L’enseignement du Coran ne peut que mener à la radicalisation : nouvelles preuves
Tout ce que l’occident compte collabos de l’islam conquérant, affirme ce mensonge absolu : les terroristes islamistes ont été radicalisés par une incompréhension totale du Coran. En conséquence, selon la collabosphère, la radicalisation des musulmans qui s’engage dans le Djihad, doit être combattue en premier lieu dans l’enseignement. Autrement dit, il faudrait enseigner l’islam authentique, qui ne serait tolérance, paix et amour du prochain. En conséquence, il suffit d’enseigner le Coran et les Hadiths, pour déradicaliser ces islamistes.
La prescription de combattre et le pacte établi entre Allah et ses fidèles
Avant de proférer des mensonges aussi grossiers, la collabosphère devrait analyser en premier lieu les textes fondateurs de l’islam, en particulier le Coran et les recueils de Hadiths
https://drive.google.com/file/d/1kTNTZelKO8lmD-D8utUWwkEQtuCevWWD/view?usp=sharing
Une analyse rapide du Coran suffit d’apporter que ce livre, après avoir déshumaniser les mécréants, en particulier les juifs et les chrétiens (souillures, pires créatures, singes et cochons etc…) prescrit le combat pour les combattre et les tuer :
(S2, V216) : « Le combat (où on tue et on se fait tuer) vous a été prescrit alors qu’il vous est désagréable. Or, il se peut que vous ayez de l’aversion pour une chose alors qu’elle vous est un bien. Et il se peut que vous aimiez une chose alors qu’elle vous est mauvaise. C’est Allah qui sait, alors que vous ne savez pas. »
Dans ce verset, Allah utilise exactement les mêmes termes qui prescrivent le jeûne du Ramadhan :
Il n’y a aucun doute possible : on ne peut pas dire que le jeûne du Ramadhan soit prescrit en tout temps et en tout lieu, alors que le combat n’est prescrit que dans un contexte limité dans le temps et dans l’espace.
On soulignera cet élément très important : le verset qui prescrit le combat, se termine ainsi : « Allah sait et vous ne savez pas ». Il est donc clair pour tout croyant musulman : Allah lui commande d’obéir sans se poser de question. Le deuxième verset précise le cadre de la prescription du combat : un pacte éternel entre Allah et les croyants.
Ce verset fondamental pour comprendre l’importance du combat dans le chemin d’Allah :
(S9, V111) : « Certes, Allah a acheté des croyants, leurs âmes et leurs biens, en contrepartie Il leurs promet le Paradis. Ils doivent combattre dans le sentier d’Allah : ils tuent, et ils se font tuer. Allah leur promet le Paradis : c’est une promesse authentique qu’Il a prise sur Lui-même dans la Thora, l’Évangile et le Coran (pour l’éternité). Et qui est plus fidèle qu’Allah à son Pacte (Engagement) ? Réjouissez-vous donc de l’échange que vous avez fait : Et c’est là une réussite suprême (un très grand succès) pour vous. »
Allah demande au croyant de lui vendre cette âme. En contrepartie, Allah promet au croyant l’accès garanti au Paradis. Allah précise au croyant en quoi consiste la vente de son âme et de ses biens : le croyant devra combattre dans le chemin d’Allah. Et pour qu’il n’y ait aucun doute sur la nature de ce combat, Allah précise au croyant qu’il doit tuer et se faire tuer. En conséquence, Allah garantit à celui qui meurt dans le Jihad, qu’il entrera sans aucun jugement dans le Paradis. C’est explicite et aucun doute ne peut être émis sur cette prescription. Il s’agit donc d’un pacte entre le Dieu de l’islam et ses fidèles et Allah leurs précise : « qui est plus fidèle qu’Allah à son pacte ou engagement ? ».
Et ce pacte est établi pour l’éternité. De plus, ce verset du Coran a une importance capitale. C’est le seul endroit du Coran, où Allah garanti l’entrée directe au Paradis, sans jugement, ni épreuve du tombeau. Même le Prophète Mahomet lui-même n’avait pas reçu cette garantie et demandait à son entourage de prier pour lui.
À la seule lecture de verset, la collabosphère devrait reconnaître que le Coran constitue une source importante de radicalisation. Et cette radicalisation est faite dans le cadre de la mémorisation et de la récitation du Coran.
