Les dégâts de la tyrannie du vivre ensemble

European News.

La tyrannie du “vivre ensemble” provoque l’exode des gens normaux de ces quartiers dits sensibles.

La tyrannie du “vivre ensemble” est le résultat de la politique migratoire des socialo-communistes, les alliés objectifs des activistes islamo-gauchistes anarcho-révolutionnaires en guerre contre l’État de droit.

Lu sur dreuz.info : “L’Europe va s’africaniser, c’est inévitable“. Selon Stephen Smith, journaliste et écrivain, spécialiste de l’Afrique, “les États européens vont devoir négocier entre eux pour faire face à la forte pression migratoire en provenance de l’Afrique. L’Europe va s’africaniser, les jeunes sont là, ils sont déjà nés, il n’y a rien à faire“. Stephen Smith vient de publier “La ruée vers l’Europe” : “la jeune Afrique en route pour le vieux continent” (éd. Grasset). “Tant que l’Afrique croit à ce rythme, impossible (de juguler). Tous les progrès sont noyés par la progression démographique. Il faut maîtriser cette croissance démographique. C’est un problème de long terme et l’Europe va faire face à une migration très forte depuis l’Afrique, c’est inévitable“.

Ce n’est pas multipliant les aides au développement des pays africains que la situation s’améliorera : “Non, ce n’est certainement pas la solution. C’est une imposture. Nous allons développer un continent d’1,3 milliards, l’équivalent de la Chine. L’aide au développement va permettre à une classe moyenne de migrer, de partir du continent africain… Toutes les volontés de fermer les frontières sont inutiles… Les gens passeront. C’est inévitable. Mettez-vous à la place des Africains qui voient de telles inégalités et qui pensent à leur vie…”

La tyrannie du “vivre ensemble” selon LREM et l’État totalitaire est investie de la mission de surveiller le fonctionnement du système du “vivre ensemble”, mais sûrement pas pour tout le monde, et de l’harmoniser en modifiant, au besoin, les règles de la vie en société. Divers organismes ont pour mission de coordonner les actions d’intégration des migrants, avec pour objectif d’orchestrer l’installation des migrants sur le terrain qui incombe aux autorités locales et aux activistes des associations immigrationnistes. La tyrannie LREM du “vivre ensemble” est investie de fonctions de contrôle, d’évaluation et de domination. Les premières initiatives de la tyrannie du “vivre ensemble” ont concerné la lutte contre le racisme et l’encouragement de l’immigration.

La tyrannie du “vivre ensemble” selon l’État totalitaire LREM assure la coordination de la lutte contre la violence raciste dont seraient victimes les migrants, “une chance pour la France” selon le slogan LREM.

Afin de mieux intervenir sur le problème de la lutte contre la violence raciste, on a décidé d’étudier les moyens d’améliorer les méthodes et la législation concernant la lutte contre le racisme, comme si on ne savait rien faire d’autre dans la lutte contre le racisme qu’une affaire de législation. Le Conseil de réflexion sur l’islam en France devait créer une instance, représentative des musulmans de France, de dialogue avec les pouvoirs publics. La condition musulmane de la citoyenneté française exigeait le principe d’une division du corps social en communautés. Dans les banlieues à forte concentration d’immigrés, on a créé des ZEP, zones d’éducation prioritaires destinées à lutter contre l’échec scolaire des enfants d’immigrés. Les actions étaient menées en partenariat avec les associations de quartier islamisées. Et en même temps, “Une étude relayée par l’Express le confirme : plus les élèves sont musulmans, moins ils se sentent français !” (dreuz.info)

L’article de l’Express alerte : “Une étude montre que foi et citoyenneté ne font pas bon ménage chez certains jeunes Français se revendiquant musulmans“. Selon les résultats de cette étude, “une vaste enquête, menée en 2015 auprès de 9 200 collégiens, le constat est sans appel : “les musulmans sont, de loin, ceux qui expriment le plus faible sentiment national, Plus la foi de ces jeunes est affirmée, plus leur adhésion à l’État (républicain) est faible. Seulement 30,7% des collégiens musulmans disent se sentir français…”

En même temps, les équipes éducatives, assistées d’un coordonnateur chargé de l’animation, sont invitées à fixer leurs objectifs pédagogiques. Un conseil de ZEP et des groupes de pilotage académiques ont suivi la mise en place de cette politique du ministère de l’Éducation nationale socialiste. En même temps, le ministère de la Justice a installé au cœur des villes de centres d’accueil des jeunes en difficulté. Chaque tribunal devait être doté d’une permanence éducative, susceptible de prendre en charge le mineur délinquant, et de lui trouver une formule d’hébergement adaptée. On devait créer, pour la circonstance, des commissions pédagogiques chargées de cerner les problèmes de violence scolaire. En même temps, il fallait favoriser une réflexion globale sur les violences et un échange régulier d’expériences en matière d’égalité scolaire…

Malgré cela, un rapport sur l’évaluation des politiques d’insertion notait le problème des adolescents en difficulté et la nécessité d’une “discrimination positive” envers les migrants, “une chance pour la France” !

