Les musulmans et leur religion séparatiste sont les premiers responsables de leur non-intégration

Violences urbaines, les jeunes ont raison de se mettre en colère. C’est ce qu’affirme Samira Hadji, la soeur du jeune homme décédé à moto pendant les obsèques duquel les policiers auraient effectué un contrôle injustifié, après que notre ministre de l’intérieur soit allé lui rendre visite lors de son passage  à Amiens après les émeutes de lundi soir…

On les comprends renchérissent tour à tour un éducateur d’Amiens, le sociologue de la République Laurent Mucchielli et le directeur du journal Médiapart, Edwy Penel. Dans son ensemble les politiciens et les militants du PS approuvent. Les pauvres, ce n’est pas leur faute.Ils n’ont aucun espoir, la société ne leur offre aucune chance, ils sont ostracisés, discriminés, méprisés, exploités. Dans des cités où 57% des jeunes sont au chômage, où ils sont traités comme des bêtes (Samira Hadji) par des flics qui les persécutent sans motifs.

Le chômage de ces jeunes est-il la conséquence de leur discrimination ? Non, certainement pas. Si une partie des chômeurs est victime de délocalisations, de restructurations, de mouvements financiers et de la “crise”, une bonne partie des chômeurs ne trouve pas de travail par manque de formation et par manque d’éducation, et aussi parce que certains jeunes issus de l’immigration refusent consciemment et délibérément de s’insérer chez les “blancs” (comme dirait notre amie Houria Bouteldja).

Le refus d’insertion des populations musulmanes immigrées en France depuis les années 80 – regroupement familial, merci Giscard – commence dès la maternelle. Je ferai une exception pour les Harkis dont la première génération a souhaité donner le maximum de chance à ses enfants qui sont nombreux à s’être parfaitement insérés dans la société française. Je ne parle donc pas ici de ces immigrés qui aiment la France et sont des Français comme les autres..

Reprenons le cursus scolaire des enfants des immigrés de ces trente dernières années dès le début

·         La maternelle. Le but de l’école maternelle est entre autres de socialiser l’enfant, de lui apprendre à vivre harmonieusement en collectivité.

Lorsque les enfants ont des problèmes de comportement, agitation ou agressivité, les institutrices ont ordre de faire avec et sans moyens. En effet, en maternelle, les classes comportent souvent une trentaine d’enfants de moins de 6 ans. Il est rare qu’une institutrice dispose d’une aide à plein temps. Le résultat est que les enfants de maternelles n’ont plus le temps de se livrer à des jeux éducatifs et que leur éducation consiste à colorier des formes pré imprimées, ce que déplorent actuellement les experts sans pour autant en analyser les causes.

Les institutrices sont obligées de prendre un enfant handicapé si on le leur demande. Ce surcroît de souci et de travail demande une patience extraordinaire pour faire travailler ensemble une trentaine d’enfants. Et si un incident se produit, si un enfant en griffe ou en mord un autre voire se blesse accidentellement, l’institutrice risque la colère des parents parfois extrêmement vindicatifs.

Pourtant, ces parents exigeants viennent rarement aux réunions parents/enseignants car ils n’ont pas de préoccupation pédagogique, pour eux la maternelle est avant tout une garderie gratuite.Leur principal souci à la rentrée étant de savoir si leur enfant va manger halal à la cantine. Cette exigence d’alimentation halal croît d’année en année.

Conclusion du passage en maternelle : l’école  et les apprentissages à la vie en collectivité et aux activités pédagogiques ne sont pas valorisés par les parents qui montrent à leurs enfants une totale absence de respect pour les enseignants et l’école. Ils apprennent à leurs enfants que ce qui compte avant tout, c’est d’être un bon musulman.

·         L’école primaire

Nombreux sont les parents incapables de suivre les apprentissages de base des enfants parce qu’ils ne les possèdent pas eux mêmes, qu’ils maîtrisent très mal la langue française, qu’on parle à la maison la langue du bled ou du village. Certains patriarches interdisent à leurs enfants de parler français à la maison. Ces parents ne s’intéressent pas à la scolarité de leurs enfants et n’assistent pas aux réunions de parents d’élèves. Ils ne se manifestent que pour s’assurer que leur enfant mange halal à la cantine et pour sermonner l’instit, voire l’agresser physiquement ou le menacer de représailles si leur enfant a été puni ou est mal noté. Ils prennent systématiquement le parti de leur enfant contre l’institution scolaire et ses représentants. Quand les parents ne se manifestent pas, ce sont les grands frères ou les cousins. Sachant que, surtout dans les familles africaines, du fait de la polygamie, la fratrie est très nombreuse, souvent dix enfants et plus, on comprend pourquoi les agressions de personnel scolaire sont en croissance.

