Les islamistes de l’IESH profitent de nos lois scélérates


Ainsi donc avec la complicité d’une juge Anselmo, les coraniques de « l’IESH de Château-Chinon » tirent à tout va dans l’aire judiciaire de la censure pour faire taire les vérités et les supputations concernant leurs activités d’enseignement et de perfectionnement du Coran et du Djihad, ce dernier indissociable du premier mais masqué par la pratique de la Taqiyâ, composante indispensable du musulman évoluant en milieu hostile, c’’est-à-dire en milieu non musulman.

Les chefs d’accusations méritent d’être rappelés :
Provocation à la discrimination, diffamation publique, provocation à la haine, l’ensemble en raison de l’origine, de l’ethnie, de la race ou de la religion selon les formules usuelles

Il se trouve que l’IESH de Château-Chinon n’est qu’une institution musulmane parmi le réseau des IESH dont celui de Paris.
Il faut dès l’abord poser les choses point par point, ainsi sur la discrimination, dont la nuance entre discrimination et non-discrimination mérite d’être clarifiée car le sens des concepts a l’air d’échapper aux robins qui agissent aux ordres de l’IESH.

Selon la définition donnée par le service officiel de la France : « La discrimination vise à défavoriser une personne pour des motifs interdits par la loi. Par exemple l’origine, le sexe, l’âge, l’orientation sexuelle, les convictions politiques, philosophiques ou religieuses. »
https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F19448

On ne voit aucune défaveur à traiter librement des musulmans en général ou en particulier, on en cause, on ne leur interdit aucun droit de réponse.
Dès lors qu’ils attaquent en justice avant de passer par la case amiable de la discussion et de la publication de leurs arguments, les dirigeants de l’IESH Château-Chinon sont prématurés à ester devant la dame Anselmo. Il en irait autrement seulement si un droit de réponse leur avait été dénié.

Par ailleurs, par essence et quintessence, discriminer c’est dénier des droits ou libertés à des personnes qui sont dans une situation identique à la généralité.
Or, et c’est de notoriété mais aussi de revendication assumée, un musulman n’est ni un Chrétien, ni un Juif, ni un Mécréant, le traiter dans sa nature de musulman n’est pas discriminatoire mais c’est faire pièce de la réalité objective de sa singularité : on ne peut pas user du même discours pour décrire la réalité du Chrétien qui offre le pain et le vin et la réalité du musulman qui égorge, c’est aussi simple que cela et c’est pour cela, à cause des égorgements pratiqués au nom du Coran, que ledit musulman mérite d’être traité à part dans le Genre Humain.

Dit autrement, c’est le musulman, seul égorgeur de non-musulmans à ma connaissance ce jour en France, qui se discrimine tout seul d’une manière très défavorablement connue des forces de l’ordre pour paraphraser une expression pas si usagée que cela par ces actes contre nature et contre Genre (Humain).

De même par ses manières d’égorgement, c’est bien le mahométan qui incite à la haine, il ne faut pas renverser les choses et confondre causes et conséquences.
Sur la diffamation publique, le site Service public est ici encore mis à contribution :
« La diffamation consiste à affirmer un fait qui porte atteinte à l’honneur ou à la considération d’une personne.

Peu importe que le fait en question soit vrai ou faux, mais il doit être suffisamment précis pour pouvoir faire l’objet d’une vérification.
Il doit être possible de répondre par oui ou non à la question : untel a-t-il commis le fait affirmé ?
Exemple : Déclarer lors d’un débat public qu’un adversaire politique est un “repris de justice”.
Il y a diffamation même si l’allégation est faite sous forme déguisée ou dubitative ou si elle est insinuée.
Exemple : Poster sur les réseaux sociaux un contenu disant qu’une personne serait pédophile.
Il y a également diffamation si l’allégation vise une personne qui n’est pas désignée par son nom, mais qui est identifiable.
Exemple : Déclarer au conseil municipal que le chef de la police municipale est corrompu, sans citer son nom. »
https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F32079

Porter atteinte à l’honneur ou à la considération d’une personne même si les faits en question sont vrais ou faux permet donc un balayage très large.
Si large que la liberté d’expression ne serait possible qu’en passant pommades sur pommades à toute chose et toute personne dans une société qui serait rendue idyllique par l’interdiction de dire les vérités qui dérangent.

