Le racisme musulman frappe les bébés abandonnés à la naissance
Chers amis, nâoubliez pas de consulter le site : http://www.islam-questions.com , pour voir les détails sur les textes fondateurs de lâislam. Les questions de lâesclavage sexuel, du mariage des mineurs, de la pédophilie, du djihad et de la haine envers les infidèles sont abordées. Aidez-nous à faire connaître ce vrai visage de lâislam, en diffusant cette documentation. Un grand merci pour tout.
Pour commencer, il faut préciser que dans les pays musulmans, le racisme et les discriminations à caractère raciste sont enseignés dans les écoles coraniques et les instituts islamiques. Ce qui est encore plus grave : ces discriminations à caractère raciste sont institutionnalisées dans les législation officielles de ces pays.
Des citoyens européens originaires de pays musulmans sont victimes de ces discriminations qui sont appliquées en Europe par les services consulaires des pays musulmans.
Les discriminations racistes institutionnalisées dans les législations des pays musulmans.
Parmi les discriminations à caractère raciste prescrites par le Coran, on citera lâune des plus abjectes : celle qui concerne les nouveau-nés et les enfants abandonnés. En effet, il faut porter à la connaissance du public un sujet qui relève du tabou dans nos médias dominants et sur lequel les associations antiracistes comme les responsables politiques gardent un silence honteux. En agissant dâune manière lâche et cynique, ils ne dénoncent pas le sort particulièrement tragique qui est réservé, en terre dâislam, aux femmes célibataires ou aux filles-mères, et à leurs bébés qui sont abandonnés très souvent à la naissance.
Dans les pays musulmans, les nouveau-nés abandonnés à la naissance, les bébés nés hors mariage ou les enfants abandonnés pour différentes raisons sont privés de tous les droits qui sont reconnus aux autres enfants. Ils sont exclus du droit à la filiation comme aux droits définis dans la Convention internationale relative aux droits de lâenfant. Même quand ils trouvent une famille les accueille et qui aimerait les adopter, ce droit leur est refusé.
Cette interdiction est liée à lâépisode où Mahomet épousa Zaynab, la femme de son fils adoptif Zayd. Pour ne pas être condamné pour inceste, Mahomet eut recours à la révélation dâAllah. Dans le Coran, cette prétendue révélation divine ordonna à Mahomet de renier son fils adoptif Zayd, et instaure pour lâéternité lâinterdiction de lâadoption. Il faut préciser que lâadoption plénière était largement pratiquée en Arabie : jusquâà son interdiction par lâislam, lâadoption était considérée comme un acte noble et une démarche remplie dâamour envers lâenfance abandonné. Lâinterdiction par Mahomet et lâislam de lâadoption instaura des conséquences désastreuses et cruelles sur lâenfance abandonnée dans les pays musulmans. Cela touche, à travers le milliard et demi de musulmans, des dizaines de millions dâenfants victimes dâune discrimination inacceptable. Contrairement aux enfants nés dans le cadre du mariage, les enfants abandonnés, même sâils trouvent une famille dâaccueil, nâont pas droit à lâadoption, ni à la filiation, ni à lâhéritage, ni à figurer sur le livret de famille, ni à porter le nom de leur famille dâaccueil. Ils sont stigmatisés à vie, conformément aux préceptes du Coran et de la sunna de Mahomet. Ces prescriptions ont été instaurées au moment où Mahomet épousa la femme de son fils adoptif.
Le mariage de Mahomet avec la femme de son fils adoptif.
Reprenons avec plus détails lâhistoire résumée de cet épisode crapuleux dans la vie de Mahomet.
Au moment où il adopta Zayd qui nâétait quâun enfant, Mahomet sâengagea par un sermon solennel devant les habitants de La Mecque : « Le Prophète emmena Zayd dans al-Hijr (la place de la Kaaba où les Mecquois se réunissaient pour leurs affaires) et clama : « Soyez témoin que Zayd est mon fils, il hérite de moi et jâhérite de lui. ». Depuis ce jour, Zayd changea de nom. Il ne fut plus appelé Zayd fils Harithah, mais Zayd fils Muhammad. »
Ensuite, Zayd grandit et épousa la belle Zaynab.
