Le regroupement familial, prélude du grand remplacement

Est-ce que les maîtres d’œuvre de la politique de regroupement familial avaient pensé un seul instant aux conséquences démographiques et culturelles qui pourraient en découler ?

Qu’entendent-ils par regroupement familial, est-ce favoriser la venue des familles de ces travailleurs que l’on avait été chercher dans les campagnes de leurs pays quasi illettrés, une sorte d’esclaves des temps modernes, pendant les 30 glorieuses et pour quoi faire ?

Le pire est que la mise en oeuvre de cette politique avait vu le jour au lendemain du premier choc pétrolier, au moment justement où le bon sens imposait au gouvernement français de l’époque un tour de vis à sa politique migratoire. En effet, des signes d’essoufflement des 30 glorieuses commençaient à se faire sentir. L’ère des énergies à bas coût est révolue et par conséquent une rationalisation du mode de production qui passait par la réduction drastique de la main d’œuvre sans qualification et peu qualifiée était désormais plus que vitale pour la survie des entreprises consommatrices d’agents économiques à faible valeur ajoutée.

Quels sont les vrais dessous de cette politique irresponsable, criminelle et scélérate, de regroupement familial, qui consiste à faire venir en masses les membres des familles des travailleurs migrants avec des modes de vie et des mœurs rétrogrades et antinomiques à celui de la population française ?

Ils ne pouvaient ignorer qu’ils ne sont ni Portugais, ni Belges, ni Polonais, ni Espagnols, ni Italiens, ni Yougoslaves ou tout simplement des Européens avec des racines chrétiennes. Ils avaient pris la France peut-être pour un terreau compatible avec toutes les semences, mais pour cela il fallait s’instruire de l’histoire coloniale qui les avait sortis contre leur plein gré d’une profonde léthargie de plusieurs siècles dans laquelle ils s’étaient replongés aussitôt la France partie. Elle était pour eux un pays de mécréants qui devait être combattue comme telle. Ils n’avaient pas lutté pour leur indépendance, ils avaient lutté au nom de l’islam pour chasser de leurs terres un occupant non-musulman. Et contre toute attente, leur ennemie mortelle leur offre l’occasion inouïe de venir s’installer chez elle afin qu’ils puissent la coloniser par le ventre.

Il est à douter que le duo de collabos Giscard-Chirac et leurs différents successeurs et en premier lieu Mitterrand aient mesuré les conséquences extrêmement graves de leurs actes et surtout s’ils avaient le souci de la France.

C’est plus le loup de la bergerie qu’ils avaient fait rentrer. Ils ont créé les conditions de la mise à mort lente et inéluctable de la France. On ne lutte pas démographiquement à armes égales contre des populations susceptibles de doubler leur nombre à un rythme nettement supérieur à celui de la France. En comparaison avec un taux de fécondité de 7,8 le Niger peut doubler sa population en l’espace de 21 ans là où la France mettra 170 ans pour en faire autant avec un taux de fécondité de 1,88 pendant que l’Algérie a pratiquement quadruplé sa population en l’espace de 56 ans passant de 11 millions d’habitants en 1960 à près de 42 millions au début de 2018.

Des chiffres qui auraient dû leur donner à réfléchir avec d’ouvrir la vanne migratoire.

Un véritable attentat contre la France perpétré par ses propres dirigeants dont les Français payent le prix fort aujourd’hui.

Laisser croire qu’ils sont un plus pour la France c’est comme si l’on faisait de Mahomet le prophète de la petite enfance.

Giscard et Chirac qui sont les artisans de cette politique ont donné les premiers coups de pioche de ce qui pourrait devenir un jour la tombe de la France.

Avaient-ils imaginé ce que serait le paysage humain de la France le jour où les populations importées finiront par supplanter par le nombre la population qui incarne son histoire et son identité ?

Est-ce que ce sera la France de l’art de vivre ou une France au visage voilé par la peur de vivre ?

S’inscrira-t-elle dans la continuité de la France des droits de l’homme et des citoyens et des Lumières ou une France sur le modèle de ce que sa nouvelle population avait importé avec elle, autrement dit la rupture avec les temps présents, une France qui vomit ses véritables racines comme les pays du Maghreb ?

Salem Ben Ammar