Les droites nationales dans l’Union européenne nous donnent de l’espoir

La montée des partis de Droite nationale semble bien irrésistible.

Partout en dans l’Union européenne, les peuples se réveillent et portent au pouvoir dès qu’ils le peuvent des partis nationaux, ceux que les mondialistes, les progressistes appellent les « populistes ».

Quand on n’a plus que l’insulte, il reste encore une marge.

Faire peur, parler de « résistance », réveiller les morts de la dernière guerre, les déportations, les crimes de guerre, etc., Emmanuel Macron nous a déjà fait la grande scène quand il est allé à Oradour-sur-Glane. On a tout de suite compris le message sous-entendu face à sa concurrente, Madame Le Pen. Les imbéciles, les incultes en histoire, les gentils idiots utiles et même les organisations juives du moment ont marché dans cette manipulation de l’opinion publique.

Quand l’insulte ne suffira plus, il y aura la terreur ?

Une organisation de la violence. Des antifas lâchés dans les rues des grandes métropoles, ces groupes d’assauts à la Röhm, ce dignitaire nazi des années trente. Il y aura aussi les black Blocs, ces petits et grands cons issus de la bourgeoisie qui se font des frissons, des montées d’adrénaline à taper sur du policier, d’autant plus qu’ils risqueront encore moins qu’aujourd’hui.

Il y a la violence qui surgit au coin des rues, des viols, des assassinats, des règlements de comptes et, tout nouveau, des agressions sur des stars de l’antenne, chez eux, dans leurs lits.

Les pouvoirs actuels ont les moyens de susciter cette peur et puis de tenter, pour singer une réalité sécuritaire, de mettre en place un écran de fumée en se faisant passer pour des forts au service des faibles. On verra des Darmanin, des Dupond-Moretti, des Attal prendre des poses, sortir des discours que nous connaissons bien depuis le karcher de Nicolas Sarkozy. Nous serons dans la posture et l’imposture.

Les Partis nationaux comme en Slovaquie, en Hongrie, en Suède, au Danemark, en Italie, en Espagne, en Allemagne et en France ont le vent en poupe.

Cela ressemble à une grande vague. Va-t-elle se heurter au mur de la peur qu’auront réussi à générer les pouvoirs en place, ou bien les peuples vont-ils comprendre que cette vague va balayer toutes les scories, les limailles, les déchets, les détritus, les vomis qui, depuis quarante, nous gouvernent ? Au moins en France.

• Le parti populiste SMER en Slovaquie de Robert Fico est arrivé très nettement en tête, avec environ 23 % des voix.
• Victor Orban en Hongrie est bien installé et pour longtemps.
• Vox en Espagne, fondé en 2013 et actuellement dirigé par Santiago Abascal, a loupé son pari lors des dernières élections mais est devenu incontournable.
• Le parti Démocrate de Suède, jugé d’extrême droite par la bien-pensance de Jimmie Akesson, est arrivée en deuxième position aux élections législatives du 11 septembre, et il est un soutien indispensable du gouvernement actuel.
• Le Parti populaire danois de Kristian Thulesen Dahl gouverne sur son programme, avec une coalition qui n’a pas eu le choix.
• En Allemagne c’est l’Afd, de Robert Sesselmann, qui a été élu largement avec 52,8 % des suffrages à la tête d’une communauté de commune. Ce parti monte dans les sondages et sera bientôt incontournable.
• Il y a bien sûr Giorgia Meloni en Italie et son complice Matteo Salvini, dont on voit bien qu’ils sont empêtrés dans les filets de la von der Lahyène, pour des raisons budgétaires.
• Le Parti de la Liberté de Geert Wilders en Hollande qui fait son chemin également, même si c’est aussi laborieux qu’en France.
• Reste la France avec le RN. Madame Le Pen et son protégé Jordan Bardella. Les Patriotes de Florian Philippot, Debout la France de Nicolas Dupont-Aignan, Reconquête! d’Éric Zemmour, l’UPR de François Asselineau.

Vont-ils trouver le moyen de travailler ensemble, au moins a minima ? Ce sont bien les seuls partis vraiment de Droite nationale, car si je me fie à la carte des « méchants fascistes » délivrée par l’extrême gauche et les gauchistes dans leurs journaux, c’est vraiment à se tordre de rire. On y trouve des ordures nazis, mais aussi Éric Ciotti et Les Républicains. Non, ceux-ci  ne représentent pas la Droite nationale. Les uns sont des tarés racistes, les autres des centristes d’une droite molle. 

À la lecture de cette montée qui semble irrésistible des Droites nationales dans l’Union européenne, nous ne pouvons qu’espérer que peu à peu la donne politique change en profondeur.

Ce que je crains, en dehors de la peur (la terreur ?) que ces gouvernements voudront diffuser, c’est qu’il y ait la volonté de nous noyer sous l’invasion migratoire pour que nous soyons ficelés d’une manière inextricable.

Gardons l’espoir et surtout, votons pour l’un de ces cinq partis aux prochaines élections. Mais soyons juste, votons utile pour être sûr d’en envoyer plusieurs dans les Assemblées.

Gérard Brazon