Les parents de Chekkat n’ont rien à revendiquer !

Les géniteurs de la pourriture

Ce matin dans ma voiture, 7.30 h j’entends : le père de Cherif Chekkat (vous savez, cet ignoble individu, « alsacien » qui a décimé le marché de noël ?). Il va « demander » de rapatrier le corps de son fils, cette ordure, en Algérie !! (En avion peut-être ? Aux frais des français ?). Je ne comprends même pas comment cette abjecte créature peut faire couler une seule goutte d’encre.
Vous savez ce que je vais demander, moi, rebut de l’humanité, polygame malfaisant ? Je vais demander qu’on saisisse l’occasion pour rapatrier toute la famille. A la nage !
Le comble, le summum, le paroxysme de la démesure !

Ca y est, je suis en colère ! Et quand je suis en colère, je n’aime pas avaler (allusion à Marlène totalement inopportune)
Le maire, hostile à une inhumation du bourreau dans sa ville, pense que ce serait  la solution. La famille demande (si, si, vous avez bien lu, elle « demande ». Pas encore assez exigé, peut-être ?) qu’il soit enterré en Algérie. À condition que l’Algérie l’accepte, le corps sera transféré (S’il vous plait, sous forme de poussière, ce sera moins cher). «Si pour une raison ou pour une autre, cela ne marchait pas, si l’Algérie ne l’acceptait pas, une sépulture anonyme pourrait être une solution». Une sépulture ? Pensait-il à une tombe, un mausolée, une stèle, un tombeau, un sarcophage ?

Un charnier me semble parfaitement opportun.
Et l’individu qui sollicite ce transport, c’est Abdelkrim, le père du boucher de l’Avent. “Le père du terroriste ….12 enfants avec 2 femmes, ….tous fichés S, arrivé clando en France jamais expulsé….5 400 euros de CAF….vous pouvez aller vomir…” Abdelkrim, fiché S en raison de son fondamentalisme religieux, lui-même arrêté pour violences conjugales sur sa seconde épouse, la mère des demi-frères de l’assassin, et relaxé.

Je lis que non, ils ne sont pas tous fichés S, deux seulement ! Plus le père. Nous voilà rassurés. Et la fatma, elle, ne sort pas de chez elle. Fichée couscous-tajine. Je n’en reviens pas : L’auteur de l’attentat, délinquant multirécidiviste et radicalisé, était suivi de près (de près ?) par la DGSI depuis plusieurs mois.
C’est quoi de près ? Et de loin c’est comment, alors ?

Maman Chekkat (la moukère à droite sur la photo) est tombée en état de choc quand elle a compris que son fils était derrière tout cela. « J’étais choquée, pas uniquement pour mon fils, mais surtout pour les victimes » a-t-elle gémi dans un baragouin que personne de sensé ne peut comprendre. Au bord du malaise, peut-être, mais pas assez sonnée pour mentir!
Un demi-frère de l’assassin a été interpellé ce lundi pour vol à main armée commis le même jour : avec deux associés-truands, ils avaient braqué un passant muni d’une arme de poing pour lui soustraire son portefeuille. L’enquête a été confiée à la sûreté départementale de Strasbourg. Ben alors là, tout va bien ! Ils vont être sévèrement punis ! Un bracelet pour le moins, si pas une remontrance !

Pendant ce temps, d’innocent GJ se font massacrer par la police. Par ordre de Castapoker, roi du brelan d’as, pilier des gargotes du vieux port.

Fiorina, énucléée. Elle a reçu un projectile dans le visage. Merci Monsieur le président
Revenons donc aux multiples privilèges dont profite cette smala nauséabonde.
Le quartier de résidence de la famille Chekkat : un secteur plutôt bourgeois et résidentiel de Strasbourg. L’édifice de cinq étages, récemment rénové, borde une grande esplanade herbeuse et propre, fait partie d’une série d’immeubles jumeaux construits dans les années 1960, tous restaurés à partir de 1990 et jusqu’à une période récente. « On a tout ici, des transports, des magasins. C’est un quartier très calme ». Et nos petits pensionnés, nos agriculteurs ? Ils ont « tout », eux aussi ? C’est pour cela, probablement, qu’ils se suicident en boucle ?

