Les antifas agressent Danielle Le Men, présidente des « amis de Callac et ses environs »

Danielle Le Men au micro, le 17 septembre 2022, devant la mairie de Callac

Samedi matin, 28 janvier 2023, à Callac, avaient lieu les vœux du maire Jean-Yves Rolland.

Entre 20 et 30 antifas avaient fait le déplacement venant des quatre coins de la Bretagne. La raison de leur présence ne fait aucun doute : agresser ceux qui ont fait échouer le projet Horizon.

Danielle Le Men, Présidente de l’Association « Les amis de Callac et ses environs » a mené la bataille à Callac avec son association pour empêcher la venue de 70 familles immigrés, venant d’Afrique, dans le cadre du projet Horizon de la fondation Merci de Mme Cohen.

Samedi matin, 28 janvier, lorsque Danielle Le Men a voulu entrer dans la Mairie, 3 antifas lui ont barré la route, en lui refusant l’accès.
Ne se laissant nullement impressionner (alors qu’elle mesure 1m60 pour 43 kg) Danielle Le Men a voulu forcer ce barrage.
Une bousculade a eu lieu amenant à l’intervention d’un gendarme pour protéger Danielle Le Men.
Cela déclencha un affrontement entre les antifas et les gendarmes présents. Des renforts furent appelés.

Un affrontement eut lieu devant la mairie entre les gendarmes et les antifas, avec grenades lacrymogènes, échanges de coups, … etc.

Bilan :
un gendarme blessé
un véhicule de gendarmerie tagué et endommagé
deux interpellations d’antifas
une manifestation de 15 antifas devant la gendarmerie de Callac pour que leurs « camarades » soient libérés.

Danielle Le Men n’est pas blessée, ni aucun membre des amis de Callac.

Le Maire s’est entretenu avec Danielle Le Men et lui a dit qu’il regrettait ces violences mais que lui-même subissait des menaces.
Danielle Le Men lui a répondu : « Vous savez très bien que nous ne sommes pour rien dans les menaces que vous dites avoir reçues. Nous menons nos actions à visage découvert ».

Réponse du maire : « Je sais que vous n’êtes pour rien dans ces menaces ! »

Fabuleuse réponse … !
Le maire reconnaît publiquement que « Je sais que vous n’êtes pour rien dans ces menaces».

C’est pourtant les « amis de Callac » (dont moi) qui sont convoqués depuis plusieurs jours à la gendarmerie pour répondre à 12 plaintes déposées contre nous par l’équipe municipale de Callac.

De ces évènements, il me semble utile de tirer quelques enseignements.

Une campagne nationale a lieu actuellement contre les « violences d’extrême droite ».
En vérité, est qualifiée de violence d’extrême droite, toute action, protestation ou remise en cause d’un projet des bien pensants, notamment contre l’arrivée massive d’immigrés dans notre pays et leur répartition dans les campagnes.

Les vraies violences, bien réelles celles-là, sont chaque fois l’œuvre des antifas. Elles ne sont jamais dénoncées par la presse bien pensante ni par les élus immigrationnistes.

Ces élus immigrationnistes sont les véritables responsables des violences et du climat délétère qui existe dans notre pays. Eux et eux seuls !
Ils n’acceptent pas de reconnaître que le peuple ne veut pas de leurs projets immigrationnistes.
Pour masquer ce refus de la population, ils inventent des soi-disant menaces, violences ou agressions imaginaires.
Ce qui provoque invariablement une considérable montée des tensions.
Par ailleurs, ils n’hésitent pas à exciter les antifas, comme ils l’ont fait à deux reprises les 17 septembre et 5 novembre 2022 à Callac.
On retrouve partout ces comportements.

Par ailleurs, il nous semble essentiel de souligner qu’à trois reprises (17 septembre, 5 novembre et 28 janvier 2023) la violence des antifas s’est exprimée ouvertement à Callac.
Mais, jamais les élus de la mairie de Callac n’ont jugé opportun de dénoncer ces violences des antifas, visibles par tous.

A l’inverse, ils ne manquent pas une occasion de se présenter comme des victimes de violences, sans apporter la moindre preuve de ces prétendues violences.
Combien de temps pensent-ils tromper les citoyens avec ces accusations délirantes, relayées complaisamment par la presse « bien pensante » et « progressiste » ?
Combien de temps pensent-ils pouvoir accuser de manière imaginaire leurs opposants et dans le même temps couvrir les violences des antifas qui elles sont bien réelles ?

A Callac, les citoyens ont bien compris tout cela et le conseil municipal est de plus en plus isolé au sein de la population de cette bourgade.

De plus, d’une manière générale, il n’est pas possible que les élus continuent à agir dans le dos des gens, en cachant leurs projets et ensuite cherchent à les imposer de force aux populations. Tout en accusant ceux qui les combattent, de violences afin de se poser en victimes alors qu’ils sont les responsables.

En agissant ainsi, ils ne peuvent que provoquer la colère de la population.
Et ce n’est pas en créant un climat délétère par des accusations mensongères qu’ils parviendront à leurs fins, … ni à échapper à la légitime colère de la population.

Un dernier point.
Le Télégramme de Brest, indique dans un article paru ce jour, dimanche 29 janvier 2023, la suite qui a été donnée à l’arrestation de deux antifas, à l’occasion des violences commises devant la mairie samedi 28 janvier au matin.

Ce journal écrit :
« Inconnus de la police et de la justice, les jeunes interpellés ont été placés en garde à vue pendant 24 heures et sont sortis ce dimanche 29 janvier. Ils ont été déférés à la permanence du parquet de Saint-Brieuc et ils seront jugés, le 9 mai, pour actes de vandalisme. « Le parquet requiert un placement sous contrôle judiciaire et une interdiction de paraître dans le département des Côtes-d’Armor », indique le procureur de la république de Saint-Brieuc. »

Donc, attaquer des gendarmes dépositaires de la force publique, blesser l’un des gendarmes et dégrader un véhicule de la gendarmerie, cela se traduit pour le procureur de St-Brieuc par une simple procédure pour « vandalisme » devant le tribunal.
Rien n’est donc retenu pour les violences contre les forces de l’ordre ?
Le gendarme blessé, cela ne compte pas ?
Comment une telle mansuétude est-elle possible ?

On tremble à l’avance pour ces deux antifas qui se verront certainement condamnés à un « rappel à la Loi » éventuellement assorti de 10 ou 20H00 de travail « d’intérêt général ».
Terrible sanction … !

En fait, n’est-ce pas tout simplement un encouragement à « casser du flic » puisque les auteurs ne risquent rien ?

Pour notre part, nous sommes scandalisés et dénonçons ce laxisme du procureur qui ne peut qu’encourager les auteurs de ces exactions et leurs semblables à continuer de plus belle à agresser ceux qui ne partagent pas leurs opinions ainsi que les forces de l’ordre qui agissent sous les ordres du préfet, pour faire respecter la Loi, notamment celles qui garantissent le droit de manifester pacifiquement comme nous l’avons fait et le ferons chaque fois que ce sera nécessaire.

Bernard GERMAIN
Porte-Parole du Comité d’Organisation de Callac

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2 Commentaires

  1. L’important dans l’immédiat c’est qu’il n’y a pas eu de blessés parmi les « amis de Callac « !

  2. callac, l’os qui ne passe pas et leur reste en travers de la gorge; bravo à ces résistants

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