Les banksters, le sous-pape et les migrants

La dégradation de notre pays et de notre mode de vie est-elle le fruit exclusif de la submersion migratoire, de l’islamisation de la France, de l’Europe, du cortège de régressions et calamités qu’elles induisent ?

Cette question conduit à examiner 3 pistes qui ont trait à la politique, la religion, l’économie :

1 – Quel système a pu mettre en place une organisation planétaire d’une telle ampleur ?
2 – Comment une religion a-t-elle pu s’imposer si rapidement, si aisément, dans des territoires qui lui sont historiquement et culturellement étrangers ?
3 – Quelle en est la finalité ?

Poser ces question, c’est déjà un peu y répondre, mais développons ces pistes.

Soutenons notre propos par une image bien connue, celle de l’iceberg, de ses deux parties émergée et immergée, qui symbolise bien ce à quoi nous devrons nous confronter. Environ 20% de cet iceberg est visible depuis sa ligne de flottaison et 80 % est masqué par la mer. Notre naufrage, tel celui du Titanic, est dû au moins autant à la partie cachée, politique et idéologique, qu’à la partie visible, migratoire et civilisationnelle.

La partie visible  c’est l’islamisme, l’invasion migratoire de la France et de l’Europe. Dénoncés depuis une décennie dans ces colonnes.

La partie invisible, ce sont des réseaux d’intérêts très puissants, occultes, qui organisent les mutations et régressions qui se développent aux quatre coins du monde, que nous observons et subissons désormais de plus en plus vivement dans l’espace occidental.

D’aucuns, pour clore toute discussion sur ce sujet sensible (circulez, il n’y a rien à voir, ni personne…) le discréditent en le qualifiant de « théorie du complot ». Un mot valise-vide qui permet de dégager illico de la scène médiatique tout importun osant poser des questions gênantes.  Chape de plomb, ou omerta sur le sujet qui dérange.

Mais au fil du temps et de l’énormité croissante des nuisances, se profile de plus en plus nettement la réalité d’une organisation structurée à l’échelle mondiale, qui organise notre disparition. La « gouvernance mondiale », le « N.O.M », acronyme du  « Nouvel Ordre Mondial », traduisent à la perfection l’ambition démesurée de ses acteurs.

Cette « gouvernance mondiale » est de toute évidence consciente des méfaits considérables, des crimes, dont elle se rend coupable car elle s’applique à rester anonyme, en retrait de toutes les avant-scènes politiques et médiatiques. À quelques exceptions près.

Dessin triptyque Attali, Rothschild, Soros de Ri7

Invisibles pour les masses, les acteurs de cette « gouvernance mondiale » sont, à n’en pas douter, bien connus et respectés comme les Maîtres du monde par toutes les marionnettes politiques qu’ils ont réussi à mettre en place à la tête de très nombreux pays pour servir leurs ambitions et intérêts tels : l’exercice de pouvoirs, la captation d’argent sans limite. Non sans omettre, quelques exigences « d’avancées sexuelles » en terres vierges, encore interdites (je vous laisse deviner…).

Une interview d’Alain Wagner sur les accords de Barcelone, en 1973, présente cette «gouvernance mondiale » comme une structure à trois dimensions –  politique, économique et religieuse –  sous-tendue par des  accords européens  dits  de  « gentleman agrement. »

http://ripostelaique.com/alain-wagner-explique-comment-sest-decidee-lislamisation-de-la-france-15.html

Exercer au niveau mondial sa domination sur les peuples

Cette gouvernance, immorale, déshumanisée, avide de pouvoir et d’argent, a pour ambition d’exercer au niveau mondial sa domination sur les peuples. Un droit de vie et de mort sur les masses considérées comme un bétail anonyme, interchangeable et corvéable à merci. La réhabilitation, en cours, de l’eugénisme et de l’euthanasie ainsi que la progressive restauration de l’esclavage ne constitueront qu’une étape dans leurs desseins.

