Les massacres en Ukraine, à Boutcha : la responsabilité de Macron

L’affrontement militaire entre le plus grand État du monde, par son territoire, et le plus vaste pays continental européen, à savoir la Fédération de Russie et l’Ukraine, déchire les peuples slaves : ce n’est pas une guerre, c’est un génocide de Caucasoïdes, lequel, dans la mesure où il implique une puissance nucléaire, est capable de se transformer, à moyen ou à long terme, en l’extermination de l’humanité tout entière. Nombreux, cependant, étaient ceux qui avaient un intérêt pervers à l’éclatement de ce conflit. Il était pourtant clair que si l’accord du 9 février 1990 entre Gorbatchev et Baker sur la non-extension de l’OTAN vers l’Est avait été respecté, jamais la manipulation de ce monstre bicéphale qu’est la République d’Ukraine n’aurait été utile à qui que ce soit.

Ce qui m’intéresse dans cet article, ce n’est pas l’action destructrice des États de l’OTAN qui se sont regroupés en 2021 en une alliance qui détient la force de frappe la plus importante sur Terre actuellement, qui est l’AUKUS, mais la dégradation psychique de l’establishment français, entièrement plongé dans une dissonance cognitive, effaçant les actes décidés au sommet de la diplomatie indo-européenne aussitôt qu’ils sont réalisés. J’estime que c’est l’irresponsabilité psychopathique, dans le sens médical du terme, d’un tandem schizoïde de Présidents français, Hollande puis son ministre de l’Économie, de l’Industrie et du Numérique qui lui avait succédé à l’Élysée, qui est, à cause de cette posture d’arrogance frénétique, en majeure partie responsable de cette guerre en Ukraine où meurent des Slaves, autrement dit les derniers Européens blancs non normalisés. Cette irresponsabilité des décisionnaires français est une authentique méthode de fonctionnement, voire une méthodologie qui leur est inculquée dès qu’ils sont censés se préparer à un poste d’importance. L’irresponsable est promu grâce à son irresponsabilité : il est incité par le système républicain à faire une complète tabula rasa après chacun de ses désastres, et un membre de l’oligarchie est applaudi par les siens et leurs laquais, uniquement s’il efface dans son esprit chacun de ses, voire de leurs, actes ignobles ou ridicules – parfois sources d’holocaustes pour des peuples entiers. Cette méthodologie de l’irresponsabilité fait en sorte que, dans la République française, parviennent au pouvoir des créatures bipèdes incapables de concevoir ce qui existe au-delà du mur de Berlin psychique qu’un dressage collectiviste a bâti dans leurs esprits – car au-delà de cette enceinte totalitaire de grands psychopathes se trouve une réalité qu’ils sont forcés de constamment déconstruire afin qu’elle finisse par obéir à l’univers psychopathique qu’ils ont érigé au rang de seule normalité. Cette méthodologie de l’irresponsabilité portée au sommet de l’État français est la cause d’une absolue impossibilité de réformer ce système et par conséquent la Communauté européenne tout entière, puisque la Marianne schizophrène y exerce une tyrannie idéologique. Quiconque ose rappeler l’existence naturelle d’une vie au-delà de cette enceinte d’aliénés est aussitôt désigné comme devant être effacé (« cancel ») : il est exclu du collectif marxisant des aliénés tout puissants et, dès lors, endosse le rôle de victime initiatique, l’ensemble des fous furieux pouvant s’acharner sur ce représentant de la réalité, sur sa personne et sur ce qu’il représente, sur ses biens matériels et intellectuels.

Naturellement, ces deux présidents démagogues et socialisant n’ont pas accédé à la fonction suprême par hasard, mais ont été élus par ceux qui disposent en France de droits civiques – car depuis 1944, l’on ne peut plus parler en France de peuple authentique. Ces deux présidents ne sont que l’incarnation de cet élan d’irresponsabilité qui consiste en l’effacement psychique des actes aussitôt que ceux-ci sont commis et auquel les individus peuplant la république numéro 5 se livrent, éduqués par une caste de professeurs tout aussi névrosés, collectivistes et haïssant le principe même de responsabilité. C’est la diplomatie française incarnée non par des professionnels du quai d’Orsay, mais par le plus haut élu de l’État qui a fait faillite. La guerre en Ukraine est la bâtarde de la déchéance des présidents français en tant que « diplomates » et nous assistons à un spectacle pitoyable où ce fiasco est interprété comme étant une extrême réussite dans cette campagne présidentielle visant à réintroduire au sommet de l’État français un amnésique génocidaire d’Européens.