La création de structures d’insertion des jeunes, au niveau national, départemental, communal, devait faire en sorte que des jeunes révoltés aient une chance de se réconcilier avec le monde, avec ce présupposé qu’il est “illusoire de proposer à ces jeunes une situation de formation reproduisant l’échec initial de l’école“. Les comités de prévention devaient prendre en charge le “statut social” du sujet dans sa “globalité”. (???)

La tyrannie du “vivre ensemble” provoque la surveillance et le soupçon des opposants au système de l’intégration des migrants et de la désintégration En Marche ! des quartiers islamisés.  L’idéologie En Marche ! du “vivre ensemble” poursuit ses objectifs en s’efforçant d’éliminer tout ce qui nuit au mensonge social. Les travailleurs sociaux sont chargés d’une tâche spécifique pour l’intégration des migrants. En même temps, ils reçoivent une mission pédagogique d’ensemble pour assurer la propagande socialiste pro-migrants.

Quand les travailleurs sociaux se mêlent de propagande antiraciste, ils se préoccupent d’harmoniser le peuplement des grands ensembles. C’est pourquoi l’idéologie pro-migrants de gauche est inévitable afin de distribuer des logements H.L.M. sur la base de critères ethniques et religieux pour améliorer le climat social !

On connaît le résultat de telles pratiques : pour éviter une ghettoïsation par groupe d’immeubles, la “discrimination positive” de la propagande pro-migrants conduit à un “apartheid” des quartiers et de secteurs des villes désertés par ceux qui refusent d’être traités en cobayes de la tyrannie du “vivre ensemble”, mais pas pour tous ! La suppression des classes d’excellence dans les collèges, pour faire vivre des élèves de tous niveaux en harmonie, a abouti à transformer le fossé entre les bonnes et les mauvaises unités pédagogiques d’un établissement, en un gouffre insurmontable séparant la qualité des différents établissements. La tyrannie du “vivre ensemble” doit remplacer l’idéologie égalitariste de gauche, avec les mêmes effets délétères.

Mais au-delà de l’inefficacité de l’initiative d’un urbanisme H.L.M. pro-migrants, le scandale consistait à officialiser la pratique banale, mais jusqu’alors honteuse, de la prise en compte de la religion et de la race par les organismes de logement. À défaut de maîtres, les banlieues ne vont pas manquer d’éducateurs et de travailleurs sociaux pour la déradicalisation imaginaire des islamistes modérés radicalisés !

Quand explose le mythe égalitaire et le terrorisme intellectuel antinational de gauche de l’Éducation Nationale socialiste, la laïcité relève de la mythologie consensuelle du “vivre ensemble” socialo-communiste.

En même temps, la machine égalitaire antinationale de gauche de l’Éducation Nationale socialiste a contribué à creuser les inégalités. Chez les parents d’élèves, le soupçon des enseignants partisans domine et l’exaspération de la propagande islamo-gauchiste pro-migrants est un effet de la machine à penser LREM pour justifier la tyrannie du “vivre ensemble”. LREM favorise l’amour des ennemis, en l’espèce, les meneurs extrémistes ou les délinquants des grands ensembles, qui sont toujours impunis. Comme ils sont victimes mais pas coupables, cela signifie que les Français de souche sont tous responsables du “vivre ensemble”.

Dans la vraie France, on est profondément enraciné dans les mœurs du pays réel. C’est pourquoi la méfiance des islamistes modérés radicalisés ne peut qu’amplifier les divisions et les contentieux.

C’est sûrement ce qui va accélérer l’atomisation du corps social par la politique LREM pro-migrants.

C’est ainsi que chaque initiative nouvelle de la tyrannie du “vivre ensemble” pro-migrants contribue à resserrer la surveillance des opposants avec l’oppression polico-judiciaire contre la liberté d’expression. C’est ce que la société dhimmi LREM pro-migrants redemande. La vieille mythologie du complot est à l’œuvre dans l’obsession politique LREM pro-migrants soutenue par les islamo-gauchistes contre la liberté d’expression.

La Droite Nationale n’a pas besoin d’être très sollicitée pour animer et fédérer les passions contre la corruption immigrationniste de la vie des gens par la politique LREM du “vivre ensemble” pro-migrants.

Thierry Michaud-Nérard

(adapté très librement du livre : “L’angélisme exterminateur“, “Essai sur l’ordre moral contemporain” de Alain-Gérard Slama © Grasset & Fasquelles, 1993).