Les présidentielles et la charia
Le Tocsin sonne de plus en plus fort depuis de nombreuses années et bon nombre de nos concitoyens ne semblent ou ne veulent toujours rien entendre . Les contorsions et les replis du monde politique actuel vis-à-vis de la sphère musulmane , orientés suivant une éthique et un axe de réflexion clairement inconséquents , sont devenus entre-temps dangereusement délétères . Le résultat du premier tour des présidentielles est à cet égard particulièrement grave car tout porte à croire que l’élection de l’un des deux finalistes de cette compétition , en l’occurrence le Président sortant , ne permettrait pas d’apporter de solution nationale valable aux patriotes de notre pays . L’immigration africaine et l’islamisation du territoire , devant lesquelles beaucoup se voilent la face , sont pourtant des faits objectifs incontestables posant un problème civilisationnel fondamental. Or, ces faits ne sont pas sérieusement pris en compte par nos dirigeants actuels , et nombreux sont nos compatriotes qui ne se sentent pas concernés , qui n’appréhendent pas suffisamment correctement le sujet , ou qui sont manipulés.
Sans vouloir entrer dans une analyse des raisons de cette désaffection de niveau national , il semble donc utile de préciser certaines données qui permettront , peut-être , d’éclairer un peu plus les esprits , bien qu’il soit déjà bien tard.
Rappelons déjà que dans tous les 57 pays musulmans affiliés à l’OCI (Organisation de la Coopération Islamique ) , les gouvernants correspondent à des leaders radicaux forts qui dirigent leurs citoyens avec une grande rigueur où les considérations sentimentales et émotionnelles n’ont peu ou pas de place . Les nations les plus riches , telles que l’Arabie Saoudite , n’acceptent d’ailleurs pratiquement pas de réfugiés musulmans sur leurs territoires.
Notons par ailleurs que ceux que nous nommons les musulmans modérés , qu’ils soient français ou non , ne pèsent que peu de poids politique et n’ont pratiquement pas de pouvoir décisionnel dans leur communauté . Bien qu’ils représentent une masse importante , ils suivront toujours quasi aveuglément les directives des minorités radicales qui les dominent et les noyautent en se plaçant sous l’obédience des préceptes coraniques intangibles , et , sous l’influence d’un désir de revanche mémoriel remontant au moins aux croisades ; ce désir s’est d’ailleurs imprégné encore plus profondément dans leur mémoire , à la suite des contacts conflictuels postérieurs qu’ils ont subis en s’opposant au mécréant , c’est-à-dire à l’étranger blanc et chrétien d’origine européenne . Leurs leaders ne cachent d’ailleurs pas que dans leur programme il est nettement question de coloniser , à leur tour , les nations de cet ennemi juré ; n’oublions pas que l’OCI, elle-même , l’a d’ailleurs mentionné lors de l’un de ses congrès.
Peu nombreux sont donc les individus , parmi ces populations , capables de contester et encore moins de s’abstraire de leurs obligations , déjà inculquées dès l’enfance dans les écoles coraniques , fréquemment rappelées par les parents et les fameux grands frères , prêchées avec constance par les imams radicalisés , et ressassées par leurs propagateurs et leurs thuriféraires ; chaque croyant ayant d’ailleurs tendance à craindre le regard de l’autre qui pourrait le surveiller afin qu’il ne sorte pas des codes en vigueur . Il y a eux , coiffés par les préceptes du Coran , et les autres . Ils n’ont , plus ou moins confusément , qu’une seule patrie réelle, l’oumma , conception symbolique d’une vaste nation musulmane qu’ils considèrent sans la moindre ambiguïté comme placée sur un plan différent bien supérieur à celui où se situent la République française et les autres pays occidentaux . Il y a de fait souvent une incompatibilité carrément viscérale , éventuellement masquée par la taqiya ( camouflage des convictions admis et conseillé par le Coran lorsque le croyant est en état d’infériorité ) , entre leurs pratiques religieuses , leur manière de penser , leur mode de vie , autrement dit leur civilisation et celle du monde occidental.