Acte I : Signature des accords de Minsk

Souvenons-nous que c’est le 11 février 2015 que Hollande, alors président de la République, incapable de pacifier son propre pays ou de le sauver du déferlement d’un terrorisme tout aussi fanatique que lui mais exercé dans le domaine d’une croyance en quête de ses origines du début de l’Hégire, se porte garant des accords de Minsk II. Ce document prévoit l’obligation pour le gouvernement ukrainien établi à la suite d’un renversement du pouvoir en 2014 d’entrer en négociation avec les forces séparatistes. L’on était alors à peine au début de cette guerre civile qui maintenant, sept ans plus tard, a dégénéré en une crise mondiale. Tout ce premier acte du désastre diplomatique français se déroule sous l’irresponsabilité de Hollande et par conséquent de son ministre de l’Économie Macron, alors membre depuis plusieurs mois du gouvernement. Ils glissent, en effaçant toutes les probables conséquences tragiques dont ils seront à l’origine. Hollande est l’image même d’un apparatchik du parti socialiste, ennemi du Logos et de la grandeur, à l’aise dans la chicanerie politicienne, mais méprisant la seule idée qu’il existe des conséquences à ses actes au niveau planétaire. Cette bulle de graisse et de grisaille, comblée de banalité et d’inculture, a été portée au sommet du pouvoir, car la majorité des électeurs s’y reconnaissent. Et, sur ce point, il ne faut pas mépriser ce fait : la canaille professorale des établissements supérieurs de la 5e République l’avait élu majoritairement. C’est donc cette trivialité de la frénésie de l’irresponsabilité, devenue une authentique méthodologie comme appréhension du monde, qu’ils distillent à leurs élèves, leur transmettant des réflexes qui leur permettraient d’acquérir des postes à responsabilité. Telle est la source de cette pathocratie [1] omniprésente dans la République française qui n’a absolument pas remarqué, voire pire : qui a remarqué mais effacé sur-le-champ ce premier acte de la tragédie qui se déroule entre l’Ukraine et le Sud-Ouest russe.

Acte II : L’estafette de Macron dans le désastre diplomatique français

Deux ans plus tard, Macron saisit le flambeau de la grande diplomatie française : il devient le nouveau garant des accords de Minsk II, lesquels pour lui ne sont que l’occasion de croiser une chancelière allemande et des personnalités d’encore plus grande envergure. Le nouveau président n’accorde pas plus d’importance à ces rencontres dans le cadre de Minsk II qu’aux soirées parisiennes avec ses fréquentations cocaïnomanes et inverties. Si, une semaine après le 29 mars 2018, vous lui aviez rappelé qu’il avait affirmé, lors de la rencontre de Normandie, sa détermination à rappeler au gouvernement de Kiev son obligation d’entrer en négociation avec les séparatistes, il n’aurait su que vous répondre, ayant, j’en suis sûr, totalement glissé sur ses engagements. Le fait de se porter garant nécessite d’avoir été éduqué à l’instinct de responsabilité, instinct que l’on obtient par une longue instruction, en établissant un lien avec notre passé – ce qu’une créature comme le président « français » méprise comme lui étant étrangère, car la méthodologie de l’irresponsabilité est l’unique caractéristique lui ayant permis d’accéder au pouvoir. En effet, cette méthodologie de l’irresponsabilité trahit les hauts représentants de l’État français : malgré leur arrogance, ils ne se considèrent pas comme étant des êtres à part entière car, d’emblée, dans leur psyché, ils se sont oubliés eux-mêmes en effaçant tout acte passé indésirable pour leur hagiographie personnelle. Ils acceptent donc le fait qu’ils sont des créatures interchangeables, des êtres sans âme ni destin. Cette méthodologie de l’irresponsabilité est en outre la source permanente de leur ressentiment envers les êtres qui existent réellement, qui s’incarnent dans l’ensemble de leurs actes et dans la durée, répondant de leur vie dans chacune de leurs décisions : ces éphémérides prétentieuses, élues grâce à des magnats des médias et des finances, comme Hollande ou Macron, éprouvent une haine envieuse envers un Poutine ou un Loukachenko qui eux existent pleinement. La méthodologie de l’irresponsabilité des oligarques français est aussi à l’origine de leur inaptitude fondamentale à établir une communication psychique avec les dirigeants authentiques de Russie ou de Biélorussie, car il s’agit en fait d’espèces différentes et un dialogue entre eux est ontologiquement impossible – comme une discussion sur l’Ancien Testament entre un gorille et un théologien.

