Les femmes, qui ont peur dans les transports, doivent voter Zemmour

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Ces femmes qui ont peur dans les transports collectifs, comptent sur Zemmour

Le constat est aussi accablant qu’incontestable.

Au niveau national, 47% des victimes de vols avec violence commis dans les transports sont des femmes. Et ce taux monte à 59% en Île-de-France. ( ministère de l’Intérieur )

Rappelons que dans les années soixante, cette violence n’existait pas. La France était un havre de paix. Ceux qui nient le lien immigration/insécurité mentent, et l’étude suivante le prouve.

Selon l’Autorité de la qualité de service dans les transports (AQST), les femmes sont de plus en plus nombreuses à renoncer aux transports en commun, par peur des agressions en tous genres.

Une étude qui porte sur l’Île-de-France, montre que 51% des femmes se sentent en insécurité dans les trains de banlieue, le métro ou le RER. Mais elle confirme également que plus les lignes traversent des zones sensibles, plus les femmes ont peur et évitent les horaires à risque.

Pour mener cette étude, 300 comptages ont été effectués, totalisant 22 000 personnes. Ces mesures ont été faites entre 14h30 et minuit.

27 gares de RER et de trains de banlieue et de stations de métro ont été observées.

8 d’entre elles étaient situées en zone aisée et 19 en zone sensible.

Bilan :

Jusqu’à 19h30, les transports brassent autant d’hommes que de femmes.

Selon l’ONDRP ( Observatoire national de la délinquance et de la réponse pénale, organisme indépendant dissous par macron en 2020 ), les horaires les plus anxiogènes se situent après 20h30.

Vers 21h30, le pourcentage de femmes chute à 34%

Vers 23h30, il n’est plus que de 24%

A la nuit tombée, le taux descend encore davantage dans les zones sensibles.

Rappelons qu’une étude de 2011, nous apprenait que dans les zones sensibles, la population est d’origine immigrée à plus de 52%. Chiffre qui a dû augmenter depuis.

Si les immigrationnistes refusent de faire le lien immigration/insécurité, les femmes quant à elles, le font systématiquement, sans s’embarrasser de considérations antiracistes superflues. Leur sécurité avant tout !

Que ce soit dans le sens Paris-banlieue ou banlieue-Paris, le taux des voyageuses tourne autour de 36% en zone aisée et tombe à 30% en zone sensible.

Et il suffit que la ligne traverse une zone sensible pour que la fréquentation des femmes chute, même si leur destination finale se situe en zone tranquille.

Vers 22h30, dans le sens Paris-banlieue, le taux de voyageuses est de 40% si la ligne ne traverse pas de zones sensibles. Il chute à 19% si la ligne traverse des zones à risque.

La peur est donc bien réelle, fortement liée aux zones sensibles.

C’est dans le RER que le sentiment d’insécurité est le plus élevé, suivi par le métro, les trains de banlieue, le tramway et le bus.

Quant aux violences sexuelles, elles concernent les femmes dans 95% des cas.

Par conséquent, quand Zemmour dit que les femmes ont peur dans les transports, dans la rue, peur de porter des minijupes ou des décolletés, il ne fait que révéler une réalité.

Les féministes, totalement biberonnées au politiquement correct, se gardent bien d’évoquer ce problème qui les dérange. Elles préfèrent cibler le mâle blanc, c’est sans risque.

Les femmes savent très bien qu’elles n’ont rien à attendre des féministes. Mais elles sont de plus en plus nombreuses à suivre Zemmour, le seul candidat bien décidé à rétablir la loi et l’ordre dans le pays. Ecoutez cette vidéo. 

https://youtu.be/Z43_qj1VexU

https://youtu.be/Z43_qj1VexU

Le mouvement Les femmes avec Zemmour , c’est une réalité. Mais la misogynie de notre patriote, c’est une fable.

Nos femmes et nos filles ont peur et Macron reste les bras ballants, ayant fait de la France le pays le plus dangereux d’Europe.

Jacques Guillemain