C’est l’avocat de Mila qui le dit, lucide et dépité.
Lui le comprend mais pas les juges qui ne les ont condamnés qu’à du sursis !
Comme ils doivent rigoler, les islamos ! On peut menacer de mort, de décapitation une jeune fille… et on est dehors, libre… avec un stage de citoyenneté. Laissez-moi rire, ou plutôt pleurer. Encore des associations à la mords-moi-le-nœud, islamophiles, pour expliquer aux gars que c’est pas bien, hein, de faire une Paty, mais que l’islam est une belle religion de paix et d’amour et qu’il faut obéir aux préceptes coraniques…
Une honte ! Une épée de Damoclès suspendue au-dessus de la tête de Mila.
Et personne pour dire, sur les plateaux, à l’Assemblée… que c’est ça l’islam. Islam qui crée des salopards qui ne voient pas en quoi interdire la liberté d’expression par la menace de tuer comme a été tué Samuel Paty c’est grave, c’est inacceptable.
Affaire Mila : deux cyberharceleurs voient leurs peines très alourdies en appel
« Dit moi t’habite où j’vfais te faire une Samuel Paty »
Le premier prévenu, âgé de 20 ans, a été reconnu coupable de harcèlement aggravé et de menaces de mort, un ensemble de qualifications qui n’avait pas été retenu en première instance. Il était poursuivi pour avoir écrit à Mila à l’automne 2020 : « Dit moi t’habite où j’vfais te faire une Samuel Paty (sic) », du nom du professeur décapité par un terroriste islamiste pour avoir montré à ses élèves des caricatures de Mahomet lors d’un cours.
Le second, âgé de 31 ans, s’était livré à des faits du même genre.
L’affaire avait débuté en janvier 2020 lorsque Mila, âgée à l’époque de 16 ans, s’était attiré une pluie de menaces de mort et de cyberharcèlement à la suite d’une vidéo publiée sur les réseaux sociaux où elle critiquait violemment l’islam en réponse à des commentaires homophobes à son égard.
La jeune fille avait dû être déscolarisée et vivre sous protection policière. Elle s’était attiré une nouvelle salve de menaces après la publication d’une seconde vidéo polémique, le 14 novembre 2020 : « Qu’elle crève », « tu mérites de te faire égorger », avaient notamment écrit des internautes.
Son avocat, Me Richard Malka, a semblé satisfait du verdict en appel : « C’est un arrêt qui contribuera, je l’espère, à faire prendre conscience que menacer de mort est un délit grave ». Il a cependant relevé que les prévenus n’avaient « rien compris de la gravité de ce qui leur était reproché et n’avaient aucun regret ». « Manifestement, la cour a eu le même ressenti puisqu’elle a quadruplé et triplé leurs peines », a conclu l’avocat.
Christine Tasin
En Frankistan, ce qui me chagrine le plus est de perdre ce pays si riche en Nature, en fromage etc…
Les français, s’il en reste, m’importe peu ( zavez ka bien veauter…oui j’écris comme les jeunes ) et tant pis pour leurs tronches de cake gauchistes mais la NATURE, oui, cela m’ennuie profondément d’être obligé de la quitter un jour sans parler de tous ces jolis villages avec leurs églises au centre.
“Ont été condamnés à un et deux ans de prison avec sursis. à quand une justice avec de vraies peines ? J’oubliais de vraies peines existes si l’on n’est pas du côté de la bien-pensance d’état. Les deux hommes devront également verser une somme de 10 000 euros, sauf s’ils ne sont pas solvables, mais ce n’est pas grave, ils seront rejugés et de nouveau condamnés à du sursis.
Non : si j’ai bien compris, c’est 2 ans de prison ferme + (plus) 2 ans de sursis probatoire avant la fin de leur surveillance pour le premier et un an de prison ferme + ans de sursis probatoire pour le second.
C’est différent.
Ce que j’ignore c’est si ce sursis probatoire est accompagné d’un bracelet et d’une surveillance accrue de son surf sur le web
ah le sursis, quelle belle inventions des cranes d’oeufs français!
C’est elle, sur la photo ? Vous avez vu la g** qu’elle a ? On dirait une….
Je la trouve belle et féminine 😉
Pour toute une partie de la gauche, c’est elle qui est coupable ! On en est là !