Les Macron seraient-ils des reptiliens ?

Leurs sourires faux, leur démarche saccadée, leurs regards vitreux, leurs propos hachés, leurs caprices insolites, leurs cruauté indicible contre le menu peuple, Gilets jaunes massacrés et pauvres naïfs vaccinés de force… il y a quelque chose d’inhumain chez ces personnages caricaturaux, échappés d’une bande dessinée dystopique.

Tous les bons auteurs s’accordent sur ce point. Les reptiliens sont des êtres nuisibles. Extrêmement vicieux et pervers. Vindicatifs et rancuniers. Aussi agressifs que pétochards… Apparus brusquement comme par génération spontanée. Personne n’en avait jamais vu ni entendu parler avant. Et puis brusquement, hop, ils sont là et occupent tout votre espace vital !

Des humanoïdes écaillés à la langue fourchue ?

Les vrais reptiliens ne ressemblent pas aux monstres de la littérature fantastique ou des films de science-fiction. Ce n’est pas à leur aspect extérieur qu’on les repère mais à leurs comportements toxiques. Même si un manque de souplesse du cou, une rigidité des mâchoires et un regard vitreux n’échappent pas au physionomiste.

Nous avons tous un cerveau reptilien, relique de l’évolution. Il génère l’agressivité et la ruse, la sexualité brutale, la mégalomanie, l’accaparement du bien d’autrui et le meurtre. Chez la plupart des gens, il agit en liaison avec les autres fonctions du cortex qui l’encadrent. Mais chez d’autres, le dictateurs, les assassins, les violeurs, il se comporte de façon indépendante et échappe à tout contrôle. Le « surmoi » de Freud est inopérant.

De nombreux reptiles terrestres sont hermaphrodites. Plus étonnant encore, certains n’ont pas de sexe définitif et peuvent en changer plusieurs fois au cours de leur vie. On appelle ça l’hermaphrodisme séquentiel.

Le mâle devenu femelle est un protandre. Tendre amateur de papouilles avec les zigomyrs. Et la femelle transformée en mâle est une protogyne. Le préfixe « proto » donne un petit côté sportif et primesautier à l’affaire. Et c’est quand même plus classe que prolo.

Ça ferait de sacrés lézards dans les registres de l’état civil si on devait rechercher tous leurs changements de sexe ! Les mabouls du « genre » sont des petits joueurs à côté.

Enfin, de quoi nourrir les fantasmes des Sardine Ruisseau, Alice Couffin et autres déconstructrices, l’éradication du mâle prouve son inutilité pour perpétuer l’espèce. Certaines lézardes le mangent après le coït. D’autre pratiquent la parthénogenèse ou autofécondation. Pour faire simple : tu te masturbes, cocotte, et tu te retrouves en cloque.

Mythologie ou légende urbaine ?

Certaines maladies génétiques transforment les humains en monstres semblant venir d’un autre monde.

L’ichtyose est une affection cutanée congénitale rare qui a donné naissance à la légende des hommes lézards et des hommes poissons. Elle correspond à un état particulier de la peau, sèche et couverte de squames fines à bords libres, disposées comme des écailles.

Dans les cas extrêmes, lorsque tout le corps est recouvert, l’aspect répugnant et l’odeur fétide qu’ils dégagent en font des êtres à part. Isolés du reste des humains. Certains surréagissent en développant une inextinguible soif de pouvoir ou de malfaisance. Certains psychopathes tueurs en série ont des écailles.

Les reptiliens ont-ils subi des mutations biochimiques ?

Fabriqués en série pour dominer le monde, les macronescus pourraient être des résidus de laboratoire, produits par une de ces expériences ratées à la recherche de l’homme idéal ou de la femme parfaite. Grand fantasme des bouchers nazis. Dont on dit que, malgré de nombreux échecs, ils n’auraient pas renoncé…

Ceux qui n’ont pas été pendus furent encouragés à poursuivre leurs recherches sous l’égide de l’US Army. Sur la piste du politicien irrésistible et du soldat invincible.

Cette possibilité expliquerait que le Foutriquet et sa soi-disant prof de théâtre ne puissent présenter ni photos ni témoins crédibles de leur vie d’avant. Interdisent tout prélèvement de leur ADN. Et se montrent particulièrement vigilants sur ce sujet lorsqu’ils voyagent. À croire qu’ils sont sortis tout cuits des athanors d’un docteur Frankenstein.

Il a donc fallu leur inventer un passé. Une biographie. Flatteuse tant qu’à faire. Pleine d’incohérences et d’anachronismes. Malgré les efforts méritoires des journaleux pour récurer les fonds de poubelles de familles décomposées. Scénarisant un environnement de zombies et d’ectoplasmes, qui apparaissent au bon moment et disparaissent quand on n’a plus besoin d’eux. Sans laisser de traces.

