M. Thomas Ricard,
Comment osez-vous conseiller aux républicains que nous sommes de procéder ainsi :
« …
3) Infiltration et investigation approfondie de chaque mosquée de France par les services de renseignement pendant une période d’au moins un an. Le but serait de vérifier ce qu’on y enseigne, qui l’on y invite et qui les finance.
4) Au terme de cette mission secrète, fermeture de toute mosquée diffusant des enseignements contraires aux valeurs républicaines (anti-sémitisme, apologie de violences conjugales, apologies de terrorisme, etc.), appelant à un remplacement des lois de la République par la Charia ou financée par des groupes islamistes comme les Frères Musulmans.
…. » ?
Alors que tout le monde sait que :
A – Le Coran est non seulement vénéré par tous les musulmans, mais aussi psalmodié à longueur d’année dans toutes les prières, dans toutes les mosquées et lors de toutes les cérémonies privées
ET
B – Les musulmans l’ont toujours considéré comme un, indivisible et intouchable
ET
C – C’est bel et bien le Coran qui prescrit le qitâl ( du verbe qatala = tuer) à ses adeptes, institue une supériorité ontologique des hommes sur les femmes, des musulmans sur les autres croyants monothéistes et celle des monothéistes sur le reste de l’humanité, bonne à convertir par tous les moyens
ET
D – Quoi que nous fassions, l’islam fait déjà sa loi (sa charia) dans toute cité ou Cité où il s’installe : le voile de la musulmane, par exemple, vous crie à tous les coins de rue « celle qui me porte est musulmane et n’épousera que des musulmans ou des convertis bien circoncis ».
Monsieur Ricard,
Il n’y a pas trente six solutions : ou bien les musulmans dénoncent et renoncent aux ignominies du Coran et de Mahomet ou alors resteront-ils, à tout jamais, à la marge de tout humanisme et donc de notre humanité.
L’islam est irrémédiablement une idéologie totalitaire et nous savons comment combattre de telles idéologies pour en débarrasser l’humanité.
Ne seriez-vous pas en train de vous trouver des excuses pour maintenir la musulmane sous voile ?
Je m’interroge toujours sur l’enfer pavé de bons sentiments. Quant à la liberté de maintenir des ouailles enfermées dans un enclos à Ciel ouvert, c’est tout simplement un oxymore.
Pascal Hilout