D’ailleurs si on allait à ces extrémités, même les actes d’accusation des procureurs et des parquets tomberaient sous le coup de la loi : si dire d’un voyou qui est réellement un voyou qu’il l’est était diffamatoire, autant ne plus déférer que les gentils que les actes d’incrimination louangeraient (et non langeraient). Il semble d’ailleurs qu’un certain pli ait été pris ces 20 dernières années où l‘on voit les magistrats embastiller les victimes plutôt que les coupables.
Il se trouve donc que la même loi de 1881 qui sanctionne la diffamation a prévu ce que l’on nomme « l’exception de vérité » :
« L’exception de vérité est prévue par l’article 35 de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse. Elle consiste, pour la personne poursuivie pour diffamation, d’apporter “la preuve du fait diffamatoire”. »
https://consultation.avocat.fr/blog/avi-bitton/article-36027-diffamation-l-exception-de-verite.html

Il y a cependant une règle de procédure stricte à respecter :
« Premièrement, la preuve des faits diffamatoires doit être apportée dans un délai de 10 jours, en matière pénale comme en matière civile.
Ensuite, l’acte doit être signifié (acte d’huissier) au domicile élu de la partie poursuivante. L’acte ne doit pas contenir de motivation au fond mais il doit contenir une énonciation précise des faits dont on entend offrir la preuve. Une copie des pièces utilisée à cet effet est également requise, ainsi que les coordonnées des témoins cités.
Ces offres de preuves peuvent contenir des pièces couvertes par un secret (article 1er, 3° de la loi du 4 janvier 2010 modifiant l’article 35 de la loi sur la presse).
Ces conditions doivent être respectées sous peine d’irrecevabilité. »
Or il se trouve que les assertions figurant dans l’article du 22 août 2022 de Monsieur Lepetit sont réelles et vérifiables :

Articles consultables sur Internet par exemple :
13 août 2023 “Une école française islamique au cœur de la Bourgogne” (Le Monde, 13 août 23)
2 octobre 2022 Deux ans après les annonces de Macron, mais où est passé l’”islam de France” ? (Marianne, 29 sept. 22)
26 juin 2022 Creal 76 “Macron 1 et 2 et la laïcité” (Combat laïque 76, Creal 76, juin 22)
11 avril 2022 “La galaxie européenne des Frères musulmans” (lepoint.fr , 25 jan. 22)
8 février 2022 Ufal Le Forum de l’islam de France, “un terrain de jeu offert aux islamistes par le pouvoir” (Ch. Arambourou, Ufal, 8 fév. 22)
20 novembre 2020 “Un conseil national pour « labelliser » les imams français” (la-croix.com , 19 nov. 20)
17 novembre 2020 “Pour une dissolution de l’organisation “Musulmans de France” [ex-UOIF]” (atlantico.fr , 16 nov. 20)
17 août 2020 Islam : “Les réseaux fréristes sous pression des autorités” (liberation.fr , 30 juil. 20)
17 août 2020 Saint-Denis Ma Ville : “IESH de Saint-Denis : les mensonges des islamistes pris au piège” (saintdenismaville.com , 14 août 20)
17 août 2020 “L’État vigilant face aux dérives séparatistes d’élus municipaux” (lefigaro.fr , 16 août 20)
31 juillet 2020 “A Saint-Denis, « l’école des imams » dans le viseur de la justice” (leparisien.fr , 29 juil. 20)
16 mai 2019 Saint-Denis : Un dîner caritatif pour un organisme soupçonné de liens avec des dhijadistes (G. Chevrier, atlantico.fr , 14 mai 19)
23 juin 2018 Naëm Bestandji : “La dérive de l’Unef, un mouvement de fond qui touche une partie de la gauche” (Naëm Bestandji , 7 juin 18)
14 février 2018 M. Louizi : « Si réforme il faut mener, c’est celle de l’islam et non de la laïcité » (lefigaro.fr/vox , 12 fév. 18)