Ces sujets de laboratoire, issus d’un transhumanisme encore assez mal maîtrisé, ne peuvent pas se nourrir comme des humains normaux. Leurs métabolismes sont trop différents. D’où ces régimes particuliers qui étonnent leur entourage. Uniquement fruits, légumes et insectes. Qu’ils voudraient faire bouffer au monde entier.

Les reptiliens existent, mais ils ne sont pas ceux que vous croyez

L’auteur new age David Icke prétendait que des extraterrestres reptiliens auraient pris forme humaine dans notre monde pour nous manipuler. D’autant plus aisément, selon lui, que de nombreux dirigeants mondiaux de la politique, de l’économie, de la finance et des médias seraient des reptiliens ou sous l’influence de ces créatures. Moitié homme, moitié femme et moitié alien.

Pas besoin de venir des confins de l’Univers pour cela. Les reptiliens vivent parmi nous, mais ne ressemblent pas à l’image de Grand Guignol qu’en donnent les romanciers et les poètes… Comme les Soros, Rothschild et autres Rockefeller, ces sournois dominent le monde grâce à leur argent et leur perversité, au service d’une intelligence diabolique. On ne les voit pas s’approcher. Ils se déplacent en louvoyant par de discrets mouvements sinueux. Et quand ils vous mordent, il est trop tard.

Par contre, leurs loufiats comme les Macronescu, Trudeau, Sunak, Ursula la Hyène et Zygomyr Kouillansky se pavanent. Se gobergent, se rengorgent. S’étouffent des miettes de pouvoir que leur laissent leurs maîtres… Instables comme un camion de nitroglycérine, ils s’affermissent de la peur et de la haine qu’ils inspirent aux autres, les sous-humains comme nous.

Cette énergie négative leur procure force et pérennité. On voit bien avec quelle délectation le paltoquet provoque, déclenche et entretient des détestations féroces de sa personne. Tandis que la Brichelle joue les ambiguës pour semer le doute, la zizanie et la confusion. Et pour ces numéros de cirque, pas besoin de venir d’une autre planète ! Tous les psychopathes, sociopathes et autres manipulateurs pervers, se repaissent de la terreur qu’ils inspirent, des souffrances qu’ils provoquent, et des diversions toxiques qu’ils suscitent.

Comment repérer un reptilien ?

C’est difficile car ils sont friands de déguisements. Usant et abusant d’artifices tels que fards, cosmétiques, perruques, et quelques interventions de chirurgie esthétique, ces caméléons se fondent dans leur environnement. Pour l’un, marin, aviateur, explorateur, footballeur, pompier, troufion ukrainien. Ici en boubou, là en djellaba, ailleurs coiffé d’une couronne maorie ou d’un fez turc. Les métamorphoses d’un paltoquet qui voudrait passer pour un homme mais n’y parvient pas.

Pour l’autre, top model modèle réduit, gravure de mode démodée, froufroutante dénutrie affublée d’une jupette de gamine ras la foufoune, arrière-grand-mère aux grands pieds qui repousse les échéances de la nature, mais ne leurre qu’elle-même.

Les deux sont experts dans l’art du détournement d’attention, comme les prestidigitateurs et les pickpockets. Propos incongrus, menaces implicites, comportements désordonnés, tenues excentriques, accumulation de délires, avec un culot qui déconcerte… Tout est bon pour masquer l’essentiel et glisser dans le décor des apparences.

Leur manque d’humanité les trahit

Il n’y a pas que les caractéristiques physiques. En plus d’une arrogance phénoménale, d’une méchanceté sans limites et d’un sadisme qui leur colle à la peau, avec ou sans écailles, les reptiliens n’ont pas de conscience. Ou pas d’âme si vous versez dans la métaphysique.

Il n’y a aucune humanité en eux, ils ont été élevés et entraînés pour tromper et asservir le genre humain. Ils ignorent l’empathie, la solidarité, le désintéressement, l’altruisme… L’honneur leur fait horreur. L’égotisme correspond à leur vraie nature. Pour eux, la bonté est une faiblesse. La vengeance un des beaux arts. Pas touche aux chocolats !

Quels que soient leurs forfaits, ils n’éprouvent aucun remords et sont fiers de leur impunité. Prêts à recommencer. Un élément toutefois peut les trahir. Dans un moment de crise, confrontés à un opposant qu’ils ne peuvent écraser devant témoins, leurs yeux s’assombrissent, puis se voilent et deviennent glauques et ternes. D’où l’utilisation fréquente de lentilles de contact colorées chez ces nuisibles.

Christian Navis

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