L’enfant scolarisé apprend donc qu’il a toujours raison contre l’institution scolaire et qu’elle n’est pas respectable, que l’islam prime sur l’éducation scolaire.
Dans le même temps, il voit autour de lui les plus grands commettre des incivilités, voler, revendre des objets volets, trafiquer de la drogue et est invité à y participer en faisant le guet moyennant quelques bonbons ou quelques pièces.

Souvent, comme le père est beaucoup plus âgé que ses épouses ramenées du pays grâce au regroupement familial, l’enfant ne le verra jamais travailler car il est déjà à la retraite ou invalide quand l’enfant naît. Par contre il constatera que sa mère travaille à faire des ménages, souvent la nuit, et que de retour à la maison, elle ne s’occupera jamais de lui car elle doit faire le marché et faire la cuisine.

Si l’enfant est mâle, il ne lui sera jamais demandé de participer aux tâches domestiques. Par contre si l’enfant est une fille, elle apprendra dès ses premiers pas à servir son père et ses frères. Parfois même, il assistera aux violences conjugales de ses parents et éventuellement des violences physiques des grands frères contre leur soeurs.

Pour ces jeunes enfants, l’éducation scolaire n’est jamais une priorité et ils sont confrontés très tôt à l’inactivité ou au désœuvrement de leurs aînés, parents, fratrie, famille, amis. Ils se construisent ainsi à leur ainsi un modèle économique reposant non sur l’activité professionnelle mais sur l’assistance sociale. Ils constatent qu’on peut être logé bien pour pas cher dans des logements sociaux et bénéficier de toute sortes d’allocations. On n’a même pas besoin de travailler car le RSA ou le minimum vieillesse tombe tous les mois.

·         Le collège

Vers 12 ans, l’enfant qui entre au collège est déjà, au vu de sa petite expérience et de ses modèles, incapable de se projeter dans un avenir radieux et rejette l’institution scolaire dont on lui a appris par l’exemple et par l’idéologie qu’elle est injuste, raciste et inutile puisque, de toutes façons, il finira au chômage. C’est d’ailleurs vers 12 ans que les enfants, surtout les garçons entrent dans la délinquance. Ils ne se contentent plus de faire le guet pour les plus grands, ils participent. Les faits divers relatent des interpellations de gamins cambrioleurs, casseurs, voleurs et violeurs.

Au sujet de cet exercice déviant de la sexualité, on notera que les enfants livrés à eux-mêmes et empreints très tôt d’idéologie sexiste, visionnent quotidiennement des images pornographiques à la télé ou sur Internet, quand ils ne se refilent pas des photos et des revues pornographiques. S’ils ont des cours d’éducation sexuelle, ils n’y verront qu’une occasion de ricaner et de provoquer les filles qui apprendront très tôt que elles doivent faire les mêmes choses que dans les films pornos pour plaire aux garçons ou alors rester vierges pour épouser le vieux cousin que leur père choisira pour elle au nom de ses propres intérêts économiques, religieux et communautaristes. C’est à ce moment de son existence qu’elle devra opter pour le modèle voilée ou le modèle putain.

Profitant de la liberté offerte par les horaires des cours, l’enfant commencera à s’absenter appelé par des urgences dictées par les grands frères ou tout simplement parce que sa famille ne lui a pas appris que l’éducation scolaire était une priorité pour s’insérer, sachant que l’insertion est un gros mot chez ces gens qui valorisent le bling-bling des marques et des grosses voitures et motos à tout prix. Quand on voit un grand parader dans une BMW, personne ne demande d’où vient l’argent qui a servi à l’acquérir, y compris les parents qui disent toujours qu’ils ignoraient les activités de leurs enfants quand le Raid débarque chez eux à 6 h du matin. Ils sont indignés par la violence policière mais ne s’intérrogent jamais sur leur aveuglement volontaire. “Je n’étais au courant de rien, je ne savais pas, mon fils est un bon garçon” pleurnichent-ils ….

Malgré les efforts faits par l’Education nationale pour abaisser le niveau du brevet et du bac, après plusieurs redoublements, à 16 ans, ces enfants quitteront l’école sachant à peine lire et écrire le français, n’ayant aucune méthode de travail et démunis de culture générale.

Ces jeunes sont asociaux car ils ne reconnaissent que les lois de leur milieu, celles d’Allah qui, selon leurs propres dires sont “supérieures à celles de la République”. Ces lois ont surtout la caractéristique de favoriser le rapport de force en faveur du mâle. Non seulement ces individus n’ont aucun sens moral mais ne reconnaissent aucune des valeurs qui ont permis à la France judéo chrétienne d’inscrire au fronton de ses bâtiments publics “Liberté, égalité, fraternité”. Ils se moquent ouvertement de ces principes en les détournant au profit du communautarisme, de l’Islam et de la dictature de la charia. L’islam les a formés au mensonge straégique, à la Takkiya et, au regard de nos critères, trop souvent, ils mentent comme ils respirent. Ils ont toujours raison.

