Le vrai sens de mon combat contre l’islam et les soldats d’Allah

iju-flag4Dans mes écrits il n’y a aucune arrière-pensée anti-islam et encore moins anti-musulmans, comme si  les musulmans constituaient un groupe ethnique homogène, pour se voir accusé d’incitation à la haine des musulmans et motiver des poursuites dans ce sens en vertu de la loi de 1881.

La critique d’une religion n’a rien d’iconoclaste pour justifier les foudres de ses fidèles et attiser la braise de leur réactions violentes vengeresses. Les adeptes de l’islam ne peuvent nous opposer l’exception musulmane pour réduire au silence tous ceux qui remettent en cause la vérité dont leur religion serait porteuse. Une religion qui se veut vérité doit savoir se remettre en question pour faire évoluer sa propre conception de vérité.

La liberté de parole que les musulmans veulent étouffer au nom des lois laxistes et liberticides est un droit fondamental au même titre que la liberté de culte, elle ne doit pas faire l’objet de stigmatisation et de procès en inquisition sous prétexte qu’elle risque d’ébranler les croyants dans leurs convictions. L’ére de l’Inquisition est pourtant révolue, mais les musulmans veulent aujourd’hui la rouvrir pour subsituer au défunt pouvoir de l’Eglise le pouvoir des imams.

Dénoncer les manoeuvres pernicieuses et diaboliques des musulmans qui visent à porter le coup de grâce aux libertés fondamentales est un acte de salubrité publique et un devoir citoyen. Le vrai crime est de feindre d’ignorer la haute nocivité de l’islam et ses desseins hégémoniques. La France et le monde sont confrontés à un péril pire que celui que présentait le nazisme en son temps, car celui-là est imprévisible, il agit dans l’ombre et peut frapper quand il veut où il veut. Il n’a pas de visage, il est blotti dans l’ombre et peut surgir comme un fauve pour prendre à la gorge sa proie.

Mettre en garde et alerter ses concitoyens et les inviter ainsi à une grande vigilance sur l’extrême dangerosité de cette religion qui ne devrait pas bénéficier d’un statut de culte religieux au même titre que les 2 autres religions monothéistes ne doit pas soulever un tollé général et valoir à ses auteurs un lynchage public. En quoi traiter l’islam de saloperie comme l’a qualifié mon amie  Christine Tasin de Riposte Laïque, de calamité et de crime contre l’humanité est constitutif d’un délit pénal pendant que les musulmans se gardent de condamner explicitement et sans équivoque les décapitations des captifs non-repentis comme l’ordonne le Coran et continuent d’accorder leur blanc-seing à leurs coreligionnaires djihadistes à persévérer dans leurs actes abominables et barbares ?

Peindre l’islam tel qu’il est c’est-à-dire fidèlement aux images que les musulmans donnent de lui n’est aucunement une expression de haine ni de phobie ou  la manifestation d’une aversion pour cette religion qui est somme toute un sentiment non punissable par la loi, alors qu’il ne passe pas un jour, une heure, une minute sans que l’islam n’apporte lui-même les preuves de sa nature belliciste et terrifiante confirmant à juste titre qu’il est le vrai visage de l’Apocalypse.

Personnellement je suis conscient des risques que je prends en empruntant la voie qui est la mienne aujourd’hui et qui me vaut de mettre ma vie en péril, je préfère user de la liberté d’informer qui est la mienne que de me murer dans la lâcheté et de me retrouver un jour couvert de honte et de ridicule devant le Tribunal de l’Histoire. Je ne suis pas et je ne serai jamais ce personnage de Martin Niemöller :

« Quand ils sont venus chercher les communistes,
Je n’ai rien dit,
Je n’étais pas communiste.

Quand ils sont venus chercher les syndicalistes,
Je n’ai rien dit,
Je n’étais pas syndicaliste.

Quand ils sont venus chercher les juifs,
Je n’ai pas protesté,
Je n’étais pas juif.

Quand ils sont venus chercher les catholiques,
Je n’ai pas protesté,
Je n’étais pas catholique.

Puis ils sont venus me chercher,

Et il ne restait personne pour protester. »

Plutôt mourir debout et la plume à la main que de vivre terré comme un rat dans sa tanière en attendant qu’un jour on vienne y mettre le feu pour finir en un amas de cendres sans avoir rien fait pour lutter pour sa survie et celle de ses semblables. Tout citoyen doit défendre son humanité et sa patrie qui sont nos biens les plus précieux dont nous sommes des simples dépositaires et que nous sommes tenus de les faire fructifier et les pérenniser pour le compte de ses vrais propriétaires en l’occurrence les générations à venir.

Il n’y a de vie éternelle que dans la défense de l’intégrité, la pérennité et la prospérité  de la mère-patrie et du legs que nous devons laisser aux générations futures qui sont nos vrais juges et jamais dans le monde illusoire de la vie dans l’au-delà indigne de la morale humaine.

L’élévation de l’âme n’est pas dans l’érection éternelle et les plaisirs charnels, elle est dans le don de soi et notre totale implication dans l’édification d’ un monde meilleur pour les humains qui vont nous succéder.  Penser à sa vie après la mort est la négation de la vie sur terre.

Elle est la plus belle religion jamais donnée aux hommes indépendamment de leurs différences. Aucune religion au monde n’est en droit de confisquer la patrie, de la nationaliser et de la détourner à son profit. La patrie est au-dessus des querelles des religions. Elle est aux hommes ce que la religion est à Dieu.

Je n’ai rien contre les religions je suis contre la destruction de la patrie au nom de la religion comme c’est présentement le cas dans la majorité des pays musulmans. La religion ne doit jamais primer sur la patrie. L’homme doit s’inscrire dans la voie de la vie et en aucun cas dans celle qui le détourne de la vie telle. L’avenir n’est pas à la religion et ses promesses, il est avant tout humain.

Je suis contre la religion qui divise les hommes, je me bats comme tous ceux qui n’ont de foi qu’en l’humanité qui est en eux, comme tous les amis pour une patrie fédératrice et rassembleuse.
Nous divergeons sur les moyens mais dans le respect mutuel, guidés par notre seul amour pour une patrie humaine et prospère, et convergeons vers le même objectif : faire vivre notre patrie pour l’éternité.

Je ne me bats pas pour moi, je me bats pour ceux auxquels nous devons laisser en héritage une Tunisie debout. Le vrai Jugement dernier est pour moi le Tribunal de l’Histoire qui seul est notre juge et les générations futures nos requérantes et accusatrices. Notre présent est l’avenir de nos enfants et notre passé sera celui sur lequel nous serons un jour jugés pour leur avoir laissé une patrie en ruine si on ne fait rien pour la sauver aujourd’hui de cette descente inexorable dans les enfers dantesques.
Une religion qui veut entraver l’avenir de ma Tunisie  et qui est en train de menacer ma France, mon autre patrie, n’est pas la mienne et ne le sera jamais.

Ni la Tunisie, ni la France qui s’est déjà affranchie de la tutelle de la religion  ne doivent être marquées du sceau de la religion, elles doivent rester plurielles et ouvertes où tout un chacun aura sa place dans le respect des lois du bien vivre ensemble et du destin commun. C’est en oeuvrant tous pour un idéal humain  indépendamment de nos différences et nos sensibilités que l’on peut espérer un jour bâtir une humanité dépolluée de scories du repli identitaire et de l’arrogance suprématiste.

Ma patrie est plus que tunisienne, plus que française, plus que tout, elle est tout simplement humaine et universelle.

Salem Ben Ammar

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