Dans le verset suivant, le Coran rend hommage aux musulmans qui s’engagent dans le Djihad, et rappelle que ces fidèles respectent leur engagement envers Allah :
(S33, V23-24) : « Il y a, parmi les croyants, des hommes qui ont été sincères dans leur engagement envers Allah. Certains d’entre eux ont atteint leur fin (en mourant dans le combat pour Allah), et d’autres attendent encore ; et ils n’ont changé en rien dans leur engagement, afin qu’Allah récompense les véridiques pour leur sincérité (dans le respect du pacte avec Allah). »
On peut constater que les commandements du combat dans le Coran, ne sont pas liés à un contexte limité dans le temps et l’espace. Ces commandements de s’engager dans le combat, sont éternels. Ils sont valables en tout lieu et en tout temps, puisqu’Allah un pacte et une promesse éternelle d’entrer au Paradis à ceux qui combattent et meurent dans son chemin. D’ailleurs, Allah précise dans le Coran que tous ces préceptes sont éternels :
(S33, V62) : « Telles était la loi établie par Allah envers ceux qui ont vécu auparavant et tu ne trouveras pas de changement dans la loi d’Allah. »
(S35, V43) : « Et jamais tu ne trouveras de changement dans la règle d’Allah, et jamais tu ne trouveras de déviation dans la règle d’Allah. »
Les fidèles qui s’engagent dans le Djihad sont supérieurs aux autres croyants
Le Coran enseigne dans de nombreux versets que les musulmans qui s’engagent dans le Djihad sont supérieurs aux autres croyants qui se limitent à pratiquer le culte et refusent de combattre :
(S4, V95-96) : « Ne sont pas égaux ceux des croyants qui restent chez eux (sans combattre) et ceux qui luttent corps et biens dans le sentier d’Allah. Allah donne à ceux qui luttent corps et biens un grade d’excellence sur ceux qui restent chez eux. Et à chacun Allah a promis la meilleure récompense ; et Allah a mis les combattants au-dessus des non combattants en leur accordant une rétribution immense ; des grades de supériorité de Sa part ainsi qu’un pardon et une miséricorde. »
(S49, V15) : « Les vrais croyants sont seulement ceux qui croient en Allah et en Son messager, qui par la suite ne doutent point et qui luttent avec leurs biens et leurs personnes dans le chemin d’Allah. Ceux-là sont les véridiques. »
(S9, V20-22) : « Ceux qui ont cru, qui ont émigré et qui ont lutté par leurs biens et leurs personnes dans le sentier d’Allah, ont les plus hauts rangs auprès d’Allah… et ce sont eux les victorieux. Leur Seigneur leur annonce de Sa part, miséricorde et agrément, et des Jardins où il y aura pour eux un délice permanent où ils demeureront éternellement. Certes il y a auprès d’Allah une énorme récompense. »
(S49, V15) : « Les vrais croyants sont seulement ceux qui croient en Allah et en Son messager, qui par la suite ne doutent point et qui luttent avec leurs biens et leurs personnes dans le chemin d’Allah. Ceux-là sont les véridiques. »
(S3, V142) : « Comptez-vous entrer au Paradis sans qu’Allah ne distingue parmi vous ceux qui luttent et qui sont endurants ? »
Ces versets montrent à l’évidence que l’enseignement du Coran pousse les musulmans à la radicalisation et au Djihad. Pour souligner cela, on précisera qu’Allah affirme qu’Il aime ceux qui combattent et tuent pour que sa Parole domine le monde :
(S61, V4) : « Allah aime ceux qui combattent pour tuer dans Son chemin en rang serré pareils à un édifice renforcé. »
Allah demande à Mahomet d’inciter les fidèles au combat et condamne ceux qui refusent de se battre.
Dans le Coran, Allah ordonne à Mahomet non seulement de combattre les mécréants et les hypocrites, mais aussi d’inciter les musulmans au combat
(S9, V73) : « Ô Prophète, combat les mécréants et les hypocrites, et sois rude avec eux ; l’Enfer sera leur refuge, et quelle mauvaise destination ! »
(S8, V65) : « Ô Prophète, incite les croyants au combat. S’il se trouve parmi vous vingt endurants, ils vaincront deux cents ; et s’il s’en trouve cent, ils vaincront mille mécréants… »
Par ailleurs, le Coran condamne d’une manière explicite les musulmans qui refusent de combattre :
(S9, V38) : « Ô vous qui croyez ! Qu’avez-vous ? Lorsque l’on vous a dit : “élancez-vous dans le sentier d’Allah” ; vous vous êtes appesantis sur la terre. La vie présente vous agrée-t-elle plus que l’au-delà ? Or, la jouissance de la vie présente ne sera que peu de chose, comparée à l’au-delà ! »
(S9, V39) : « Si vous ne vous lancez pas au combat, Il vous châtiera d’un châtiment douloureux et vous remplacera par un autre peuple. Vous ne Lui nuirez en rien. Et Allah est Omnipotent. »
Allah reproche à ces musulmans de préférer la vie présente, leur bien et leur parenté au combat dans le chemin d’Allah :
(S9, V24) : « Si vos pères, vos enfants, vos frères, vos épouses, vos clans, les biens que vous gagnez, le négoce dont vous craignez le déclin et les demeures qui vous sont agréables, vous sont plus chers qu’Allah, Son messager (Mahomet) et la lutte dans le sentier d’Allah, alors attendez qu’Allah fasse venir Son ordre. Et Allah ne guide pas les gens pervers. »
L’enseignement coranique mène à la radicalisation
Comme on peut le constater à travers la citation de ces versets, il apparait clairement que l’enseignement du Coran mène à la radicalisation, puisque le Djihad et le combat sont glorifiés et encouragés : la tradition largement ancrée dans l’islam, consiste à enseigner le Coran dès la plus petite enfance. Les musulmans, depuis leur plus jeune âge, apprennent, mémorisent et récitent quotidiennement les versets du Coran. Beaucoup apprennent le Coran dans sa totalité au cours de ces études coraniques qui dure plus de dix ans. Par ailleurs, la récitation du Coran se fait d’une manière collective. Cette tradition est très répandue dans les pays musulmans. Elle s’étend aujourd’hui aux pays européens. Il est très important que nos autorités réalisent la dangerosité de cet enseignement coranique. Il faut par ailleurs, garder à l’esprit que les musulmans considèrent ce texte coranique est la « Parole incréée, éternelle, explicite et inaltérable d’Allah ».
Quand nos autorités, nos médias et nos universitaires affirment qu’il faut lutter contre la radicalisation par l’enseignement et l’éducation, il faudrait qu’ils réalisent que l’enseignement du Coran est en contradiction frontale avec cette lutte contre la radicalisation.
Zohra Nedaa-Amal