Trop souvent, quand un musulman vous met la main aux fesses et que vous protestez, il répond : vous prenez vos désirs pour des réalités.

Trop souvent, quand un musulman bavarde devant vous au téléphone avec sa famille au bled et ne fait pas son travail, il répond “Vous voyez bien que je travaille”.

Trop souvent, quand un musulman circule sur un scooter volé et que la police tente de l’intercepter, s’il finit par se tuer dans un virage ses amis provoquent une émeute, brûlent les voitures, incendient les écoles et affirment que leur colère est légitime parce que les flics les traitent comme des bêtes.

Trop souvent, quand un musulman brûle à mort une jeune fille, ses amis et sa famille manifestent au tribunal aux cris de “C’est ça la justice française ?”

Trop souvent, quand un musulman inséré demande à un musulman racaille de faire un constat suite à un accrochage, les amis du chauffard débarquent de la cité voisine et battent à mort la victime en lui reprochant de vouloir faire un constat “comme les français”.

Trop souvent, quand un élève obtient de mauvaises notes pour ne pas avoir étudié, la famille débarque pour casser la figure à l’enseignant en prétendant qu’il l’a mal noté pour cause de racisme.

Trop souvent, quand un musulman est pris en flagrant délit de délit ou de crime, il soutient mordicus qu’il n’est pas responsable.

Trop souvent, dans la vie quotidienne, les Musulmans ne disent jamais bonjour en montant dans un bus ou en rentrant dans une boutique, ils ne s’excusent jamais lorsqu’ils bousculent et ignorent la plupart du temps les principes élémentaires de la politesse et de la courtoisie.

Depuis quelques années, on note de surcroît que les délinquants et les fauteurs de trouble ne sont pas interpellés ou, s’ils le sont, ils sont rapidement relâches “par souci d’apaisement”. L’impunité leur est acquise et ils en profitent, on les comprend. Pourquoi respecteraient-ils des lois qui ne sont pas appliquées ? Pourquoi respecteraient-ils les forces de l’ordre quand leur hiérarchie ne défend pas leur travail ? Pourquoi feraient-il l’effort d’apprendre correctement le Français quand le gouvernement dit que ce n’est pas nécessaire pour acquérir la nationalité française ? Pourquoi renteraient-ils légalement en France quand ils savent que leurs coreligionnaires y vivent tranquillement depuis des années et qu’en manifestant avec le soutien d’associations humanitaires, ils peuvent espérer se faire régulariser ? Pourquoi ne travailleraient-ils pas au noir quand ils savent que même si eux-mêmes et leurs employeurs n’ont pas cotise ils bénéficieront d’un minimum vital d’environ 600 euros ? Pourquoi obtempéreraient-ils à la police quand ils savent que leurs copains empêcheront l’interpellation possible et qu’ils mettront tout le quartier à feu et à sang pour terroriser les habitants et mettre sous leur coupe le ministère de l’intérieur qui,” par souci d’apaisement” ordonnera à ses troupes de laisser faire ?

Alors, si ces musulmans là sont cinq fois plus chômeurs que les non musulmans, il n’y a rien de surprenant. Quel patron voudra embaucher une personne qui ne respecte pas ouvertement les lois de la République et s’en vante, qui maîtrise à peine la langue française, qui ignore les règles élémentaires de la politesse, qui ne respecte pas les femmes, qui ne sait maîtriser ni sa colère ni sa violence et qui, au final pense détenir tous les droits et n’avoir aucun devoir ?

Nous ne sommes plus dans les années 50 quand les étrangers (‘portugais, espagnols, italiens et portugais dans leur majorité) étaient effectivement victimes de racisme et de discrimination et que la délinquance et la criminalité étaient les principaux canaux de sortie du goulot. Pourtant, malgré des difficultés réelles et sérieuses, on ne compte plus aujourd’hui les descendants de ces immigrés qui ont su prendre l’ascenseur social et qui aujourd’hui ne sont pas différents de tous les Français, avec les mêmes chances et malchances.

Qu’on ne me dise pas que l’ascenseur social ne fonctionne plus, c’est faux, il existe toujours encore faut-il vouloir le prendre ! Je ne dis pas que c’est facile mais si on fait croire aux enfants dès la maternelle que la société française les hait et qu’ils n’y ont pas de futur, alors rien n’est possible.

Oui, il y a la crise, oui, il y a de la précarité, oui il y a du chômage mais cela n’explique pas tout, n’en déplaise aux journalistes et aux sociologues du roi qui raisonnent avec 60 ans de retard sur les sciences sociales.

Rose Martin

 

 

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