois, bien planqués dans leur belle résidence avec digicodes et rondes de police fréquentes, ce que c’est la vie d’un homme qui vit seul, au milieu de la campagne, qui s’est déjà fait piquer une dizaine de fois ses outils. Pour eux, les voleurs sont forcément des victimes des injustices sociales – même quand ils sont gens du voyage et ont des caravanes que le commun des mortels ne peut pas se payer – alors que le propriétaire qui a un fusil et tire est un nanti et un assassin.
Alors, petit rappel à ces idéologues haineux, un cambriolage, c’est d’abord une agression contre votre intégrité physique, et un viol parce que des choses intimes, auxquelles vous tenez comme à la prunelle de vos yeux, peuvent disparaître, et passer dans d’autres mains. C’est également une mise en danger de votre vie, car, quand des voleurs pénètrent dans votre domicile, vous ne pouvez pas connaître leurs intentions. Le droit à la légitime défense devrait donc être une évidence, pour les particuliers comme pour les policiers.
Aux Etats-Unis et dans nombre de pays où le droit de propriété est sacré, Philippe Fourny aurait été considéré comme un héros, qui, en tirant sur des cambrioleurs qui doivent assumer les risques de leurs actes, aurait préservé les siens. Mais dans la France à l’idéologie post-soixante-huitarde, avoir un fusil, pour un Gaulois, c’est déjà criminel, même si les Chances pour la France qu’on nous impose ne circulent jamais, la plupart du temps, sans leur couteau, et parfois des armes à feu.
Le vaillant procureur de la République, Olivier Bonhomme (au centre de ce dessin de Joris Le Drian) a requis sans sourciller 12 ans de prison contre un homme victime de multiples cambriolages, qui a tiré sur ses voleurs…
Le Français blanc doit être dévirilisé, et se laisser passivement agresser, tabasser, voler, dépouiller, voire égorger. Et s’il a le malheur de mettre une patate à son agresseur, il se trouvera des juges, qui vivent dans des endroits protégés et fort bien surveillés, qui lui feront remarquer que sa riposte est disproportionnée par rapport aux risques qu’il encourait. Et comme la plupart du temps, l’agresseur est de culture arabo-musulmane ou issu de la diversité qui nous enrichit, le coup du racisme sera évoqué, et le Gaulois forcément condamné.
Pour eux, le bon scénario, c’est celui de la cambriolée qui se fait assassiner par ses voleurs. Et il se trouve des journalistes comme Florence Moreau, de Sud-Ouest pour gémir sur le sort de ces derniers, en parlant de “cambriolage qui aurait mal tourné !” Ces belles âmes sont contre la peine de mort, mais s’en foutent de la mort des victimes !
Dans ce contexte, il s’est trouvé un procureur, un nommé Olivier Bonhomme, à Nantes, pour requérir 12 ans de prison contre un homme qui a eu le seul tort de vouloir se défendre, de ne pas accepter d’être dépouillé de ses biens, ni de prendre le risque de se laisser tuer.
Et il s’est trouvé un juré d’assises (manipulé par les magistrats professionnels), à Nantes, présidé par Karine Laborde, pour confirmer les requêtes du procureur, et condamner Philippe Fourny à 12 ans de prison ! 12 ans de prison ! Une mise à mort sociale, contre un homme déjà privé de liberté depuis 3 ans. La volonté de châtier du Gaulois, et de leur envoyer un message fort : vous n’avez pas le droit de vous défendre ! Comment ne pas avoir envie de pulvériser ces magistrats, imbus d’eux-mêmes, volontiers donneurs de leçons, qui, comme toute la nomenklatura, dont la laïque bouffeuse de curé Marlène Schiappa, mettent leurs gosses dans des écoles privées catholiques, et ne subissent pas les conséquences, au quotidien, d’un vécu de nos compatriotes que, par leurs décisions, ils favorisent.
Je pense à tous ces juges pourris qui libèrent clandestins et racailles à tour de bras, à Nantes et ailleurs, et multiplient les verdicts crapuleux contre des Français courageux, qui se défendent comme ils peuvent face aux agressions dont ils sont victimes. Je pense à ces juges pourris, qui sévissent dans tous les pays, qui vont trouver des excuses au salopard qui massacre à coups de poing et de pied une femme allemande de 73 ans.
Nos crapules de politiciens corrompus, protégés, imposent des clandestins africains aux “non-protégés” que nous sommes, et nous envoient à la mort. Et quand nous avons la chance de survivre à nos agressions, il se trouve des “vaillants” juges, qui nous achèvent en nous mettant en prison pour de longues années.
Souvent francs-maçons, ils ne se fréquentent qu’entre eux, nous méprisent, voire nous haïssent, et s’en foutent royalement du sort des nôtres.
Avec eux, la racaille est convaincue de bénéficier d’une impunité totale, les Gaulois se prennent le maximum !
Henri Guaino, dans un moment de lucidité, avait commis une violente charge contre la magistrature, sous les huées de la gauche, toujours complice des pires décisions judiciaires.
https://www.youtube.com/watch?v=Rk4VApEL0P4
Nous avons une justice de plus en plus raciste à l’encontre de nos compatriotes, et des magistrats qui réagissent en caste d’une classe sociale privilégiée, au service des dominants, contre notre peuple. Ce que Tatjana Fersterling, lors des 2 premières minutes de son discours, expliquait fort bien aux 10 ans de Riposte Laïque.
La justice est respectable, quand elle est rendue par des juges respectés et intègres. Ce n’est plus le cas depuis longtemps en France. Ces pantins qui se prennent au sérieux, arrogants n’ont plus aucune légitimité aux yeux du peuple français, au nom duquel ils sont censés rendre la justice.
Ce verdict, et bien d’autres, confirment que notre Magistrature, même s’il y demeure quelques juges intègres et courageux, est définitivement gangrenée par des idéologues dangereux, déguisés en juges ou en procureurs.
Il n’y a rien à sauver dans cette institution de plus en plus dégénérée, quand les patriotes seront au pouvoir, il va falloir nettoyer les écuries d’Augias, de la cave au grenier !
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