Sensibilisation des autorités françaises comme le montrent les sites du Sénat et de l’Assemblée nationale :
Sénat, question de Madame Eustache-Brinio au ministre de l’Intérieur :
« L’IESH Paris est l’un des six établissements de l’ « union des Instituts européens des sciences humaines », dont le premier a été créé en 1992. Parmi les anciens étudiants de l’IESH Paris se trouve une jeune femme condamnée en octobre 2019 à 30 ans de réclusion, en première instance, pour avoir tenté de faire exploser une voiture près de Notre-Dame en septembre 2016, et qui a fait appel. Parmi les enseignants, au sein du département de théologie musulmane, l’on peut retrouver l’imam de la mosquée de Gonesse, interpellé par la sous-direction anti-terroriste (SDAT) et la direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), dans la nuit de dimanche 13 octobre au lundi 14 octobre 2019, à la suite de l’attentat à la préfecture de Police de Paris au cours duquel 4 personnes ont été mortellement poignardées par un technicien en informatique qui fréquentait cette mosquée. En outre, la presse se fait régulièrement l’écho d’agissements de personnes liées à la fois à cette association IESH et aux réseaux des « Frères Musulmans », inscrits comme organisation terroriste par certains pays partenaires de la France, des personnes qui contribuent, notamment, au financement de l’IESH par des fonds étrangers, essentiellement des pays du Golfe persique. Depuis le 26 novembre 2019, l’ « Institut européen des sciences humaines de Paris – Pédagogie » fait l’objet d’une fermeture administrative par arrêté préfectoral, à la suite d’une visite de contrôle des risques d’incendie réalisée par la brigade des sapeurs-pompiers de Paris, le laboratoire central de la préfecture de police, les services préfectoraux et la ville de Saint-Denis. Sur son site internet, cette association indique « chercher activement des locaux à louer » pour « assurer la continuité des activités d’enseignement ». Mme la députée souhaite donc savoir si le Gouvernement est au courant de l’existence et de la situation de ce réseau d’éducation européen de séminaires proche des « Frères Musulmans » et plus spécifiquement de l’établissement parisien situé à Saint-Denis, et si le Gouvernement est en mesure de donner des précisions sur le financement de celui-ci. Elle souhaite enfin connaître les mesures que le Gouvernement met en œuvre pour assurer le suivi du contenu pédagogique des enseignements qui y sont dispensés, afin de garantir que ces enseignements soient respectueux des valeurs, principes et droit de la République française. »
https://www.senat.fr/questions/base/2022/qSEQ22022279G.html

