Les djihadistes français qui tenaient une tête coupée seront libres d’ici peu

Vous vous souvenez de cette photo horrible, qui a disparu depuis des réseaux sociaux, deux djihadistes qui posaient fièrement, en tenue de combat, l’un tenant dans sa main une tête tranchée à l’aide d’un couteau et le second une kalachnikov menaçante dans la sienne ?

Ces deux djihadistes étaient « français ».

Ils étaient partis de Toulouse pour aller combattre en Syrie, tout d’abord dans les troupes de « Jabhat al-Nosra, l’un des groupes les plus cruels, puis avaient rejoint les rangs de l’État Islamiste, entre les mois de mai et août 2013.

Tous deux ont participé à de nombreuses actions militaires et à des exactions sanguinaires.

Dès leur retour en France (comment ont-ils pu revenir sans être reconnus, appréhendés, condamnés et incarcérés, on se le demande ?) ils avaient tenu des réunions dans un appartement toulousain, pratiquant le prosélytisme auprès d’individus afin de les inciter à rejoindre Daesh en Syrie.

Finalement arrêtés, lors de leur procès, en avril 2018, alors qu’une peine de 20 ans de réclusion criminelle avait été requise contre eux, les juges avaient finalement prononcé des peines de 15 années de réclusion, donc inférieures aux réquisitions.

Mounir Diawara, âgé de 23 ans, et Rodrigue Quenum, 22 ans, ce sont ces deux « pauvres gosses des quartiers populaires de Toulouse », jugeant ces condamnations tout de même trop lourdes, avaient fait « appel » et, jeudi dernier, les juges parisiens de la Cour d’assises d’appel spéciale, « les ont compris » et leurs condamnations ont été réduites à dix ans de réclusion criminelle (source AFP), assorties d’une période de sûreté des deux tiers et d’une inscription au fichier des « Auteurs d’infractions terroristes » (FIJAIT).

Ces « deux héros », pour les jeunes délinquants qu’ils continueront à radicaliser en prison, seront libérés dans quelques années et s’empresseront de « remercier » la France à leur manière, alors que leur place serait au bagne, loin de nos frontières métropolitaines, relégués afin qu’ils ne puissent plus jamais revenir.

Manuel Gomez

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15 Commentaires

  1. J’espère que ces deux cinglés partis là-bas pour assouvir leurs pires instincts se rappelleront au bon souvenir du juge qui les fait ressortir plus tôt et le remercieront à leur manière comme il se doit !

  2. une france qui donne envie de GERBER ! en etant coherents , jouissons sans retenue du drame de la reforme des retraites de macron ! ils ont VOTE MACRON ! alors qu ils en bouffent presque jusqu en enfer . la cgt a prefere macron qui les lesent avec un grand B ; qu importe ils en ont encore pour 2 ans et ils n auront meme pas besoin de vaseline …….. la prochaine fois ils y reflechiront mieux sauf cas de lobotomie !!!!…. patriotes MARRONS NOUS !!!

  3. Rassurez vous, ils vont connaitre les horreurs de nos prisons comme à Saintes (17 ) où le vacancier ( pardon: détenu ) avait dans sa chambre ( pardon: cellule ) outre un couteau et un téléphone portable, une piscine, dans ce même centre de vacances il y a quelques années des ” détenus ” s’étaient évadés ( pardon: avaient fugués) lors d’une sortie avec un éducateur. Je pense à ces djihadistes qui doivent trembler en pensant qu’ils vont peut être connaitre ces centres de vacances. Pauvre pays….

    • Wouaooouu ! “boite à foutre”, je la retiens, celle-là, et regrette de ne pas y avoir pensé.
      Sinon, jusqu’où faudra-t-il descendre dans l’infâmie ? Faire venir CHEZ NOUS les pires assassins de la planète : çà ressemble à un projet ! (parce que c’est notre projet . . . .)

    • Parmi ces boîtes à foutre, il y a bien des algériennes. Pourquoi s’encombrer de ces merdes ? Qu’elles aillent dans leur pays.

    • Excellent! Je propose “sac à foutre” c’est plus proche de l’image qu’elles donnent d’elles-mêmes. Et c’est horriblement “phobe”……

  4. dans l’appartement en dessous de chez moi dans l’isère ils avaient écrit le serment d’allégeance à DAESH en lettres de sang , leur appartement servait d’école coranique et de lieu d’exercice pour l’égorgement. l’odeur était insoutenable, j’ai du déménager suite à leurs menaces. à mes frais bien entendu.

  5. pourvu qu’une fois sortis ils n’égorgent pas les juges qui les ont mis au trou !

  6. OUI ROUVRIR UN BAGNE comme disait Pasqua, et non le confort des prisons françaises, comment voulez-vous qu’ils arrêten leurs crimes sanguinaires ayant appris très jeunes en égorgeant les moutons et la clémence des juges.

  7. tous ses monstres aux crocodiles du zambéze.plutot le zambéze que la corréze pour toutes ses sous-merdes,et nos politicards vendus et prébendiers.instigateurs de toutes ses horreurs.

  8. Leur place serait plutôt au cimetière de Cornebarieu près de Toulouse, à côté de Mohamed Merah

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