Ainsi, le 11 novembre de la même année 2018, Macron réagit aux élections qui se sont déroulées dans les deux États séparatistes pro-russes d’Ukraine, sans pour autant vouloir enfin se pencher sur leurs probables conséquences (qu’est-ce qu’un président français aurait-il à faire de la notion même de conséquence ?..) : « Un coup pour la démocratie en Ukraine. » Naturellement, s’il était responsable de ses actes, Macron aurait pu s’inquiéter des bombardements que subissaient les civils de ces républiques rebelles de la part de l’armée ukrainienne, des milliers de morts dont nous pouvions déjà avoir connaissance via quelques journalistes français[2]. Mais le Président français n’est pas fait pour être responsable : il n’a pas perçu son rôle de garant de Minsk II comme, notamment, une tentative d’éviter un génocide vécu par un peuple blanc d’Europe, il a d’autres chats à fouetter. Pourtant, ce rôle dans l’extermination de Slaves, Macron le mettra à son avantage en avril 2022 devant les foules de ses électeurs bornés et même devant ses concurrents à la fonction suprême non moins stupides et incultes.

Monstre vivant selon les principes de la méthodologie de l’irresponsabilité, incarnation de cette Marianne transgenre et métisse sous le bonnet phrygien, Macron a pourtant eu une occasion unique de se montrer au minima digne de la grandeur de sa fonction : il aurait fallu pousser les deux clans qui gouvernent l’Ukraine à respecter les accords de Minsk II signés par son gourou Hollande. Naturellement, la campagne présidentielle en France battait l’année dernière son plein. Macron a voulu en profiter au maximum avant de se présenter officiellement à sa propre succession : un événement de cette envergure était indiscutablement une occasion charmante pour faire la réclame internationale, et gratuite, de ses efforts de grand diplomate. Dans les faits, son action est proche du zéro absolu.

Les bases otanesques encerclaient de plus en plus cet empire qui est la Fédération de Russie, d’une façon telle que les États-Unis auraient depuis des mois déclenché une troisième guerre mondiale si la Russie avait amorcé quelques percées semblables au Mexique ou au Canada. Souvenons-nous la tentation du très démocrate Kennedy de lancer une attaque nucléaire contre l’URSS au moment de la crise des missiles de Cuba en octobre 1962. Dès 2019, le président français aurait pu se rendre compte que les deux groupes ethnico-religieux gouvernant l’Ukraine avaient marqué dans sa constitution, via un amendement, le programme d’adhérer à l’OTAN, notamment via la mise en place de missiles nucléaires otanesques à quelques dizaines de kilomètres de la Belgorod russe, soit à 4 minutes de vol de Moscou.

Nous sommes à la veille de la crise militaire. Je l’avais prédit dès l’été dernier, indiquant clairement le moment des frappes russes contre l’Ukraine, la tactique et les armes qui seraient employées. Car cela ne pouvait pas se passer autrement – pour tant est que l’on maîtrise l’histoire et que l’on appréhende au minimum l’équilibre des forces entre les grands ensembles géostratégiques. L’ultime élu français et ses conseillers ne sont intéressés par le destin ni de leurs peuples ni du monde. Ils ne sont au bout du compte responsables que de leur propre destin minable. Ils glissent ! Totalement dépourvus d’existence psychique, ils ne savent pas s’arrêter et alternent crispations d’arrogance et ricanements de grands psychopathes, ainsi qu’ils l’avaient appris auprès de leurs professeurs – et ils ne le font même pas en tant qu’individus, mais se meuvent en groupuscules collectivistes haïssant par instinct l’unique entité qui pourrait leur offrir une puissance saine, à savoir la race, le peuple.

