Le socialisme tue et continue de massacrer au nom de la “démocratie”

Encore des manifestations et un bras de fer qui s’annonce dans les jours ou semaines qui viennent. Comme d’habitude, nous savons que ceux qui vont payer la note seront les contribuables.

Cela dit, comme disent des représentants de la gauche, nous n’aurions jamais eu de congés payés si nous n’avions pas eu les grèves de 1936. Curieusement, les mêmes oublient qu’en 1936, tandis que la France des travailleurs défilait dans les rues, que les syndicats avaient appelé à une grève lourde et faisait paniquer les chefs d’entreprises, les capitaines d’industrie, et il y en avait beaucoup plus que maintenant à l’époque, l’Allemagne voisine faisait d’immense défilés pour démontrer sa puissance militaire et militante des nazis au pouvoir.

Oui je sais, c’est un peu facile. Vous allez me dire que je fais encore une fixette à la fois sur les syndicalistes gauchistes de l’époque et les nazis de l’Allemagne voisine. Certains me diront que le National-Socialisme a fait du social aussi. « Si nous sommes socialistes, alors nous devons forcément être antisémites – et l’opposé, dans ce cas, c’est le matérialisme, auxquels nous cherchons à nous opposer. Comment, en tant que socialiste, ne pouvez-vous pas être antisémite ? » (SOURCE)

Nous savons que la gauche ne se dit plus antisémite, mais antisioniste, à la rigueur pro-palestinienne, et son islamo-gauchisme est déclaré. 

Il y aura toujours des nostalgiques qui refuseront de comptabiliser dans l’action « socialiste » des nazis, les crimes impardonnables au nom du racisme.

Hitler était un socialiste quoi en dise les gauchistes de France aujourd’hui : À Otto Wagener, il affirma (…) que « tout le national socialisme » était fondé sur Marx.

En effet, les Français de 1936 voulaient vivre, voulaient avoir du temps pour eux-mêmes, et réduire les horaires de travail, partir en vacances quelque jours par an. C’était une perspective bien plus réjouissante que d’imaginer que la guerre était à nos portes. Et pourtant, en 1936 elle l’était à nos portes et les dirigeants du Front Populaire de l’époque, Léon Blum en particulier, auraient dû s’en douter.

Je ne peux pas m’empêcher de comparer des situations historiques entre elles et me dire que décidément, les leçons de l’histoire ne sont jamais tirées.

La guerre gronde à nos portes. Les USA, l’OTAN et l’UE veulent en découdre et se montent la tête ou plutôt, les USA ne cessent de mettre de l’huile sur le feu Ukrainien. On nous présente l’Ukraine comme une pauvre victime de l’Ours Russe, du méchant Vladimir Poutine et il faut se rendre à l’évidence, la presse française enfonce chaque jour le clou dans la tête des Français qui déjà n’en peuvent plus de ce qu’ils vivent journellement. Après la peur de la Covid, c’est la peur de la guerre et de fait l’anéantissement des éventuelles rebellions.

Les grèves tombent presque à pic pour secouer le bon peuple, mais c’est une vision biaisée.

Malheureusement, c’est comme en 1936. Nous défendons nos régimes de retraite, et ceux qui sont chargés de remuer le bon peuple ne disent rien sur leurs responsabilités.

Ce sont eux qui ont appelé à voter Emmanuel Macron pour « faire barrage » à Marine Le Pen. Eux qui refusent de voter avec les 88 députés du RN pour faire tomber le gouvernement.

La guerre gronde et beaucoup de Français se demandent pourquoi les parlementaires ne demandent pas un examen de la situation au gouvernement. Sur les armes données ou vendues à l’Ukraine. Qui sont les responsables, si ce n’est les mêmes qui manifestent pour défendre les retraites, mais ne manifestent pas comme en Allemagne, en Italie, en Bulgarie, contre cette cobelligérance, cette alliance avec l’Ukraine contre une Russie qui n’est pas l’ennemie de la France ?

Qu’en penserait le général De Gaulle ?

La politique étrangère de Macron nous emmène vers une guerre. Nous la voyons à nos portes, et comme en 1936, les syndicalistes se trompent dans la hiérarchisation des combats.

J’ai retrouvé une page étonnante sur la Pologne (en fin d’article) qui fut la victime de la barbarie nazie d’Hitler et communiste de Staline.

On peut y lire aussi que la folie polonaise de l’époque affirmait, en 1939, que leurs cavaliers défileraient à Berlin. Ces mêmes polonais qui ont participé, d’ailleurs, au dépouillement de la pauvre Tchécoslovaquie abandonnée par La France et l’Angleterre.

Par la suite, les soldats polonais ont été massacrés à Katyn par l’Armée Rouge de Staline.

La Pologne dépecée entre les vautours Hitler et Staline.

Il y eut même un défilé commun de l’Armée Rouge avec la Wehrmacht à Brest Livosk.

Les juifs polonais furent assassinés à Varsovie. Comme d’ailleurs les juifs Ukrainiens par les nationalistes d’obédience nazis ukrainiens par la suite.

Ceux-là mêmes qui se réfèrent aux Banderistes aujourd’hui, et qui appellent à l’aide la France, l’Allemagne, l’Angleterre et les USA.

Je me sens vraiment mal à l’aise dans ma peau de Français.

Nous revoyons les mêmes protagonistes se provoquer. On manifeste en France tandis que la guerre gronde.

Vladimir Poutine n’est pas Staline. Il n’y a pas d’Hitler en Allemagne, pas plus de Mussolini en Italie. Mais nous avons toujours les mêmes idiots en France et particulièrement un Macron qui est dangereux en bien des points.

Ne jamais oublier que c’est la France et l’Allemagne, sous la surveillance des USA et de l’Angleterre qui ont fait monter la sauce en participant aux leurres de Minsk 1 et 2 qui consistaient à donner du temps aux Ukrainiens pour faire la guerre à la Russie. C’est l’Ukraine qui a fait 14 000 morts civils russophones au Donbass depuis 2014. 

Ce sont les USA qui ont fait sauter les oléoducs Allemands. C’est l’OTAN qui prétend désormais appliquer la Pax-America au monde entier, y compris en Asie.

Français, nous sommes dans le camp des agresseurs. Que nous le voulions ou non.

Pendant ce temps, des milliers de Français défilent contre le régime de retraite. Comme en 1936 pour les congés payés et les salaires.

Louable manifestation, mais bien décalée par rapport à la situation internationale comme hier en 1936. Cela permet aux « opposants » d’éviter d’avoir à se battre sur « la guerre de Macron qui gronde à nos portes » et sur ceux qui mettent de l’huile sur le feu.

Sur cet article, on voit comment la perfide Albion a toujours fait. Monter les pays les uns contre les autres, et tirer les marrons du feu.

Gérard Brazon