Les masques respiratoires ne protègent de rien !
Lorsque nous ne sommes pas allongés sur une table d’opération au milieu d’un bloc opératoire, ou lorsque nous ne sommes pas en plein hiver entourés de gens malades et grippés dans des endroits clos et non aérés, les masques respiratoires ne protègent de rien. Et ils ne sont pas une barrière aux virus ou coronavirus.
Il faut être particulièrement rétif à toute connaissance physiologique et toute recherche de vérité pour ignorer cela, pour ignorer par exemple que le maillage des masques laisse passer des millions de virus (les virus et les coronavirus sont des objets (ils n’appartiennent pas au « vivant »), extrêmement petits, bien plus petits que les mailles des masques respiratoires.
Un résumé sur la question
« Les masques – y compris les masques de protection antiparticules – ne fonctionnent pas. Des études approfondies d’essais contrôlés randomisés (ECR) et des méta-analyses d’études d’ECR ont montré que les masques ne fonctionnent pas pour prévenir les maladies respiratoires de type grippal, ou les maladies respiratoires que l’on pense être transmises par des gouttelettes et des particules d’aérosol. »
C’est le résumé d’un excellent article du docteur Denis Rancourt qui a été traduit en français et publié le 26 mai 2020 sur « fr.sott.net/ ».
Denis Rancourt est titulaire d’un doctorat de l’université de Toronto (1984) et a été professeur de physique à l’université d’Ottawa.
https://www.youtube.com/watch?v=Fvp6uah-2hY&feature=youtu.be
https://www.youtube.com/watch?v=Fvp6uah-2hY&feature=youtu.be
Pour notre santé et notre liberté, il faut refuser de porter un masque !
Le port du masque est physiologiquement dangereux, car il affaiblit considérablement notre système immunitaire, et, en plus, il modifie considérablement notre manière de penser et de communiquer avec les autres, ce qui amoindrit nos capacités cognitives (tout comme la sous-oxygénation du cerveau).
La parole précède souvent la pensée, c’est particulièrement vrai lors des débats que nous pouvons avoir les uns et les autres au sujet des grandes questions politiques, économiques ou encore philosophiques.
On essaye de penser avec rationalité selon nos connaissances, bien sûr, mais souvent un mot, une phrase nous échappe et nous permet de réévaluer cette pensée, c’est pourquoi il est important d’échanger, de parler, de se contredire dans un flux respiratoire non contraint.
Le port du masque empêche cela, il empêche la production de l’intelligence collective qui est assurée par nos échanges contradictoires lors de banales conversations au coin de la rue ou chez son épicier.
L’obligation de porter un masque est une obligation de porter une muselière qui est imposée par les régimes néonazis qui veulent supprimer les démocraties occidentales.
C’est un pas de plus vers le Nouvel Ordre Mondial et la victoire de l’Église mondialiste qui veut nous asservir en supprimant nos libertés individuelles et nos droits fondamentaux d’être humain.
Les effets physiopathologiques du port du masque
Manque d’oxygénation
La première raison concerne la perte d’oxygénation du cœur et du cerveau qu’il procure, et qui peut dépasser les 35 % (ce qui signifie qu’il manque à votre cœur et à votre cerveau 35 % ou plus de l’oxygène dont ils ont besoin pour assurer normalement leurs fonctions).
Acidification du sang
La privation d’oxygène augmente l’acidité du sang.
Diminution des capacités cognitives
La sous-oxygénation du cerveau génère une diminution de nos capacités cognitives.
Réintroduction des substances toxiques (toxines, CO2 ; etc.)
Lors de l’inspiration, il oblige la réintroduction dans les poumons des substances toxiques évacuées par l’expiration.
Affaiblissement du système immunitaire
Le manque d’oxygénation, l’acidification du sang la réintroduction de CO2 et de toxines en grande quantité dans les poumons génère des inflammations et une libération de cortisone qui affaiblissent ou qui bloquent le système immunitaire.
Le dangereux port obligatoire du masque, un symbole de soumission.
Pierre Lefèvre