Sans famille, déraciné, sans éducation ni enseignement – dévalués à l’issue de trente années de travail de sape –  ignorant de sa culture et de son Histoire, aliéné par la propagande, anesthésié par le dispositif de décervelage télévisuel, publicitaire, l’atome de la masse est incapable de réagir alors même qu’il est conduit vers l’abattoir, vers sa propre disparition. Il ne réagit pas ou plus aux massacres de ses semblables. Il pense et fait ce que les médias aux ordres lui disent de penser et de faire : ne pas être un « facho », un « raciste », un « islamophobe », ne pas voter « populiste » et faire preuve avec ostentation de sa belle âme (participer aux processions officielles « je suis Charlie », épanchements de la pensée conforme sur les réseaux sociaux…).
Ces méthodes perfides de décervelage fabriquent des masses ignares et passives, idiots utiles au système. 

Pour ce qui est de la dimension religieuse, le judaïsme et le christianisme  – qui ont généré une culture du travail de grande efficience et permis ainsi de donner naissance aux sociétés modernes – rencontrent aujourd’hui deux problèmes majeurs :

L’affaiblissement de la foi, et une forte baisse démographique.

Cet état de fait conduit leurs clercs à  pratiquer un œcuménisme aveugle, à passer par pertes et profits leurs valeurs de partage, d’égalité, de miséricorde et de justice pour accueillir à bras ouverts et sans condition une “religion” masquant un système politique inégalitaire, sexiste, raciste, discriminatoire, génératrice de violence, qui exerce sans complexe la contrainte auprès de ses fidèles. Opérant par la ruse, la force, la loi (la charia) et le sabre – comme l’Histoire en témoigne partout où elle s’est imposée- elle permet un retour massif à la foi.

Nous assistons au dévoiement de deux religions millénaires qui, pour arriver à  leurs fins – sauver la foi dans le monde – justifient  l’adoption d’un moyen suicidaire : laisser la place à une autre foi, un autre peuple, une autre civilisation.
Pape sous cape, soupape ou sous-pape ? Dessin de RI7

Seule exigence de ces clercs : réussir à restaurer la foi, l’emprise religieuse sur les peuples. Un retour à la religion opium des peuples qui sert idéalement les intérêts des ploutocraties mondialistes qui y voient la conjoncture la plus favorable à la restauration en Europe de l’esclavage des peuples.

C’est la raison pour laquelle – à l’évidence on le constate – convergent l’option des religieux et des mondialistes, pour une politique d’accueil inconditionnel en Europe de multitudes de migrants musulmans. 

Pour résumer : surplombant les dogmes religieux, un nouvel ordre mondial tisse sa toile à notre insu, organise la submersion migratoire et l’islamisation de la planète en vue d’aboutir à la disparition des Nations, de la démocratie et des peuples européens. Ce que Renaud Camus appelle  le Grand Remplacement, c’est-à-dire la suppression d’un peuple et d’une civilisation et son remplacement par un autre peuple, une autre civilisation.

Plus de deux cent mille conversions à l’islam par an en France

Comme toujours les individus qui ont la faiblesse d’être sensibles à la domination  du conquérant se convertissent avant même qu’ils y soient obligés. On trouve parmi ceux-là des laïques en mal de croyance et d’interdits, des Catholiques (et même quelques Juifs) désolés par l’affaiblissement de leur confession, concupiscents devant le dogme conquérant et dominateur.
L’excellent géopoliticien Alexandre Del Valle, il y a quelques années déjà, avait annoncé deux cent mille conversions à l’islam par an en France !  Un chiffre qui est sans doute à réactualiser à la hausse.

Des juifs israéliens des deux sexes, au nombre d’environ 3000 par an, rejetteraient leur religion devenue trop lourde à assumer, trop stricte à appliquer, quitteraient les quartiers ultra-orthodoxes de leur enfance pour vivre une vie plus laïque, malgré des difficultés énormes d’intégration dans leur nouvelle vie.

Le mouvement de conversion à terme peut-il s’inverser ?