Même les fameux massacres à Boutcha, qu’ils aient été commis par les Russes ou par les Ukrainiens eux-mêmes (tactique appliquée en janvier 1999 par UÇK à Račak pour rendre les Serbes responsables de massacres de civils et justifier l’intervention otanesque contre la Serbie, les experts ayant eux-mêmes reconnu qu’il s’agissait d’un fake avec notamment des cadavres de combattants avec des traces de poudre sur les mains mais habillés en civil et présentés comme les victimes des Serbes), trouvent leur origine dans l’inconscience schizophrénique d’un Macron garant des accords de Minsk II.

Acte III : Le naufrage de la diplomatie macronienne

La destinée offre de nouveau à Macron la possibilité de se montrer responsable quinze jours avant l’opération russe en Ukraine, possibilité qu’un président français ne peut saisir et qu’il ne perçoit d’ailleurs même pas, gouvernant selon les principes d’une méthodologie de l’irresponsabilité. Le 7 février 2022, il est à Moscou. Il a toutes les chances de saisir l’importance du moment. Zéro compréhension : ni du président français ni de son équipe. Le lendemain, il est à Kiev et le président ukrainien l’assure qu’il respectera les accords de Minsk II, bien que son armée ait déjà massacré plusieurs milliers de ses concitoyens de l’Est dans un silence international assourdissant. Macron part à Paris sans exiger que soient respectés ces accords de Minsk II, alors que les services spéciaux français auraient dû le prévenir : une centaine de troupes russes sont à la frontière ukrainienne face à l’armée la plus nombreuse d’Europe occidentale, celle d’Ukraine, en état d’alerte. Les courtisans français rassurent le grand président schizophrène en le flattant, car les fous aiment être flattés : il a remporté, disent-ils, un « demi-succès »[3] – comme s’il existait des demi-génocides ou une demi-guerre ou un demi-conflit nucléaire. Pendant que des dégénérés encensent leur président dans des torchons parisiens, vingt heures après que Macron a quitté Kiev, le ministre des Affaires étrangères ukrainien déclare le contraire de ce que Macron a entendu dans cette même Kiev : « Nous ne respecterons pas le principe des accords de Minsk II. » [4] D’ailleurs, reprécise le ministre, Macron « ne poussait même pas Zelensky à respecter les accords de Minsk »[5]. Qu’est-ce que cela fait à Macron ? Rien, puisqu’il avait déjà quitté Kiev le 8 février 2022 et que cela avait été dit le 9 février 2022. Il avait déjà glissé et les grands névrosés ne peuvent pas analyser leurs propres actes : ils sont portés par le courant de leur dissonance cognitive, applaudis par des foules d’admirateurs éduqués par le même type de pathocrates qui ont érigé l’irresponsabilité comme mode de comportement.

 

Conclusion : la méthodologie de l’irresponsabilité comme principe de promotion dans l’Université française