Assemblée nationale, question de Madame Le Grip au ministre de l’Intérieur :
« Mme Constance Le Grip appelle l’attention de M. le ministre de l’intérieur sur la situation de l’association « Institut européen des sciences humaines de Paris – Pédagogie » (IESH). Déclarée sous forme d’association en septembre 2010, cette structure se présente comme « un établissement d’enseignement supérieur privé spécialisé dans l’enseignement de la langue arabe, des sciences islamiques et l’apprentissage du Saint-Coran », ainsi qu’un « Institut français de l’imamat et de l’aumônerie », bénéficiant d’une reconnaissance académique délivrée par le rectorat de Créteil. Par ailleurs, certaines formations sont éligibles à la prise en charge par l’État au titre du compte personnel de formation (CPF). L’IESH Paris est l’un des six établissements de l’ « union des Instituts européens des sciences humaines », dont le premier a été créé en 1992. Parmi les anciens étudiants de l’IESH Paris se trouve une jeune femme condamnée en octobre 2019 à 30 ans de réclusion, en première instance, pour avoir tenté de faire exploser une voiture près de Notre-Dame en septembre 2016, et qui a fait appel. Parmi les enseignants, au sein du département de théologie musulmane, l’on peut retrouver l’imam de la mosquée de Gonesse, interpellé par la sous-direction anti-terroriste (SDAT) et la direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), dans la nuit de dimanche 13 octobre au lundi 14 octobre 2019, à la suite de l’attentat à la préfecture de Police de Paris au cours duquel 4 personnes ont été mortellement poignardées par un technicien en informatique qui fréquentait cette mosquée. En outre, la presse se fait régulièrement l’écho d’agissements de personnes liées à la fois à cette association IESH et aux réseaux des « Frères Musulmans », inscrits comme organisation terroriste par certains pays partenaires de la France, des personnes qui contribuent, notamment, au financement de l’IESH par des fonds étrangers, essentiellement des pays du Golfe persique. Depuis le 26 novembre 2019, l’ « Institut européen des sciences humaines de Paris – Pédagogie » fait l’objet d’une fermeture administrative par arrêté préfectoral, à la suite d’une visite de contrôle des risques d’incendie réalisée par la brigade des sapeurs-pompiers de Paris, le laboratoire central de la préfecture de police, les services préfectoraux et la ville de Saint-Denis. Sur son site internet, cette association indique « chercher activement des locaux à louer » pour « assurer la continuité des activités d’enseignement ». Mme la députée souhaite donc savoir si le Gouvernement est au courant de l’existence et de la situation de ce réseau d’éducation européen de séminaires proche des « Frères Musulmans » et plus spécifiquement de l’établissement parisien situé à Saint-Denis, et si le Gouvernement est en mesure de donner des précisions sur le financement de celui-ci. Elle souhaite enfin connaître les mesures que le Gouvernement met en œuvre pour assurer le suivi du contenu pédagogique des enseignements qui y sont dispensés, afin de garantir que ces enseignements soient respectueux des valeurs, principes et droit de la République française. »
https://questions.assemblee-nationale.fr/q15/15-942QOSD.htm

De même que Nathalie Goulet du parti UDI :
« Outre les responsables locaux des Frères musulmans, cette assemblée accueillait une personnalité radicale, le «Cheikh Al-Arabi Al-Bichri», le directeur des études du sulfureux Institut IESH de Château Chinon, et membre du Conseil Européen pour la Fatwa et la Recherche, antenne du réseau frériste.
Cette liste, indigeste, est nécessaire pour montrer l’accumulation de failles dans nos systèmes malgré les mises en garde régulières des experts et des parlementaires qui multiplient les rapports et les propositions, rarement pris en considération. »
https://www.parti-udi.fr/nathalie-goulet-en-matiere-de-lutte-contre-le-terrorisme-il-reste-des-failles-evidentes/

Le lien avec le Conseil européen pour la fatwa est ici établi, ainsi que par d’autres enseignants de ce réseau d’écoles comme Monsieur Ounis Ghergah qui décline plusieurs qualités, ainsi :
• Directeur des études de l’IESH de Paris.
• Membre du conseil européen de la fatwa et de la recherche.
• Président du pôle de la fatwa du CEFR en France.
• Membre de l’union internationale des savants musulmans.
• Membre du Conseil Théologique Musulman de France.
https://ieshdeparis.fr/professeurs/ounis-ghergah/

On apprendra avec stupeur que cette autorité « religieuse » a pris parti pour l’obligation générale du voile en Europe par une fatwa de 2004 avec une motivation qui peut paraitre contradictoire  :
« Le port du voile est un acte d’adoration et une prescription divine, il n’est pas le fait d’un simple symbole religieux ou politique. La femme musulmane le considère comme étant une partie intégrante de ses pratiques qui lui incombent religieusement. Cette exigence n’est pas spécifique à un lieu particulier, mais elle est générale, que ce soit dans les lieux de culte, les institutions officielles ou non. Certes, les enseignements de l’Islam par nature ne connaissent pas la contradiction et le morcellement dans la vie du musulman attaché à sa religion. Cette question fait l’unanimité de tous les courants islamiques passés et contemporains. Les spécialistes parmi les savants de l’Islam de tout le monde entier l’ont confirmé, y compris le Shaykh de la mosquée d’al Azhar qui a déclaré clairement que le port du voile islamique est une obligation et n’est pas un “symbole religieux”. »
https://www.saphirnews.com/Conseil-europeen-de-la-fatwa-et-de-la-recherche-sur-la-question-du-foulard-islamique-en-France_a669.html