Bien sûr , il est également exact qu’il y a aussi , il faut le souligner , des citoyens issus du monde musulman qui se sont parfaitement assimilés à notre nation . Plusieurs d’entre eux font partie de notre élite et peuvent même être assez fréquemment considérés comme de meilleurs patriotes qu’un bon nombre de français dits de souche . Mais ils constituent malheureusement une minorité insuffisante pour pallier les nuisances provoquées par leurs autres coreligionnaires et leur afflux perpétuel . Une œuvre sérieuse d’assimilation , qui semblerait malgré tout possible sur le long terme , se heurterait par ailleurs toujours aux intangibles règles islamiques issues du Coran et professées par des doctrinaires intransigeants souvent importés de l’étranger.
Comment , alors , continuer à parler d’Islam de France , et surtout comment continuer à nous laisser submerger par leur démographie galopante et leurs vagues migratoires , composées pour l’essentiel par des adultes et des pseudo mineurs aux qualités intellectuelles , professionnelles et psychologiques souvent pour le moins problématiques ?
Ceci est d’ailleurs d’autant plus à mettre en perspective que les faits tributaires de ces populations , et de leur accroissement , sont de plus en plus incontrôlables et nous donnent des indications de plus en plus inquiétantes . Notons , en particulier , l’extension des zones de territoire échappant à notre juridiction , les sondages révélant que les jeunes musulmans de nationalité française mettent sans ambiguïté la charia , cette législation de nature coranique , au-dessus des lois de notre République , et , ajoutons-y encore la tendance à constituer des groupements politiques islamiques spécifiques , l’infiltration progressive des leurs dans les rouages sensibles des secteurs fonctionnels clefs de la nation , l’augmentation de l’insécurité avec les vols , les insultes , les attaques à l’arme blanche , la fréquence des actes belliqueux à caractère religieux , la multiplication des revendications contraignantes en désaccord avec notre type de société , le comportement général agressif , particulièrement vis-à-vis des femmes , plusieurs refus d’obéissance dans l’armée sous prétexte de convictions religieuses incompatibles , certaines manifestations publiques démontrant que ces adeptes de l’Islam aspirent effectivement à nous dominer et à diriger notre patrie , sans parler du coût prohibitif de toutes ces nuisances dont la suppression permettrait , par-delà notre tranquillité , de bien mieux équilibrer nos dépenses nationales.
Devant la constatation de l’inefficacité patente de nos gouvernants dans la recherche d’ une solution à ces dangereux problèmes , les élections présidentielles nous donnent donc l’occasion de commencer une reconquête en remplaçant le chef de notre gouvernement qui a , par ailleurs , également failli dans les nombreux autres domaines cruciaux que sont , entre autres , la gestion du budget du pays , le pouvoir d’achat , l’éducation nationale , la santé publique et la politique étrangère . Il devient donc fondamental d’élire un nouveau Président qui soit enfin , véritablement , un personnage d’Etat efficace à la hauteur de sa fonction.
Or maintenant , disons-le tout net , il ne reste plus que Marine Le Pen en qui nous pouvons mettre un petit espoir pour , comme on le dit communément , essayer de sauver au moins quelques meubles.
Mais d’abord , évidemment , faudrait-il encore que nos compatriotes veuillent bien se décider à assumer honorablement leur citoyenneté , en s’informant hors des médias propagandistes du politiquement correct et , surtout , en se décidant à s’extirper du système politique malhonnête actuel . Cela signifierait , et c’est sans doute le plus difficile , mettre de côté les privilèges acquis , oublier le petit confort du train-train coutumier , ne plus s’accrocher au fameux » pas de vagues » , effacer l’appréhension du changement , et , admettre enfin que ceux que certains appellent les complotistes de droite et d’extrême droite ne sont en réalité , pour la plupart , que les véritables défenseurs de notre patrie et de notre identité nationale avec nos droits et nos devoirs naturels implicites , et par suite des combattants pour la préservation de notre mode de société et de notre civilisation.
Alexandre Parfenoff