Il y a quelques semaines à peine, j’avais publié un texte en français où je me penchais sur les trois stades du comportement de ces créatures anthropoïdes qui poussent l’humanité, docile et joyeuse, vers le suicide. D’abord, ils essaient de raisonner et de garder leur sérieux, mais ne croient absolument pas dans la logorrhée qu’ils vous déballent. Puis, voyant que leur démagogie ne prend pas, ils tentent de vous effrayer en en appelant aux gendarmes – unique métier que ces libéraux-démocrates apprécient (et s’il n’y a pas de flics à leur portée, ils indiquent que vous êtes un hérétique qui utilisait de termes inappropriés dans leur culte shamanique : « racisme anti-Blancs » ou « remplacement des peuples occidentaux »). Et quand ils ont échoué dans ces deux premières démarches intellectuelles, ce bétail anthropoïde, portant souvent des titres de professeur universitaire, se met à ricaner.[6] Naturellement, j’évoquais l’Université française dont je scrute la déchéance psychique annuellement en entrant en contact avec le conseil national des universités (CNU) qui me fournit moult exemples de cette méthodologie de l’irresponsabilité, laquelle fait en sorte que les professeurs universitaires français ne peuvent être choisis s’ils ne présentent pas la tare pathocratique de la méthodologie de l’irresponsabilité. Ma thèse de doctorat sur Nietzsche et Nabokov a été ainsi déclarée « nulle » par des gourous de l’Université française qui avaient fondé leur carrière sur le plagiat. Comme ils n’avaient pas réussi à m’interdire de soutenir ma thèse de doctorat sur Nietzsche et Nabokov, ils ont organisé un recel de vol. La tactique était simple : pour rendre ce plagiat possible, les membres du CNU ont, pendant plusieurs années, déclaré ma thèse nulle, ce qui a permis à un clan israélo-français-nord-américain de piller mes recherches, invisibilisées pendant des années. Cependant, dans la mesure où ce clan est composé d’incapables et d’illettrés (ils écrivent sur Nietzsche et Nabokov sans maîtriser ni le russe ni l’allemand), ils se sont ridiculisés : la déchéance intellectuelle du voleur trouve sa source dans la déchéance psychique de l’organisateur du recel du vol[7]. Pour discréditer mes recherches, ils ont déclaré que mes travaux, naguère reconnus par l’ensemble des communautés scientifiques française, allemande, suisse, russe ou américaine, ne répondaient pas à la méthodologie de l’Université française. Il n’y a pas loin pour croire donc que la méthodologie de l’ensemble de l’Université française réside dans un plagiat commis par des incultes qui, comble du ridicule, sont obligés d’effacer chaque année les informations que je leur transmets sur le déshonneur de leur groupe afin de pouvoir continuer à se prouver qu’ils ont le droit d’exister et d’exercer. Pour cela, ils dressent un mur de Berlin psychique autour d’eux – exactement comment le font leurs élèves, les si brillants diplomates français. Néanmoins, chaque fois qu’ils commettent leur nouvelle expertise « scientifique », ils procèdent à un énième effacement de la réalité, car ils savent qu’ils continuent à participer en groupe à l’acte de recel de vol. Tout cela est naturellement accepté, voire protégé avec engagement, par les membres de l’Académie française ou de l’Institut de France[8] ainsi que par le ministre de l’Enseignement supérieur constamment informé sur les agissements de ces experts qui soit refusent de me transmettre leur chef-d’œuvre d’analyse, soit se ridiculisent en répétant encore une fois que la méthodologie de l’Université française en matière de recherches serait celle de l’inculture et du plagiat. Parallèlement, ces expertises sont plus en plus bourrées de fautes grossières de français, langue maternelle de la plupart des experts. Cela prouve qu’à la 5e génération d’apparatchiks universitaires, la méthode globale a fait de tels ravages que ce collectif ne rencontre plus aucune difficulté pour s’approvisionner en nouveau bétail humain, nombreux étant ceux qui suivent la méthodologie de l’irresponsabilité et sont donc prêts à toutes les bassesses, car ils ne peuvent même pas concevoir qu’ils pourraient avoir une réalité et donc une existence psychique[9].

Bientôt, nous allons tous assister à un spectacle drôlissime de la déchéance de l’humanité où le grand diplomate président français, un des dociles élèves des professeurs analysés plus haut, présentera à ses électeurs ses succès quasi olympiens dans l’empêchement de ce conflit qu’au bout du compte, durant sept ans, lui et son prédécesseur avaient mis en place, entretenu puis déclenché – et qu’il utilise pour couper la grande Eurasie et les peuples caucasoïdes en deux armées belligérantes, séparées par une haine insatiable qu’il est permis d’avoir seulement envers des Blancs encore non normalisés, ayant même marqué dans leur constitution – je parle là des Russes naturellement – être les successeurs de la gloire de leurs ancêtres qu’ils perpétuent également au sein de leur famille composée exclusivement d’un homme et d’une femme et fondée pour transmettre la vie[10]. Comment, puis-je poser cette question à mes lecteurs, ces bipèdes dépourvus d’existence psychique que les citoyens français ont fait entrer à l’Élysée pourraient-ils ne pas participer à exterminer une telle civilisation qui persiste à ne pas se normaliser ?….

Voilà quelques idées sur le triomphe de la grande diplomatie présidentielle de la 5e république « française ».