On doit en déduire, aux termes de la fatwa, comme il ne s’agit pas d’une prescription religieuse mais d’une obligation qui s’impose à toute musulmane, que l’Islam n’est pas religieux mais bien une politique matriarcale qui impose des normes comportementales aux femmes, ce qui pose le vrai problème de fond : l’Islam a été imposé à tort dans le débat public comme une religion, alors qu’il n’est rien d’autre qu’un outil d’asservissement des femmes et des non-musulmans, des femmes comme on le voit en Afghanistan avec leur génocide et en Iran où le droit de les tuer par tabassage si elles portent mal le voile est une règle de politique générale, des non-musulmans comme je l’ai déjà indiqué via d’autres posts avec la disparition des Chrétiens et Juifs dans l’ensemble du monde musulman.

De là on peut raisonnablement inférer que des enseignants des IESH français, par ailleurs membres du conseil européen de la fatwa, seraient un jour ou l’autre prêts, s’ils devenaient majoritaires en Europe, à organiser le génocide du Genre Féminin et le tabassage jusque mort s’ensuive de toute européenne qui porterait mal le voile : aucune religion là-dedans, il s’agit d’un simple fascisme nauséabond qui rappelle « la bête immonde » du siècle passé, et ce que vivent les Afghanes ce jour est exactement comparable à ce qu’ont pu vivre les juifs entre 1939 et 1945 en Europe, d’où la conclusion inéluctable : l’Islam est une idéologie d’extermination et rien d‘autre.

Il ne peut donc y avoir ni discrimination, ni incitation à la haine ni quoi que ce soit en raison d‘une appartenance à une religion qui n’existe que dans les esprits gourds de la majorité des guignols du monde même dit « civilisé » «, et quand on critique soit un musulman soit l’Islam on ne fait qu’entrer dans un débat politique totalement libre d’expression dans un pays aussi politisé que la France.

Enfin, dans d’autres règle de conduite obligées (fatwa), vous avez l’exemple qui doit finir d’achever de vous convaincre que les règles musulmanes sont totalement incompatibles avec les règles occidentales, lesdites fatwas condamnant à mort y compris sur le sol Européen, les apostats, décisions qui s’imposent aux musulmans de notre continent édictées par ce même Conseil Européen de la fatwa et de la recherche dont certains enseignants des IESH français sont membres comme on vient de le voir :
« Comment l’islam sanctionne-t-il l’apostasie? En consultant les avis juridiques délivrés par le Conseil européen de la fatwa et de la recherche (CEFR), on découvre qu’une fatwa s’adressant aux citoyens européens de confession musulmane, confirme que l’apostat doit être puni de mort.
Un tel avis est lourd de conséquences car ce sont les associations musulmanes des différents pays européens qui désignent les membres de ce conseil. Parmi eux, on trouve des experts de l’exégèse et de la science du droit musulman (fiqh). La représentativité de ce conseil est donc très grande et son autorité largement respectée par les associations musulmanes. »
https://iqri.org/comment-lislam-sanctionne-t-il-lapostasie/