Le fils assassin vivait des aides sociales (sème la terreur depuis des années et vit aux frais de la société) optimisées par ses larcins. Les frères sont eux aussi « très défavorablement » connus des services de police.

Les morts ne sont pas encore inhumés, les blessés pas tous sortis de l’hôpital, une victime toujours dans le coma vient de mourir dimanche soir. Et samedi, la France entend, sidérée, l’interview du père, salafiste, lui aussi fiché S. Un père qui confirme que son fils était un adepte de Daech. Qui prétend que, s’il avait su que son fils allait distribuer la mort à tant d’innocents, il l’aurait dénoncé. Je ne le crois pas une seconde. Et j’ai comme l’impression que Chekatt n’avait pas attendu la prison pour se radicaliser, quoi qu’en dise son père. Le terreau, souvent, c’est la famille, comme le fait observer le juge Trévidic, spécialiste du terrorisme, qui s’est exprimé dimanche BFM TV, afin d’accorder les violons :
– il a des doutes sur la sincérité du père Chekkat, expérience aidant,
– il pense que ne pas agir sur ces familles de radicalisés dans lesquelles grandissent les Chérif Chekkat est criminel ;
– il avoue que la Justice a été, jusqu’à maintenant, bien trop laxiste ;
– il redoute la sortie de prison de 450 radicalisés en 2019.

Donc, il y a du boulot. Et, dans l’immédiat, nous ne pouvons que répéter : « Castaner, Belloubet, dehors ! »
A propos de vomissements (voir plus haut), parlons de la plantureuse mise en scène à laquelle nous habituent nos dirigeants : Castabrelan plus suffisant que jamais : « Le travail de terrain paie. » Pardon ? Ceux qui ont payé, ils ont payé de leur vie les tares de tout un appareil d’État : Justice, renseignement, police, avec l’incroyable fiasco de l’arrestation manquée mardi matin. Comment ose-t-il ? Quant à Belloubet, évaporée. A sa place, je démissionne. S’enfouir dans le silence de la honte est ce qu’elle a de mieux à faire. Emmanuel Macron, champion des mises en scène flatteuses, lui : rose blanche, accolades enjouées aux forces de l’ordre. Le pouvoir passe toutes ses journées à ça : hommage aux forces de l’ordre matin, midi, et soir.
Le Conseil français du culte musulman se met lui aussi à avoir des exigences, il demande l’inhumation rapide de Chekatt. Rapide, c’est tout ? Certain ?

Je résume : les GJ doivent la fermer : « Au lendemain de l’attentat de Strasbourg, le sommet de l’Etat, tenté d’intimer aux gilets jaunes d’arrêter leur mouvement ». (Libération, 12 décembre) et pendant ce temps, les familles de tueurs en série « demandent ». Le monde à l’envers.

Si je peux me permettre un avis personnel : illégaux, bons à rien, profiteurs, usurpateurs, fainéants, flemmards, tire-au-flanc, traînards, égorgeurs et autres crapules vous feriez bien de la mettre en sourdine, car les français, ils en ont marre, et quand les français en ont marre, eh bien, ils se révoltent, et ça peut faire très mal. C’est une question de semaines.

Ce n’est pas souvent qu’on a l’occasion de s’exprimer librement, alors je voudrais moi aussi, introduire quelques demandes (Mon casier judiciaire est vierge, j’ai bien le droit):
⦁ Rendez vos couteaux, vos canifs et vos saignoirs (ils sont volés, de toute façon)
⦁ Priez vos fatmas de retirer leurs oripeaux répugnants, leurs voiles, et s’il vous plait, pourriez-vous en profiter pour leur demander de hurler moins fort dans leur portable, dans le métro ?
⦁ Fini les excisions, les mariages forcés
⦁ Plus un seul mouton égorgé sans étourdissement
⦁ Laissez-nous nos crèches, nos croix, nos oratoires traditionnels
⦁ Merci aussi de ne pas nous étriper si vous nous voyez en train de mordre dans un sandwich au jambon.
⦁ Ce serait bien aussi que vous débarrassiez la voie pour vos incantations. Vos arrière-trains relevés gênent la circulation
⦁ Mieux encore : vous dégagez !

Anne Schubert