Dr Anatoly Livry, Altdorf, Suisse

[1] La transmission d’une vision maniaco-obsessionnelle de la destruction du monde qui s’opère au sein des élites françaises de génération en génération depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale et qui a comme matrice l’Université française décapitée dès 1944 a déjà été amplement analysée dans certains de mes travaux, par ex. Dr A. Livry, LA RACE ET L’HELLADE – Blancheur et supériorité chez les Grecs anciens, Alba Leone, Paris, 2021, 145 pages, ISBN : 978-2-9701493-0-9 :
https://danielconversano.com/product/anatoly-livry-la-race-et-lhellade/.

[2] « Anne-Laure Bonnel, reporter indépendante : “200 guerres par an, lesquelles sont médiatisées ?” » : https://www.youtube.com/watch?v=0qL7QusWJMU

[3] « Si ses visites à Poutine et Zelensky n’ont pas produit d’avancées concrètes sur le conflit qui oppose les deux pays, le président français revient tout de même avec un demi-succès : le dialogue se poursuit. » : Jean-Baptiste Daoulas, envoyé spécial à Kiev, Veronika Dorman et Stéphane Siohan, correspondant à Kiev, « Russie-Ukraine : Macron rentre de sa tournée des pas potes », Libération, Paris, le 8 février 2022.

[4] «Кулеба: Киев не будет выполнять Минские соглашения на условиях Москвы»: https://www.dw.com/ru/kuleba-kiev-ne-budet-vypolnjat-minskie-soglashenija-na-uslovijah-moskvy/a-60720156

[5] Ibid.

[6] Dr Anatoly Livry, « L’Université, cet élan vers un singe omnipuissant » in Proceedings of the Academy of DNA Genealogy, Boston-Moscou-Tsukuba, ISSN 1942-7484, volume 15, n°1, janvier 2022, p. 160-170.

[7] Dr Anatoly Livry, «Профессор Дональд Бартон Джонсон. Эпитафия на могилу лакея, плагиатора, антибелого расиста» in Вестник Академии ДНК-генеалогии, Бостон-Moсква-Цукуба, ISSN 1942 – 7484, Volume 14, n°2, February 2021, p. 264-274, http://anatoly-livry.e-monsite.com/medias/files/14-2-2021-264-274.pdf.

[8] Dr Anatoly Livry, « L’Académie française : une crapule immortelle » in Proceedings of the Academy of DNA Genealogy, Boston-Moscow-Tsukuba, ISSN 1942 – 7484, volume 13, n° 1, janvier 2020, p. 139 – 146, http://anatoly-livry.e-monsite.com/medias/files/13-01-2020-kurz.pdf.

[9] Cf. à ce propos mes séminaires consacrés à Jurgenson et sa « lutte contre le stalinisme du XXIe siècle », laquelle exprime de facto des pulsions de racisme anti-Blancs. Cette russophobie a laissé tomber son masque depuis le 24 février 2022. Le Slave non normalisé est considéré, par cette graphomane, comme un « héritier de Staline » et il doit être transformé d’après les standards post-trotskistes (cf. le travail de subversion des générations de Pierre Pascal/Jacques Catteau). S’il est déclaré incurable, il sera destiné à être effacé : celui qui refuse cette « normalisation » est une victime initiatique par excellence pour ceux qui fonctionnent d’après cette méthodologie de l’irresponsabilité qui, à l’Université française, est incarnée par des clans de filles de joie âgées entourées de candaules émasculés. Ces êtres libres sont des hors-la-loi et l’on peut donc saisir leurs propriétés – qu’elles soient privées, pour les Russes fortunés dans la France actuelle, ou intellectuelles, comme avec le vol de ma thèse de doctorat sur Nietzsche et Nabokov. Malgré plusieurs propositions, j’avais en effet refusé de me soumettre à la souillure de la méthodologie de l’irresponsabilité issue d’une frénésie grégaire pour laquelle, au sein de la république française, l’on est récompensé par la légion d’honneur.

[10] Cf. p. ex.: «Конституция Российской Федерации (принята всенародным голосованием 12.12.1993 с изменениями, одобренными в ходе общероссийского голосования 01.07.2020, ж.1) защита семьи, материнства, отцовства и детства; защита института брака как союза мужчины и женщины; создание условий для достойного воспитания детей в семье, а также для осуществления совершеннолетними детьми обязанности заботиться о родителях».