Les juges ont donc dispensé de peine les écolos bloqueurs…

Il y a à méditer sur les jugements qui sont rendus de-ci ou de-là quelle qu’en soit la matière afin d’avoir une idée des potentialités à exploiter pour d’autres causes.

Ainsi récemment deux militants écolos de Dernière Rénovation ont été dispensés de peine pour avoir bloqué la circulation automobile sur le périphérique parisien au motif qu’ils « luttaient pour leur survie ou celle de leur proche » :
https://www.fdesouche.com/2023/01/11/deux-militants-de-derniere-renovation-qui-avaient-bloque-le-peripherique-parisien-reconnus-coupables-dentrave-a-la-circulation-mais-dispenses-de-peine-le-tribunal-jugeant-quils-luttaient-po/

On aurait aimé une telle décision appliquée à Cassandre Fristot par exemple qui n’a pourtant jamais emmerdé ni entravé personne avec sa pancarte-rébus digne du Sphynx sur laquelle était inscrit une théorie de noms connus avec l’interrogation « Qui ? ».
Les juges qui ont eu à la juger ont cru faire preuve d’intelligence en s’imaginant qu’en criant à l’antisémitisme, inexistant au demeurant puisqu’au nombre des noms figurant sur la liste des non juifs trônaient fièrement, et se sont perçus comme suffisamment armés du neurone pour avoir résolu le rébus posé par ladite Cassandre : il n’en est rien, aucun juge de France n’a encore été capable intellectuellement de répondre clairement à la question « Qui ? », questionnement qui demeure encore à ce jour, comme les conjectures de Fermat l’ont été, juriste lui aussi en son temps mais visiblement d’une autre trempe que les actuels robins, un défi aux siècles et aux intelligences à venir.

Convenons que la magistrature française n’est pas de taille, on doit embaucher en speed dating du coté à de l’ENM sans prendre la peine de vérifier les QI, et par suite on s’étonne du déclin du pays.
Ajoutons que l’impétrante a été assujettie à la double peine d’avoir perdu son emploi à la désormais bien nommée « Déséducation Nationale », symptomatique ici aussi de l’affaissement des constitutions neuronales de cette organisation dont pourtant l’un des objets serait d’aiguiser les curiosités, donc hypothéser jusqu’à la solution au rébus, mais qui préfère tuer le messager au lieu de traiter l’énigme que celui-ci transmet comme un flambeau au travers des âges et des peuples, et par suite on s’étonne encore du déclin du pays.

Pour en revenir à la décision de dispense de peine pour les militants écolos, la plaidoirie des avocats était fondée sur l’état de nécessité, motivation qui, pour avoir une chance d’être reçue favorablement par les juridictions, suppose la réunion de trois conditions préalables : 1 – faire face à un danger actuel ou imminent, 2 – que les actes soient proportionnés et 3- qu’ils soient l’unique moyen d’y faire face.

On voit de suite que la condition numéro 1 conduisant à la dispense de peine peut s’appliquer à tous les dangers actuels ou imminents rencontrés par le citoyen de tous les jours et en tous lieux  : la submersion migratoire par les haineux armés entre dans le champ de cette première condition qui sera considérée comme remplie dès lors que vous prouvez que vous étiez en danger en présence d‘un ou plusieurs extra-européens.

La notion de danger actuel ou imminent présente même une caractéristique élastique temporellement pour les juges : les militants écolos qui ont entravé la circulation n’étaient pas à proprement parler en danger actuel ou imminent dans leur personne ou leur chair lors de leur action, ils agissaient pour le monde futur : reste à savoir si l’on pourrait invoquer la France de demain sans être soi-même en danger actuel ou imminent pour conduire des actions anti-extra européens dont on aura par ailleurs pris soin de démontrer l’inéluctable guerre civile à venir à les laisser prospérer sur le sol national.

La question mérite d’être posée, cela ouvrirait les portes à des actions préventives dans le temps présent pour les temps demain partant du sain et sage principe qu’il vaut mieux prévenir que guérir.
La proportionnalité de l’action en rapport aux risques démontrés doit aussi être prise en compte.

