Les Français financent ceux qui viennent les remplacer

Tout ce que pressentaient les éveillés se réalise.
Sauf que c’est un peu comme pour les pronostiqueurs du réchauffement climatique, on était tous trop optimistes dans nos prévisions de départ, et il semble bien que le Grand Remplacement s’emballe comme le climat.
Ainsi l’Italie est complètement submergée d’envahisseurs :

https://actu.orange.fr/monde/italie-l-ile-de-lampedusa-ne-parvient-plus-a-faire-face-a-l-afflux-de-migrants-magic-CNT0000027lo0c.html
https://actu.orange.fr/monde/afflux-record-de-migrants-sur-l-ile-italienne-de-lampedusa-CNT0000027lctq.html

J’ai fait des focus sur la situation des Alpes-Maritimes qui devient une Mayotte bis avec des dépenses de prises en charge de migrants qui, aux termes même d’une lettre d’au secours S.O.S pognon du président du département, adressée au gouvernement cet été 2023, alerte sur la situation gravissime en précisant que « les services du département ne peuvent aujourd’hui faire plus, après avoir consacré des moyens humains et financiers colossaux ».
https://ripostelaique.com/departements-inevitable-explosion-des-impots-a-cause-de-limmigration.html

Pour ce qui est des moyens financiers colossaux, j’avais ainsi avancé que dès 2023, c’est entre 10 % et 20 % du budget du département du 06 qui est consacré aux prises en charges, avec la perspective, dans les deux à trois ans à venir, d’arriver aux 50 % des dépenses du département vu la trajectoire exponentielle de l’invasion, et compte tenu de la ventilation opérée des arrivants vers tous les territoires français, qu’il en ira de même pour l’ensemble des départements.

Tout le monde maintenant aura remarqué que dans la ruralité, on ferme les services des urgences et les petites unités hospitalières afin de dégager les ressources financières nécessaires à l’ouverture des centres pour migrants : le message est on ne peut plus clair, les Français blancs de souche doivent périr pour faire de la place aux Grands Remplaçants, avec cette curiosité ébahissante que la plupart des citoyens, dont ceux de Carhaix et plus généralement les Bretons, n’arrivent toujours pas à faire le lien entre leur déshérence et le pognon à tonneaux de danaïdes que les pouvoirs publics sont prêts à mettre sur la table pour les centres d’hébergement des exotiques.
Sur un petit territoire allant de Callac à Carhaix, n’importe quel enfant qui en a un peu là-dedans établirait fissa la liaison de cause à effets entre les millions annuels prévus pour l’ouverture d’un CADA à Callac et la fermeture des urgences de nuit à Carhaix.
https://actu.orange.fr/france/fermeture-des-urgences-de-carhaix-la-nuit-l-ars-de-quimper-bloquee-par-des-manifestants-magic-CNT0000027lWJw.html

Les Bretons n’auraient-ils même pas l’âge mental d’un enfant de 10 ans capable d’établir des ponts entre les choses pour décoder l’univers qui les entoure ?
Pourtant quelques personnes invitées sur les plateaux TV, maintenant que les choses deviennent tellement évidentes que la presse de propagande n’est même plus apte à les cacher par son mensonge permanent sur l’état du pays, le disent ouvertement : il vaut mieux être étranger du migratoire que français blanc de souche pour espérer un des secours économiques, financiers ou médicaux dans ce pays.
Pierre Conesa : « Mieux vaut être un expulsé inexpulsable qu’un SDF français, vous êtes logé, nourri, blanchi ».
https://www.fdesouche.com/2023/09/14/pierre-conesa-mieux-vaut-etre-un-expulse-inexpulsable-quun-sdf-francais-vous-etes-loge-nourri-blanchi-la-france-a-la-grosse-communaute-chinoise-vietnamienne-armenienne-j/

Guillaume Bigot : « Je connais un citoyen français d’origine sénégalaise qui s’est fait passer pour un migrant pour être logé » ; « On traite mieux les étrangers qui arrivent que les pauvres du pays ».
https://www.fdesouche.com/2023/09/14/guillaume-bigot-je-connais-un-citoyen-francais-dorigine-senegalaise-qui-sest-fait-passer-pour-un-migrant-pour-etre-loge-on-traite-mieux-les-etrangers-qui-arrivent-que-les/

Dans un post d’il y a quelques années j’avais déjà proposé aux pauvres blancs de France qui n’arrivent plus financièrement à élever leurs enfants de les laisser sur les perrons des préfectures après les avoir chapitrés pour leur faire mémoriser puis réciter un parcours migratoire afin qu’ils soient pris en charge par les départements.
On peut le cas échéant les passer au brou de noix pour donner plus de crédit au parcours migratoire avant de les lâcher tout autant sur les perrons de Conseils généraux où le pognon coule à flots sauf pour les français blancs de souche .

Le plus ironique, c’est qu’actuellement ce sont les prélèvements obligatoires de ceux à qui l’on ferme les services publics et auxquels on interdit l’accès aux soins, l’accès aux secours financiers, l’accès au logement et l’accès à la nourriture qui servent à déverser le pognon de dingue destiné aux nouveaux arrivants.
Remarque étant ici faite pour les anciens arrivants déjà installés une fois plus ou moins régularisés, ces exotiques dont tous les économistes, politologues et sociologues qui se dandinent comme de vieilles poules sur les plateaux TV à heures de grande écoute nous assènent qu’il s’agirait de la richesse du pays de demain, sont eux-mêmes ghettoïsés dans des nasses à délaissement communautaires.

