Les Français veulent-ils subir le même sort que l’Espagne du IXe siècle ?

Un jour ou l’autre, plus vite que ne le croit l’oligarchie politico-médiatique française, et notamment la gauche qui pense détenir les clefs du paradis sur terre, l’islamisation de la France sera réelle, à moins que le peuple, le vrai, ne dise stop à cette agonie culturelle qui est organisée sciemment par les gourous de Davos dont la nouvelle religion reste le mondialisme, intimement lié à l’Allahisme.

Pour eux, on efface tout et on recommence, tel semble être leur stratégie destructrice, car dans leur esprit globaliste, l’être humain est un objet d’ajustement. Les civilisations, ça n’existe pas.
Si les Français ne mettent pas le holà à l’islamisation de leur patrie, leur arrivera ce qui est arrivé à l’Espagne au IXe siècle. Les Ibériques ont mis cinq siècles alors pour se débarrasser de la pieuvre islamique. Et cette histoire, ça ne s’oublie pas.
C’est aux Français, et à eux seuls, de décider de l’avenir de leurs rejetons. Veulent-ils que de leurs descendants soient sous la coupe de la théocratie mahométane ? En tous cas, pour le moment, ils semblent résignés devant l’avancée islamique, à part quelques éveillés d’entre eux qui commencent à se questionner. Il n’y a pas péril en la demeure pour la plus part d’entre eux. Ils ne voient rien et n’entendent que ce qu’ils veulent entendre. Ils sont dans le déni total face à l’islamisation par le halal de leur pays.

Ils sont uniquement obsédés par leur petit confort journalier. Seuls le ventre et le bas-ventre préoccupent leur quotidien. Rien d’autre ne les intéresse, même pas l’avenir de leurs rejetons et encore moins la sécurité de leur grand-mère, de leur mère, de leur femme et de leurs filles.
Pendant ce temps, l’entrisme des frérots n’est plus à démontrer. Les idiots utiles applaudissent des mains et des pieds devant l’avancée des cavaliers d’Allah, avec leur sabres pointés en direction de la quibla (la Mecque), à la gloire d’Allah, et surtout pour signifier aux Français qui n’ont pas encore compris que la conquête (Al-fath) est en marche. Par le djihad actif et sournois (attentat, judiciaire et psychiatrique), les mahométans sont en train d’accomplir l’invasion de la France à bas bruit pour le grand bonheur d’Allah et de son Envoyé sur terre.

Les Allahistes refont la même stratégie que leurs ancêtres avaient appliquée avec succès en Espagne, à compter de l’an 840 après J.C.
Selon Ignacio Ologuë, dans son ouvrage ‘les Arabes n’ont jamais envahi l’Espagne’, les musulmans qui avaient conquis la péninsule ibérique en 711 après J.C, est un mythe et une déformation de l’histoire comme savent le faire les mahométans pour enfoncer dans l’esprit des mortels qu’Allah, le Tout-Puissant est capable de réaliser des miracles en un mouvement de paupières. Et ce mensonge accroche les crédules.

Depuis le XIXe siècle, avec l’orientalisme porté aux nues par des historiens et des romanciers, et repris en boucle par des journalistes et des hommes politiques, surtout de gauche à partir de la moitié du XXe siècle, présentant Al-Andalus comme un paradis multiculturel où musulmans, chrétiens et juifs vivaient en harmonie, est un leurre, une escroquerie intellectuelle et historique, car la vérité est toute autre.
Quant à Serafín Fanjul, il a concentré ses recherches sur la société d’Al-Andalus.
Dans son ouvrage ’Al-Ándalus contre l’Espagne’ il y dénonce une malhonnêteté intellectuelle de la part des historiens de la doxa universitaire qui ont pignon sur rue. Il y déconstruit le mythe d’Al-Ándalus, et la contribution musulmane à la construction de la civilisation ibérique. La mythification de la pensée islamique développée au XIXe siècle par le romantisme littéraire qui tend à représenter une facette de l’histoire de l’Espagne d’une manière erronée, donnant la part belle à l’islam des Lumières, est un mensonge, un crime contre l’histoire.

Si Moise Maïmonide et Ibn Rochd (Averroès) peuvent être ressuscités, ne sera-ce qu’un jour, on apprendra alors bien des choses, pas belles à entendre, sur l’islam d’Al-Andalus.
Ce mythe de la bonne gouvernance islamique d’Al-Andalus a été aussi démontré par des preuves historiques par l’historien Darío Fernández-Morera. Dans son livre, “Chrétiens, Juifs et Musulmans dans Al-Andalus”, il y révèle la réalité de l’«Espagne arabo-musulmane», à partir de sources volontairement ignorées et de récentes découvertes archéologiques. Ce prétendu paradis de la coexistence heureuse a commencé avec la conquête de l’Espagne par le califat islamique au VIII siècle, selon la bien-pensance. Pourtant, ce ne sont pas des armées de l’islam qui ont conquis l’Espagne mais la tolérance du royaume Wisigoth qui était de confession arienne (l’arianisme qui prône l’unicité de Dieu, comme l’islam et le nestorianisme, les trois croyances étaient opposées à la Trinité), en se laissant piéger par les oulémas musulmans qui se sont infiltrés dans la cour des différents rois wisigoth d’Espagne notamment à Cordoue entre 711 à 840 de l’ère chrétienne, surtout sous le règne du calife arien de Cordoue Abd-Rahmane II. Ce dernier avait marqué son règne par une grande tolérance à l’égard de l’islam mais il avait fait face également à des tensions internes et externes au sein de son émirat. Sa cour fut la plus brillante d’Europe, dit-on : elle attirait les savants et les poètes de l’Orient abbasside. Il avait notamment permis l’installation des tribus berbères et arabes islamisés dans Al-Andalus.

