Les islamo-collabos passent de “Je suis Charlie” à “Je suis Avia”

Ils sont aux abonnés absents, ces millions de crétins, de collabos, de soumis, d’imbéciles, de tocards, de lèche-babouches qui, le 11 janvier, toute honte bue, osaient défiler dans les rues de Paris avec leurs bouquets de fleurs, leurs bougies, leurs écriteaux de curés, pour pleurnicher la mort des dessinateurs de Charlie Hebdo, sans surtout prononcer le moindre mot contre le dogme de leurs assassins. Ces abrutis de moutons de Panurge se sont montrés complices, par leur angélisme, de nos cyniques gouvernants, qui ont transformé cette initiative en marche contre l’islamophobie, osant interdire de manifestation Riposte Laïque, et exclure du cortège le Rassemblement national, quand les commanditaires islamistes de l’Arabie saoudite, de la Turquie et du Qatar étaient invités ! Quelle mascarade !

Anne Hidalgo n’avait pas de mots assez pathétiques (quoique dans un vocabulaire des plus limités) pour parler de la liberté des crayons.

Cela n’empêchera pas cette faux-cul de compétition de traîner devant les tribunaux notre dessinatrice Ri7, et Pierre Cassen, à cause de ce dessin. Nous devions avoir le verdict du procès le 3 avril, mais le Coronavirus en a décidé autrement !

Depuis ce 7 janvier, les imposteurs de gauche, grâce à la complicité des lavettes de droite, ont multiplié les procès contre les mal-pensants, montrant la réalité de l’imposture de l’opération “Je suis Charlie”, qui ne servait qu’à détourner la colère des Français contre les islamistes, en stigmatisant ceux qui voulaient dire la vérité sur la réalité de la barbarie islamique, permise par la politique migratoire des différents gouvernements.

Non seulement ces ordures ont durci la répression contre la parole libre, mais ils ont imposé aux Français et aux Européens une véritable invasion migratoire, majoritairement, pour ne pas dire exclusivement, musulmane, faisant bien évidemment exploser les budgets déficitaires de nos pays et la sur-délinquance.

Ils ont donc décidé, que cela soit les gouvernements Hollande ou Macron (souvent composés des mêmes traîtres) de renforcer le dispositif juridique pour lutter, osent-ils dire, contre la haine sur les réseaux sociaux. Ils ont commencé par créer un nouveau machin, la Dilcrah, avec Manuel Valls, puis ont renforcé les sanctions, puis ont voté une loi “fake news”, et enfin viennent de nous imposer la loi Avia, surnommée la “Cannibale taxiphobe” par des mal-pensants qui n’ont pas envie de se taire devant ces intimidations.

Ils ont été assez stupides pour préparer cette loi avec le vice-président du Crif, avec un écrivain islamiste qui n’a aucune légitimité, et avec une “discriminée positive” raciste, sexiste, homophobe, haineuse, tyrannique, incarnation d’une revanche africaine contre les Blancs honnis. Même dans ce domaine, les bons à rien qui nous dirigent, qui ont plongé le pays dans une situation catastrophique à cause de leur gestion catastrophique de la crise sanitaire, ont réussi à être minables !

Bien évidemment que sur les réseaux sociaux, à cause du vote de 350 salopards “Je suis Charlie”, à cause de l’abstention des collabos socialauds, et de la fausse opposition des LR et des Insoumis, la répression va être féroce, et la censure digne d’un pays totalitaire.

L’objectif de “Je suis Charlie”, comme de la loi Avia, est le même, avec deux stratégies différentes : interdire toute critique de l’islam, et de ce qui permet son développement, l’invasion migratoire criminelle que subit notre peuple. Ils ont décidé, par tous les moyens, de nous imposer le changement de peuple, de civilisation, de culture, de mode de vie, et de nous faire crever encore plus vite, pour que nous laissions la place à nos remplaçants.

Bien évidemment, un site comme Riposte Laïque, capable d’ironiser férocement sur la mort d’un président d’association à migrants – donc un traître – tué par un Afghan dans des conditions non élucidées, est une cible de premier choix, ce qui nous amène à prendre des dispositions particulières, pour continuer à défendre une parole libre, forcément insolente et dérangeante, sans la moindre concession pour le cancer islamique qui ronge notre pays.

Puisque ces pourris ont défendu “Je suis Charlie”, et la liberté des crayons, nous allons, en guise de pied de nez à tous ces petits flics de la pensée, minables maîtres-censeurs, rendre hommage à notre tour aux meilleurs dessinateurs, aux plus insolents d’entre eux, et nous faisons un viril bras d’honneur à toutes les pleureuses de la bien-pensance que cela pourrait émouvoir.

Et donc rendre à la cannibale taxiphobe, qui lutte contre la haine (défense d’éclater de rire) l’hommage qu’elle mérite…