Les crimes du Califat : islamiquement corrects et même louables

Dans le silence de Dalil Boubaker et autres Recteurs et Imams en France
Dans le silence de Dalil Boubaker et autres Recteurs et Imams en France

Pourquoi, devant les crimes monstrueux du Califat autoproclamé en Irak, ce silence des grandes institutions de l’Islam ? Pourquoi l’Organisation de coopération islamique, qui regroupe 57 pays, l’université d’al-Azhar, l’Union internationale des oulémas, le Conseil européen pour la recherche et la fatoua… ne dénoncent-ils pas les massacres de chrétiens et de yazidis qui refusent de se convertir à l’islam ou de se soumettre au statut de dhimmis, d’Untermenschen ?

A question simple, réponse simple :

Parce que les actions des membres du Califat sont parfaitement licites au regard du dogme et de la Loi de l’Islam, parce qu’elles sont justifiées à la fois par le Coran, livre écrit par Allah, éternel comme Lui, et par les hadîth-s, recueils des faits et dits de l’envoyé d’Allah, le « beau modèle » selon le Coran. Voudrait-on que les Musulmans renient l’Islam, leur livre sacré, leur prophète, qu’ils apostasient ?

Le statut de dhimmi : c’est Mahomet qui en jeta les bases lors de la prise de la ville juive de Khaybar, en 628 ; quelques années plus tard, le deuxième calife, Omar, ne fit que compléter la réglementation par une longue liste d’interdictions et d’humiliations.

Les massacres : à Médine, en 627, Mahomet fit égorger publiquement, en une journée, entre 700 et 900 mâles de la tribu juive des Qurayza, depuis les enfants à peine pubères jusqu’aux plus grands vieillards.

Les viols, la réduction en esclavage des femmes et des enfants des vaincus, les nettoyages ethniques…, il n’est aucune des actions de terreur de ceux que les autruches d’Occident nomment « islamistes » ou « djihadistes » dont on ne puisse trouver l’exemple dans les « campagnes » (maghâzî) du Beau Modèle, ses titres de gloire aux yeux d’Allah, et qui ne soit exaltée dans le Livre saint. Ce sont, par là même, des actions qui sont qualifiées dans le droit musulman, non seulement de permises, de licites, mais de louables, de recommandées, et pour certaines, d’obligatoires.

Quand les Occidentaux ouvriront-ils les yeux sur l’Islam ? Quand apprendront-ils qu’Il n’est pas d’œuvre meilleure aux yeux d’Allah que le combat pour l’expansion de l’Islam ? Quand s’aviseront-ils qu’Allah a fixé comme premier devoir à ses sectateurs  l’anéantissement de toutes les civilisations et leur remplacement par l’Islam, une échéance au demeurant inéluctable qu’Il a décidée de toute éternité ? (Grand seigneur, Il récompense d’ailleurs largement ceux qui agissent pour cette noble cause : par le butin pris aux Infidèles et, outre-tombe, par Son paradis aux délices sans cesse renouvelées.)

Le djihad est au centre de l’Islam, et sous ses deux faces : la violence et, quand les Musulmans ne sont pas en position de vaincre, la ruse, le mensonge, la dissimulation : la taqiyya. Aujourd’hui, l’Islam se manifeste en Irak par la violence, en Europe par la taqiyya, mais ici et là-bas avec la même visée sacrée : asservir les peuples infidèles, les dépouiller et anéantir leur civilisation.

Chers lecteurs, à vous de vous demander ce que vous devez faire en présence des réalités de l’Islam, que vous ne pourrez jamais changer, pour préserver votre pays, votre civilisation, vos enfants… ou vous-même peut-être.

René Marchand

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