L’enjeu du deuxième tour : sortir enfin de l’Europe

Nous sommes jeudi 4 mai 2017.

Dans trois jours, ce sera le second tour de l’élection présidentielle.

Depuis des mois, des années, je vois et j’entends les partis « traditionnels » (c’est-à-dire repliés sur eux-mêmes dans un souverain mépris de la France) cracher sur notre pays, son histoire, ses traditions et son peuple, glorifier l’immigration, l’islam, l’Union européenne, la finance mondiale et la mondialisation dans un ensemble parfait de complicité criminelle pour faire tomber notre vieux monde auquel nous somme si attachés.

Politiciens de tous bords, élites intellectuelles, médias et magistrature se sont faits les combattants d’une guerre visant à détruire la France de l’intérieur pour en faire une chose morte au service des puissants de ce monde.

On critique, on harcèle et on persécute ceux qui sont attachés aux valeurs de notre pays et ne veulent pas les voir disparaître.

Cette Europe immonde n’a rien à voir avec le projet que l’on nous avait fait miroiter dans les années 50 et 60. Ce n’est pas du tout le rêve des peuples européens, mais c’est un cauchemar éveillé.

C’est une dictature, un système totalitaire qui ne dit pas son nom.

Cette Europe ne nous apporte rien. Elle nous ruine et nous détruit. Elle apporte peut-être quelque chose aux pays pauvres, mais pas à nous.

Mais nous avons des droits, nous aussi.

Cette UE a été créée en dehors de tout processus démocratique et elle est dirigée et fonctionne en dehors de tout processus démocratique.

Elle nous a volé notre liberté, « nos » libertés, notre indépendance, notre souveraineté et notre autodétermination à décider de notre avenir.

A part quelques poignées de gogos infantiles, personne ne veut plus de cette Europe-là et sans doute pas d’une autre avant longtemps.

Une éventuelle coopération économique future serait acceptable, mais pas cette dictature globale.

Nous avions le marché commun et nous aurions dû en rester là.

L’Europe ne nous protège pas. Elle ne nous protège de rien.

Et elle ne nous apporte que des ennuis.

Si nous n’en sortons pas, ce sera une guerre civile européenne qui nous tombera dessus.

On ne nous avait jamais dit que les frontières extérieures européennes seraient grandes ouvertes, béantes, à tous les vents, mais surtout à toutes les immigrations ou plus précisément à l’immigration musulmane de l’est et du sud, la seule que nous ne voulons plus car elle menace notre monde et nos vies.

Aujourd’hui, nous devons quitter ce navire en perdition avant qu’il ne sombre dans les abîmes.

Que voyons-nous et entendons-nous, à la veille de ce second tout des élections présidentielles: les hurlements de haine de la gauche criminelle et de la droite en perdition contre le seul parti politique français qui soit un vrai parti patriote et le seul à ne pas s’être sali les mains pendant des décennies dans la construction de cette engeance européenne absurde, visant à détruire les nations européennes.

Des injures, des insultes, des calomnies, des mensonges éhontés, des propos haineux et menaçants contre le Front National et contre sa candidate à la présidence : Marine Le Pen.

Une femme digne, calme, honorable, proche du peuple et une vraie patriote de cœur. Ni le FN ni Marine Le Pen n’ont quoi que ce soit à se reprocher dans la situation catastrophique actuelle de la France, dans tous les domaines, ni dans sa dette extérieure abyssale creusée jour après jour par ceux qui ont gouverné le pays depuis quarante ans, tous partis confondus.

Or, le seul moteur de campagne des autres candidats, leur seul slogan, leur seule préoccupation et tout ce qui leur tient lieu de programme électoral c’est de « barrer le chemin au Front National ». Beau programme de la part de ceux qui sont les seuls à nous avoir conduits dans ce gouffre cloaqueux.

Je ne vois qu’une seule chose et qu’un seul choix utile et intelligent s’offrir à nous, aujourd’hui : élire Marine Le Pen à la présidence, la laisser gouverner le pays pour le sortir en priorité de l’Union européenne, qui est son tombeau.

D’ailleurs, le vent a tourné et beaucoup de rats des autres partis commencent à quitter leur navire et à se vendre au plus offrant, tous plus opportunistes les uns que les autres qu’ils sont.

Mais tous ces partis sont en train de se disloquer et de perdre des électeurs. Les Français commencent enfin à réfléchir et à chercher à comprendre pourquoi et à cause de qui nous en sommes arrivés là. Beaucoup de maires commencent aussi à se rendre compte qu’un véritable changement en profondeur est nécessaire, eux que l’on a privés de la plupart de leurs anciens droits et prérogatives de fonction.

Je crois, aujourd’hui, dans la victoire de Marine Le Pen et je pense qu’elle a fait un bon choix en prenant Nicolas Dupont-Aignan comme futur Premier ministre.

Dimanche prochain, je voterai pour Marine Le Pen et je vous invite à en faire autant pour sauver la France et pour vous sauver vous-mêmes.

Vive la République, vive la France et vive Marine Le Pen !

Laurent Droit

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3 Commentaires

  1. on ne sort pas de l’Europe mais de l’union européenne soit une simple association. La France ne va pas se retrouver en Asie.

  2. MLP aurait du éviter les discussions sur l’Euro et a la place, demander a EM si a son avis les Britanniques sont un peuple suffisamment éclairé, autonome et fiable, et pourquoi ils cherchent activement a sortir de l’UE. Apres cette introduction et quelques comparaisons entre UK et France moins flatteuses pour la France, MLP aurait du s’étendre en temps et en explications détaillées sur les raisons de l’Euroscepticime chez les peuples avancés. et que l’UE c’est ringard

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