Entre temps, Mahomet avait émigré à Médine et était devenu chef de guerre. Il pratiquait alors la polygamie et lâesclavage sexuel. Ãcoutons ce que rapporte la Sunna de Mahomet :
« Un jour le prophète de Dieu se rendait vers la maison de son fils adoptif pour sâentretenir avec ce dernier qui nâétait pas à la maison. Zaynab décida dâaccueillir le prophète à la fenêtre. Zaynab était alors en tenue légère, et la tenture en poil de chameau qui tenait lieu de porte se souleva sous une brise légère, et révéla alors son corps aux yeux du prophète de Dieu, qui baissa la tête, rougit et détourna son regard. Il sâécria alors, troublé par la beauté de la femme de son fils adoptif :
 « Louange à Dieu le Très Grand ! Louange à Dieu qui change les cÅurs !  »
Lorsque Zayd rentra chez lui, sa femme lui rendit compte de la visite du prophète. En entendant les mots prononcés par Mahomet, Zayd va retrouver Mahomet et lui dit:  « Je désire me séparer de ma femme. »
« Pourquoi donc ? As-tu des soupçons à son égard ?  » Répondit Mahomet.
Zayd : « Non, je nâai aucun soupçon, je ne lui vois que des qualités.  »
Mahomet : « Garde ton épouse et soumets-toi à Dieu. »
Pour comprendre les hésitations de Mahomet dâépouser la femme de son fils adoptif, il faut savoir quâen Arabie, à cette époque, une union dâun père avec lâex-femme de son fils adoptif était très mal vue par la société. Ce mariage est condamné avec vigueur, parce quâil relève de lâinceste. Pour sortir de cette situation, Mahomet appela le Coran à son secours. Il affirma quâil venait de recevoir  la révélation dâAllah qui lui ordonne dâépouser Zaynab, sous le prétexte que Zayd nâétait pas un fils de sang et quâAllah décide dâinterdire lâadoption :
(S33,V37) : « O Muhammad : tu as dit un jour à cet homme : Garde ta femme et crains Dieu ; et tu cachais dans ton cÅur ce quâAllah devait bientôt mettre au grand jour. Il était cependant plus juste de craindre Dieu. Lorsque Zayd cessa toute relation avec elle, nous te fîmes épouser sa femme, afin que ce ne soit pas pour les croyant, un crime dâépouser les femmes de leurs fils adoptifs après leur répudiation. Lâordre dâAllah doit avoir être exécuté. »
Dans la même sourate, Allah interdit définitivement lâadoption qui était courante en Arabie à lâépoque :
(S33, V4) : « Allah nâa point fait de vos enfants adoptifs vos propres enfants. Ce sont des propos [mensongers] que profère votre bouche. Mais Allah dit la vérité et c’est Lui qui met [l’homme] dans la bonne direction. »
à la suite de ces versets, Mahomet épousa la femme de son fils Zayd. Ainsi, il abjura son engagement solennel dâadoption et renia Zayd en tant que fils adoptif. Zayd fut obligé dâabandonner son nom, qui était Zayd fils de Mohammed, pour reprendre son nom dâorigine : Zayd fils de Harithah.
Le verset suivant fut alors révélé à Mahomet pour justifier son parjure quand il nia tout lien entre lui et son fils adoptif  :
(S33 , V40) : « Mahomet nâa jamais été le père de lâun de vos hommes, mais le messager dâAllah et le dernier des prophètes. »
Ainsi, le Coran annule lâadoption de Zayd par Mahomet. Les autres enfants de Mahomet, qui étaient toutes des filles, ne pouvaient plus être considérées par Zayd comme des sÅurs…
De ce fait, lâislam établit de façon claire une inégalité nette entre lâenfant « naturel » issu dâun mariage musulman, et les enfants abandonnés : nés sous X, abandonnés à la naissance ou issus dâune relation hors mariage. Par ces versets, Mahomet priva tous ces enfants du droit naturel à lâadoption, de la filiation et des autres droits reconnus à lâensemble des enfants. Et cette discrimination reste toujours valable dans les pays musulmans.
En fait, ces versets entraînent une régression effroyable de la société arabe, puisque la coutume vieille de plusieurs siècles considérait lâadoption comme un geste noble, rempli dâamour. Elle donnait à lâenfant adopté les mêmes droits que les autres enfants. Quand sa famille dâadoption avaient dâautres enfants, ils étaient considérés comme ses frères et sÅurs, sans aucune différence de statut.
En conséquence, câest à la suite du mariage de Mahomet avec la femme de son fils adoptif que la tradition dâaccueil des enfants orphelins ou abandonnés en tant quâenfants ayant les mêmes droits que leurs frères et sÅurs biologiques fut définitivement interdite par lâislam. Cette interdiction dâune tradition dâamour et de générosité ancestrale chez les Arabes fut la conséquence directe dâun épisode sordide de la vie de Mahomet. Au nom de la religion, Mahomet et lâislam instaurent une discrimination lié à lâorigine de lâenfant. Elle constitue bien une discrimination à caractère raciste, entre lâenfant né dans le cadre du mariage et lâenfant né hors mariage, les deux ayant jusquâalors le même statut juridique dans la société arabe.
Ce qui nâempêche pas les musulmans dâaffirmer que Mahomet a apporté des améliorations dans la société arabe.