Tant que l’extra-européen n’a pas tué un européen, il est hors de question de l’éliminer physiquement, le juge vous donnerait tort : il y a disproportion si vous tuez alors que l’extra-européen n’a (encore) tué personne : il n’est pas possible d’envisager ici une action préventive, à moins de pouvoir produire les preuves irréfutables que l’intention de tuer du blanc de France ou du mécréant habitait effectivement et réellement la pépite d’importation, sachant que la preuve en la matière est toujours difficile à rapporter, il suffit de constater le nombre important de policiers qui se croyant en légitime défense se retrouvent en garde à vue.

S’il a violé une Européenne ou, tout aussi grave, un Européen mal transitionné ou pas, la proportionnalité pourrait permettre le viol en retour, mais il y a risque, concernant votre juge, s’il est gauchiste, qu’il voie rouge comme qui dirait, et qu’il estime qu’il y a eu en réalité double délit : 1°) le viol perpétré par l’extra européen, 2° suivi de votre viol de l’extra européen.

La proportionnalité imposerait donc d’en faire un peu moins en retour, sachant que l’entrave à la circulation supra a été considérée comme une action acceptable dispensant de peine : il suffirait alors de l’attacher à un vieux chêne dans un endroit isolé en le confiant aux bons soins de la destinée pour que vous soyez, en toute bonne conscience puisque vous n’avez attenté à la vie de personne, dispensé de peine par la magistrature aussi gauche soit-elle.
Reste la troisième condition qui consiste à démontrer qu’il n’y avait pas moyen de faire autrement que de se faire justice soi-même, et ici ça doit être du nanan de prouver que l’autodéfense est « l’unique moyen d’y faire face », nous parlons ici des violences perpétrées par les délinquants extra européens : il suffit de balayer l’actualité, de relever le pedigree sur les dernières années des criminels et multirécidivistes violents extra-européens plus ou moins colorés pour démontrer que l’état français s’est mis du côté de la voyoucratie et du Grand Remplacement, obligeant le citoyen de base à porter la kalache en bandoulière pour aller chercher sa baguette ou boire son canon au PMU pour y poinçonner se tickets gagnants pour le prochain Maisons-Laffitte.

Ici la preuve à rapporter est aisée, vous aurez toute l’actualité des 10 ou 20 dernières années pour en justifier et montrer que, tant la justice que la police, ont complètement démissionné de leurs doctrines d’emploi initiales, qui est de protéger la société, pour devenir les protecteurs des voyous, vous pourrez sortir les circulaires où l’on demande aux policiers de ne pas importuner la racaille, et le nombre inouï de multirécidivistes qui peuplent tout l’espace public français devraient suffire à justifier qu’il n’y a plus rien ni de lieu de sûr en ce pays : vous démontrez ainsi on ne peut plus facilement qu’abattre par vous-même est bien « L’UNIQUE MOYEN » pour espérer retrouver le soir la Casbah, Mémène et les Lardons à peu près sain et sauf puisque le policier ne veut plus rien faire de définitif.
Bien entendu cela peut indisposer le juge de se faire entendre par autrui dont il a par ailleurs à juger les agissements salvateurs que c’est par son seul infâme laxisme envers les « stransgeros colorades » si le blanc de souche de France plébiscite l’autodéfense, savoir également que la magistrature française incite tellement à la haine qu’elle pousse à devenir un William M.

Mais si indisposé soit-il, sa couche si grandement souillée soit-elle, une juge qui a de l’intégrité et de l’éthique sera obligé d’en convenir : tout citoyen blanc de ce pays n’a même plus à démontrer que la troisième condition est remplie, puisqu’il est entendu par tous qu’elle l’est explicitement par le laxisme d’État et le restera tant qu’un vrai fasciste n’aura pas pris le pouvoir pour y remédier.

L’éthique poussera-t-elle un juge à se juger lui-même et à s’auto-rédiger une ordonnance de mise sous écrou pour avoir ainsi poussé à la montée de Reconquête dans le pays, prévenant ainsi son incarcération avant qu’elle ne soit décidée et prononcée par d’autres à partir de 2027 ?

Certains en rêvent paraît-il…

Jean d’Acre