Il est bien connu – et les catholiques anticléricaux en savent quelque chose – que  la religion  inoculée à trop forte dose peut générer un sentiment de confiscation de liberté et en phase de rébellion sociale : produire l’effet inverse escompté.

Mais, si la soumission est un fardeau pour l’homme épris de liberté, l’inverse n’est pas moins vrai : dans la société occidentale acquise à l’idéologie libertaire et à son dogme de liberté sans limite, la persistance de frustrations est devenue source d’un profond désenchantement. C’est ce qui motive des insurrections sociétales multiples ainsi que de nombreuses conversions.

Quand la liberté devient un fardeau trop lourd à porter, parce que son exercice exacerbé lui fait perdre son sens, une religion encore plus contraignante offre à la « libre brebis égarée » un refuge. Telle est la nature humaine, pleine de contradictions et d’incompréhension…

Malgré le manque d’empressement des Catholiques à fréquenter leurs Églises ; malgré le bavardage légendaire dans les synagogues durant les offices ; malgré la dissolution de l’identité juive générée par l’assimilation des Juifs de la diaspora  ; malgré la décroissance démographique rapide, notamment celle de la population juive en Europe dans les trente années à venir, le pire n’est jamais certain.

Rien ne nous permet alors d’affirmer que le judaïsme et le christianisme soient incapables d’un sursaut vital, d’un renouveau, d’un retour de confiance en eux-mêmes, en leurs valeurs.
Rien ne nous permet d’affirmer que les peuples de culture démocratique, croyants ou laïques, soient incapables de se défendre pour survivre et sauver l’art de vivre qu’ils ont en commun dans les gènes de leur culture judéo-chrétienne.

Rien ne dit non plus que le mouvement de conversion ne puisse à terme s’inverser.

Ce lien vidéo constitue un dossier intéressant, diffusé sur FR2 dans un  JT de David Pujadas sur l’avenir menacé des Chrétiens de Kabylie.

https://www.dailymotion.com/video/x8wuah

Certes, il ne faudra pas compter sur nos « gouvernances mondialistes » converties au culte de Ploutos. Aveuglées par leurs dogmes triviaux, économiques et marchands, biopolitiques, elles s’enferment dans le déni de la réalité des hommes et des cultures. Mais elles vont très bientôt être au fait de ces réalités par l’irruption du Réel.

Faire alliance avec l’ennemi,  détournerait sa violence ?

Une vidéo de Jacques Attali – dans son rôle hypocrite usuel de prophète humaniste –  qui préconise à ses coreligionnaires de s’allier avec l’islam, en est un exemple flagrant. Il nous apprend – chose intéressante – que la riche bourgeoisie juive de Londres financerait les imams. Ce serait, dit-il, pour jouer un rôle dans l’intégration des minorités musulmanes…
À moins que ce soit une manœuvre de dhimmis, pour annihiler la menace de mort qui les vise. Ainsi, en essayant de faire alliance avec l’ennemi, ils pensent détourner sa violence vers d’autres boucs émissaires par exemple : les populations d’accueil présentées, in fine, comme inhospitalières, racistes, responsables de l’impuissance et des frustrations de minorités (sur lesquelles il y aurait beaucoup à dire)  ?

https://m.youtube.com/watch?v=gUxn4bddUG8

Assurément, la réalité viendra sanctionner par un échec cuisant ces prospectives fantasmatiques.

Les mondialistes se battront bec et ongles pour sauvegarder leurs rêves de domination, leurs intérêts pécuniaires faramineux et autres jouissances mirobolantes qui les confinent dans leur idéologie auto suicidaire.

Notre survie, la sauvegarde et la revitalisation de la société occidentale passera par une alliance généreuse entre des hommes et des femmes laïques et de toutes obédiences, de plus en plus en plus nombreux et déterminés à se battre pour sauver la démocratie, l’égalité des sexes, la pratique des arts, qui sont les principes fondamentaux de notre culture, de notre art de vivre.

Patrick Granville