Prenons un cas concret, le quartier de Nîmes où l’on a envoyé la 7e compagnie (CRS 8) tourner une nouvelle série TV en suite de “Plus belle la vie” afin de narrer à la France entière en 50 épisodes de 45 minutes le bien-vivre ensemble.

Autre remarque étant ici faite que les éveillés qui préfèrent les séries en prise direct avec le réel façon docu zone de guerre auront déjà rebaptisé l’histoire que l’on nous tourne actuellement entre Nîmes et Marseille « Bac Nord suite française sans fin » en hommage à Irène Némirovsky.
On nous informe, concernant ce secteur Nîmois, que « dans le quartier construit en périphérie de Nîmes, quelque 70 % des 13.000 habitants vivent sous le seuil de pauvreté. Le taux de chômage atteint 46 % ».
https://www.lesechos.fr/pme-regions/occitanie/a-nimes-lappel-au-secours-des-habitants-du-quartier-pissevin-1180511

Alors quoi, on nous fait miroiter le cœur sur la main que les migratoires vont payer nos retraites, relever le pays, donner du gaz à la démographie et du tonus au vieux gaulois réfractaire, et on s’aperçoit au bout du compte qu’ils vont en réalité nous coûter nos retraites puisqu’il va falloir encore dégager des ressources financières dans un des énièmes plans banlieue afin de déverser des dizaines de milliards par an sur les zones de non-droit pour y éteindre l’incendie que les crétins politiques ont allumé en y installant ces ethnies.
Ce simple exemple montre que l’on ment, 80 % des journalistes mentent, 80 % des femmes et hommes politique français et européens mentent, le même ratio du patronat ment, de même pour les économistes qui passent devant vos yeux qui n’en peuvent mais vous mentent.

80 % des décideurs français et de ceux qui sont chargés de propagander leur parole mentent.
Le vrai, il faut aller le chercher dans les grappes de vérité qui échappent parfois aux conseilleurs des décideurs, ils sont trop bavards et trop contents d’eux-mêmes et de leur sottise pour faire suffisamment attention à ce qu’ils publient.
Ainsi de l’Institut Montaigne tout heureux de constater que la croissance française va trouver sa source dans l’immigration forcenée :
« Bruno Tertrais affirme dans sa note : « Comme pour la plupart des autres États européens, la croissance de la population française se poursuivra désormais essentiellement via l’immigration ». Le message sous-tendu est que cette accélération de l’immigration comme palliatif au vieillissement démographique constitue une voie sans alternative pour renouveler la force de travail dans notre pays, quels que puissent être ses effets induits – en particulier ses bénéfices économiques incertains. L’hypothèse d’une relance de la natalité est écartée comme peu réaliste : « La chute de l’excédent naturel est inévitable ».
https://www.fdesouche.com/2023/09/07/la-france-face-a-un-tournant-demographique-si-les-tendances-actuelles-se-poursuivent-dans-les-annees-qui-viennent-limmigration-va-constituer-lessentiel-de-la-croiss/

Le cynisme le dispute encore davantage à l’irresponsabilité quand on apprend que les grands décideurs ont mis en place avec des outils comme le regroupement familial « un modèle reposant sur un flux entrant de consommateurs et de travailleurs pauvres et peu qualifiés qu’ils veulent pérenniser…./… depuis les années 1990, l’économie repose sur la consommation de masse de biens importés et services à bas coûts (demande subventionnée). La croissance résiduelle qui en résulte (moins de 1 % par an depuis quinze ans) est soutenue par l’entrée continue de consommateurs pauvres, nombreux, solvabilisés par les pouvoirs publics (allocations) ou de petits boulots. Plus les Français vieillissent ou partent, et moins ils font d’enfants, plus il faut accroître le flux migratoire entrant ».

Voilà, tout est dit, l’importation d’une population que l’on sait devoir rester pauvre et que nos politiques aux ordres du patronat et des économistes qui jouent les docteurs Frankenstein, des Républicains aux Nupes, ghettoïsent sciemment, n’est destinée qu’à les faire entrer dans l’économie de marché à coups d’aides sociales, de subventions et de “plans banlieues” pour tenter de créer une croissance économique qui dans les faits n’est qu’une fiction.
En effet, chacun – et les Carhaisiens ces jours-ci doivent enfin s’en rendre compte avec leur service d’urgence – peut mesurer la dégringolade du pays dans tous les classement internationaux avec des services publics qui ne fonctionnent plus du tout, une école qui n’école plus, un secteur hospitalier qui n’hospitalise plus, une police qui ne police plus sauf pour celui ou celle qui ose sortir dans l’espace public une banderole anti-Macron, et une magistrature qui a pris le parti des voyous, générant une insécurité que la Colombie commence à nous envier et dont la courbe exponentielle épouse on ne peut plus harmonieusement la courbe des importations extra-européennes, à titre d’exemple l’usage de l’égorgement au sortir des écoles ou à la gare St Charles de Marseille qui était jusqu’à présent une pratique inconnue en Gaule réfractaire.

Jusqu’aux Contribuables associés qui estiment le coût de l’importation migratoire actuelle à plus de 50 milliards par an à la charge du con qui paie.
Mais jusqu’à quand le contribuable blanc français de souche va-t-il accepter de se faire déposséder ainsi via ses prélèvements obligatoires qui ne profitent qu’aux autres ?

Jean d’Acre