Les conséquences désastreuses sur lâenfance abandonnée.
Je tiens à rappeler que ces discriminations ne sont pas lâÅuvre de quelques islamistes radicaux et extrémistes, qui représentent une infime minorité et qui nâauraient rien compris au Coran. Ces discriminations figurent explicitement dans les textes sacrés de lâislam, quâil soit sunnite ou chiite, et dans les législations officielles des pays arabo-musulmans aujourdâhui. Dans le monde musulman qui représente 1,5 milliard de fidèles, ces enfants abandonnés représentent des millions, et même des dizaines de millions. En plus, lâislam interdit à toute famille non musulmane dâadopter ces enfants qui sont livrés à la rue.
Ces discriminations font lâobjet dâun consensus entre les pays musulmans, comme le montre la Charte de lâenfance de lâOrganisation de la coopération islamique, ce lobby mondial très puissant, qui regroupe les 57 pays musulmans et siège en tant quâobservateur à lâOnu. Ce document officiel apporte la démonstration que l’islam refuse l’égalité entre lâenfant adoptif et les autres enfants, ce qui relève du racisme.
Même les enfants abandonnés qui ont la chance de trouver une famille dâaccueil nâont le droit quâà la prise en charge appelé « kafala » en arabe. Dans le cadre de cette « kafala », ou « prise en charge permise par lâislam », la loi musulmane impose aux enfants adoptifs ces discriminations :
- Ils nâont pas le droit de porter le nom de la famille qui les a recueillis
- Ils nâont pas de droit à lâhéritage
- Ils ne peuvent pas figurer sur les documents administratifs de leur famille dâaccueil tels que le livret de famille
- Sâils trouvent une famille non musulmane qui leur offre lâadoption plénière, cet acte dâamour leur est refusé par lâislam et les législations des pays musulmans.
Par ces mesures, même quand ils bénéficient de la « kafala » au sein dâune famille musulmane, ils doivent garder un nom de famille différent de celui de leurs frères et sÅurs biologiques. Ainsi, cette stigmatisation les accompagnera toute leur vie et leur rappellera quotidiennement quâils ne font pas partie de leur famille dâaccueil.
Cette situation ne résulte pas dâune tradition qui existait en Arabie à lâépoque de Mahomet. Elle ne peut être justifiée par un soi-disant « contexte » historique, que lâislam nâa fait que perpétuer. Elle ne résulte que de cet épisode particulièrement sordide de la vie de Mahomet : son mariage avec Zaynab, la femme de son fils adoptif Zayd.
On ne conclura pas cet article sans citer la stigmatisation la plus abjecte que Mahomet établit envers les enfants abandonnés. Le Prophète de lâislam ne se limita à les stigmatiser dans cette vie, mais il étendit cette stigmatisation jusque dans lâau-delà . Alors que le Coran qualifie de menteurs les pères et les mères qui considèrent leur enfant adoptif comme leur propre enfant, Mahomet va encore plus loin dans lâabjection. Il enlève tout droit de lignage ou dâascendance mâle, à lâenfant né hors mariage.
Cet enfant  sera lié à sa mère, ce qui constitue un rejet et une exclusion totale de la société. En effet, dans la société musulmane, lâascendance dâun enfant est liée à son père, ce qui lui donne la légitimité dâappartenir à la communauté musulmane. En lui interdisant tout lien avec son père biologique qui l’aurait conçu dans le péché, lâislam exclut cet enfant innocent du reste de la société. Sur le plan juridique, il porte le qualificatif infâme de « fils du péché et de la prostitution » (en arabe : Ibn a Zina).
Mais cela ne suffit pas. Mahomet enseigne ces deux hadiths qui relèvent dâun racisme extrême :
il menace tout enfant qui appelle « Papa » un père qui nâest pas son père biologique du feu de lâenfer éternel :
« Quiconque se réclame dâun père autre que son père biologique ne verra jamais le Paradis »
« Quiconque se réclame dâun père autre son père biologique, aura sur lui la malédiction dâAllah, des anges et de tous les gens. »
De telles paroles ne peuvent provenir que dâune source maléfique.
Conclusions.
Tout ce que la France et lâensemble de lâensemble de lâhumanité compte dâantiracistes, devrait dénoncer ces discrimination comme du racisme nauséabond. Or, les associations prétendues antiracistes et les médias se réclamant de lâhumanisme gardent un silence total quand câest lâislam qui pratique le racisme et les discriminations et les institutionnalise dans ses lois. Ce silence constitue un mépris raciste envers les millions dâenfants victimes de cette barbarie. Et les autorités musulmanes qui refusent dâabroger le racisme imposé à lâenfance abandonnée apportent la preuve absolue que lâislam nâest pas une religion dâamour et de tolérance.
Zohra Nedaa-Amal