Il faut savoir que le califat de Cordoue était lié aux Omeyades de Damas qui étaient de confession chrétienne nestorienne, jusqu’à leur chute en 750 après J.C, par Abu Muslim Al-Khorasan, fondateur de la dynastie abbasside et de la vraie religion islamique.
Il ne faut pas que la caste occidentale oublie que c’est sous le règne d’Abd-Rahamane II que des révoltes des Mozarabes avaient éclaté.
Qui étaient ces Mozarabes ?
Mozarabe est le nom donné aux chrétiens (ariens, catholiques) vivant sur le territoire d’Al-Andalus qui se composent de wisigoths, d’ibériques, de maures et de juifs.

Ces Mozarabes s’étaient révoltés contre le calife Abd-Rahmane II qui, sous les conseils des oulémas qui siégeaient au sein de son diwan, leur avait appliqués la dhimmitude, avec la mise en place de la djîzia, l’impôt de la soumission.
En 852, à la mort d’Abd Al-Rahman II, ce fut son fils Mohammed qui lui avait succédé et qui avait continué l’islamisation et l’arabisation à marche forcée d’Al-Andalus.
Quant au fils du Calife Mohammed, son successeur Abd-Rahmane III, il se convertit carrément à l’islam.
Il ne faut pas oublier que l’année 722 marqua le début traditionnel de la Reconquista. Cela correspondait à la première victoire des forces chrétiennes catholiques contre les troupes wisigothes et maures ariennes.
Avec l’islamisation d’Al-Andalus, à compter du Xe siècle, les rois catholiques du Nord de l’Espagne s’étaient lancés dans la Reconquista. Et face à eux, les princes musulmans avaient fait appel alors aux Almoravides, des berbères fanatisés, venant principalement du Maroc et de l’Ouest algérien.
Et il a fallu près de cinq siècles pour que les catholiques mettent fin à la présence de l’islam en Espagne.
C’est à méditer…

Et c’est ce qui attend l’Occident, si rien n’est fait pour stopper la machine infernale allahiste.
Quand Macaron parle de décivilisation, il se moque de qui ? Il feint d’oublier que l’insécurité qui sévit la France est en partie due à une immigration incontrôlée venant de Dar-Al-Islam.
Qui viole les vieilles femmes françaises, parfois atteintes de la maladie d’Alzheimer ? Apparemment, ce sont des martiens, selon les âmes charitables qui ont la main sur le coeur avec l’argent des contribuables.
Pendant ce temps, les télévisions et les radios mainstream font profil bas. Circulez, il n’y a rien à dire.
Dans certains quartiers de France, c’est la loi de la jungle qui les régente. Mais ça, aucune autorité ne le constate. Surtout pas de vacarme. C’est l’omerta qui dicte sa loi pour sauver l’honneur de la France.
Quant à la gauche, la propriétaire en titre du magistère du bien, elle est muette comme une carpe face à ces horreurs qui n’ébranlent pas ses certitudes.

Ces violeurs de vieilles femmes malades ne s’inspirent-ils pas du beau modèle de Medine ? Selon la tradition islamique, Mahomet, qui avait conquis l’oasis de Kheaybar, au nord de Medine, habitée exclusivement par des Juifs avait pris comme concubine, Safiya, après avoir décapité son père, son frère et son mari. Suite à ce forfait crapuleux, le soir même, il la viola sans aucun scrupule.
Il est écrit dans la sourate 4, verset 24 :
« et, parmi les femmes, les dames (qui ont un mari), sauf si elles sont vos esclaves en toute propriété. Prescription d’Allah sur vous ! À part cela, il vous est permis de les rechercher, en vous servant de vos biens et en concluant mariage, non en débauchés. Puis, de même que vous jouissez d’elles, donnez-leur leur mahr comme une chose due. Il n’y a aucun péché contre vous à ce que vous concluiez un accord quelconque entre vous après la fixation du mahr, car Allah est, certes, Omniscient et Sage ».
Allah autorise le viol des captives mécréantes, et ce n’est pas un secret de polichinelle. Le musulman a le droit de violer toute femme mécréante qu’elle soit impubère ou sur un lit de mort.
Que faut-il de plus pour que l’oligarchie comprenne qu’elle fait fausse route avec l’ouverture complète, sans aucun contrôle, des frontières ?
Veut-elle la disparition de la France ? Alors qu’elle l’assume et qu’elle le clame haut et fort, et qu’elle arrête de faire l’hypocrite… La Sainte-nitouche!
Car actuellement, avec ce sans-frontiérisme suicidaire, la conquête de l’Occident par l’islam est lancée par l’Est et par le Sud.
Assiste-t-on au même scénario qu’en Andalousie du IXe au Xe siècle ?
Parfois, l’histoire se répète, là où on l’attend le moins.

Hamdane Ammar

ripostelaique>les-arabes-nont-jamais-conquis-lafrique-du-nord du 14-12-2022
ripostelaique>chretiens-et-musulmans-ne-disent-pas-la-verité-sur-la-conquête-despagne du 17-12-2022