Le site termine par une véritable supplique-appel au secours aux pays occidentaux d’Europe de protéger les musulmans qui ont apostasié, donc condamnés à mort par le Conseil Européen de la fatwa dont nous avons établi le lien avec les IESH français :
« Ces personnes n’ont donc d’autre recours que de chercher la protection des autorités de notre pays. Et il paraît assez évident que nos autorités ne peuvent pas se permettre d’attendre que ces appels aux meurtres se concrétisent, avant de réagir.
Nos autorités ont, de ce fait, le devoir de condamner ceux qui diffusent des Fatwas appelant au meurtre. Il faut également noter que ces incitations au meurtre sont aggravées par leur caractère raciste, puisqu’elles visent des personnes au seul motif de leur appartenance religieuse.
Par conséquent, deux actions simultanées et urgentes s’imposent à nous :
alerter nos autorités sur la réalité de ce danger, puisqu’elles sont responsables de protéger les citoyens de toute violence et de toute menace;
rencontrer nos amis musulmans engagés dans le dialogue interreligieux, pour ouvrir un dialogue sincère et sans tabous, sur ces questions fondamentales qui concernent le vivre ensemble dans l’égalité et la fraternité. »

Maintenant je vais encore vous sidérer quand vous apprendrez que la Commission des questions juridiques et des droits de l’homme européenne dont le rapporteur était Monsieur Gutiérrez a estimé la Charia et donc la Déclaration du Caire incompatibles avec la Convention européenne des Droits de l’Homme alors que l’ensemble des organes européens fait actuellement tout pour islamiser notre Continent :
« 64. Comme l’indique le rapport, plusieurs dispositions de la Déclaration du Caire posent de grands problèmes à l’égard des droits humains; c’est notamment le cas de l’article 25, qui dispose que «[l]a charia est l’unique référence pour l’explication ou l’interprétation de l’un quelconque des articles contenus dans la présente Déclaration». Ces problèmes se posent en raison des incompatibilités très nettes entre la charia et la Convention européenne des droits de l’homme. »

Incompatibilité sur laquelle renchérissait le membre des Pays-Bas de ladite commission :
« Le rapporteur fait clairement état de la totale incompatibilité de la charia avec la Convention européenne des droits de l’homme et des libertés fondamentales. Il juge la charia incompatible avec la Convention sur les points suivants et je partage son avis :
Article 2 (droit à la vie)
Article 3 (interdiction de la torture ou des traitements inhumains ou dégradants)
Article 6 (droit à un procès équitable)
Article 8 (droit au respect de la vie privée et familiale)
Article 9 (liberté de religion)
Article 14 (interdiction de la discrimination fondée notamment sur le sexe ou la religion),
auxquels s’ajoutent les dispositions suivantes:
Article 1 du Protocole no 1 (protection de la propriété)
Article 5 du Protocole no 7 (égalité entre époux)
Protocoles nos 6 et 13 (interdiction de la peine de mort)
Je ne considère pas que cette liste soit exhaustive. Par exemple, la législation relative au blasphème fondée sur la charia, comme celle du Pakistan, est clairement incompatible avec l’article 10 (liberté d’expression) ».
https://assembly.coe.int/nw/xml/XRef/Xref-XML2HTML-fr.asp?fileid=25246&lang=fr
Tous ces éléments devraient suffire pour attaquer tous les IESH pour procédures dilatoires, abusives et acharnement judiciaire avec demande de dommages et intérêts bien sentis selon l’article 32-1 du Code de Procédure Pénale :
« Celui qui agit en justice de manière dilatoire ou abusive peut être condamné à une amende civile d’un maximum de 10 000 euros, sans préjudice des dommages-intérêts qui seraient réclamés. »
https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000034747739

Et peut-être bien que des procès ultra médiatisés finiront d’ouvrir les yeux de nos politiques qui fermeront tous ces centres qui diffusent des idéologies contraires aux valeurs européennes comme je l’ai déjà montré, ne serait-ce que par la proclamation des droits islamiques de l’Homme uniquement interprétables par la charia ( Le Caire et Decca ) qui ne peuvent co-exister sur un même continent avec le texte de la Déclaration Universelle de 1948 de René Cassin et Madame Roosevelt.
https://ripostelaique.com/combattre-lextreme-droite-lue-doit-interdire-le-coran-et-raser-toutes-les-mosquees.html

Il faut alors que tous les patriotes du RN et de Reconquête ainsi que tous leurs élus, des milliers de citoyens opposés à la « bête immonde », fassent des recherches sur tous éléments à charge sur les IESH, témoignages, comptes rendus de police, liens avec les radicaux, prises de position des intéressés fondateurs, dirigeants et corps enseignant, etc., et en donnent les plus larges échos dans tous les médias régionaux et nationaux, voire internationaux, qui s’ouvrent à eux.

Une contre-publicité monstre sur la vérité, voilà l’arme fatale qui pourra ruiner ces institutions.

Jean d’Acre

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7 Commentaires

  1. Vous parlez de Zemmour. Et Bam, le ban et l’arrière ban de ceux qui utilisent ce site comme trottoir électoral pour le RN rappliquent.
    Ca ne rate jamais.
    Ils prennent le vote pour une chasse gardée. Une propriété de droit.
    Comme si sur un site patriote fréquenté par des adultes, les lecteurs ne savaient pas pour qui voter.
    Ils nous prennent vraiment pour des imbéciles, utilisent toujours un ton menaçant, condescendant, voire insultant (même pour les rédacteurs , Ici “Assez de Zemmour, l’ami”), une forme de chantage (C’est le RN ou rien) et démontrent à chaque fois leur mépris total de l’opinion des autres.
    En plus de leur fatuité – pour rester poli – de croire que le dernier qui cause sur un obscur forum Internet allait pouvoir influer sur le vote des autres.
    Je ne pense pas que ça se soit jamais produit.
    De vrais repoussoirs s’il avaient la moindre influence ailleurs que dans leur imagination.

  2. Suppression totale des lois liberticides et scélérates :
    Loi Pleven, loi Gayssot, loi Taubira, loi Avia.

  3. J’adore ce site parodique ! 😂
    Au début, j’ai cru que c’était un énième site de facho fragile.

    Mais j’ai compris au 3eme article que c’était du second degré, pour se foutre de la gueule de tous les néo-fragiles qui craquent comme des biscottes dès qu’ils lisent le mot Woke, ou république.

    C’est très drôle, je valide, force à vous les gars 😂

    • Commencez par apprendre à parler français et, accessoirement, demandez vous pourquoi on laisse passer vos messages (car ça n’est pas le premier)
      Assortis de smileys de pré-adolescent pour confirmer le niveau, au cas où il y aurait besoin.

  4. Assez de zemmour, l’ami.
    Zemmour “veut…”:
    Mais il n’a aucun élu, aucun programme autre que la sécurité et le retour à l’ancien régime. S’il “veut” faire abroger la loi pleven, gayssot ou taubira, il va demander à qui de déposer cette loi?
    Pas aux élus du RN, ce sont ses ennemis. Alors aux Macronistes LR? aux nupessistes cinglés? À bernadette Soubirou?

  5. De la loi Pleven (1972) à la loi Avia, en passant par les lois Gayssot et Taubira : 50 ans de lois liberticides en France, restreignant chaque année qui passe un peu plus la liberté d’expression, sur pression à chaque fois de minorités entendant imposer une vérité officielle, des tabous et, surtout, voulant interdire tout débat réel et sérieux qu’il soit politique, philosophique, religieux, scientifique, dans le pays. Des lois liberticides votées portées majoritairement par des députés de gauche ou de centre-droit, mais sur lesquelles jamais une majorité de droite n’est revenue malgré des gesticulations opportunistes au moment de voter ces lois. Pourtant, une loi s’abroge comme elle se vote… Le juteux business de l’antiracisme pouvait débuter…
    http://marcrousset.over-blog.com/2020/05/de-la-loi-pleven-1972-a-la-loi-avia-en-passant-par-les-lois-gayssot-et-taubira-50-ans-de-lois-liberticides-en-france-source-de-la-lo

  6. A propos de la “Francisque” il fallait en faire la demande pour l’obtenir. La mitte s’est soit disant evade du stalag de Boulay (Moselle) ayant ete transfere de Thuringe (etrange) pour rejoindre le gouvernement de Vichy ou il cotoyait tous les jours des SS et la gestapo alors qu’il etait (soi-disant) recherche. Vous avez dit bizzare?

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