Les racailles peuvent violer et prostituer des gamines de 14 ans : juges et psys les excusent…
Décidément, on touche le fond dans ce pays avec les bobos de gauche qui font la pluie et le beau temps dans les médias et les prétoires et l’État, qui, depuis 30 ans, renonce chaque année davantage, sous la houlette de l’UMPS, à toutes ses fonctions régaliennes, qui sont au nombre de quatre : “Assurer la sécurité extérieure par la diplomatie et la défense du territoire ; assurer la sécurité intérieure et le maintien de l’ordre public, avec, notamment, des forces de police ; définir le droit et rendre la justice ; détenir la souveraineté économique et financière en émettant de la monnaie, notamment par le biais d’une banque centrale.”
Nous n’avons plus de souveraineté économique et financière depuis Maastricht, nous n’avons plus de marge de manœuvre sur la scène internationale depuis que nous sommes soumis à l’Otan, la sécurité intérieure n’est plus assurée puisque par peur des émeutes nous disons béni-oui-oui à toutes les réclamations des délinquants, de leurs familles et des autres Gentils Organisateurs de la vie dans les Quartiers, et la justice est devenue une loterie où ceux qui ne respectent pas la loi raflent la mise deux fois sur trois quand les victimes “bien sous tous rapports” doivent payer : amende et sursis pour Fanny Truchelut pour avoir demandé à une voilée de respecter la neutralité des parties communes de son gîte, prison pour René Galinier pour avoir tiré sur deux cambrioleuses surprises chez lui en plein jour, et carrément verdict méprisant et insultant pour la gamine de 14 ans ayant subi pendant un mois trente violeurs proxénètes.
Ce sordide fait-divers est en effet un épouvantable exemple, tiré d’une longue liste d’absurdités de la justice qui, non seulement, confinent à l’injustice, totale, et inacceptable, mais sèment dans la population de notre pays deux graines très dangereuses : la première est un message rassurant à l’égard des délinquants, ils peuvent beaucoup et risquent peu ; la deuxième est un message méprisant à l’égard du Français moyen et de l’immigré moyen qui respectent les lois et voudraient être respectés eux aussi, l’ État a renoncé à faire respecter la loi, ils risquent donc beaucoup et il va falloir qu’ils passent à la vitesse supérieure pour se protéger eux-mêmes, et tant pis pour les dégâts collatéraux.
On ne reprendra pas ici les excellents arguments du criminologue Xavier Raufer, il a tout dit en campant avec brio les pitoyables protagonistes d’un jugement inique, depuis le juge en passant par le journaliste, les familles et les indignes avocats de la défense. La palme tout de même au psy qui nous en dit bien plus qu’il ne le croit, de même que les familles.
Le psy de service, en effet, excuse, relativise, et prétend qu’il est normal, en France, de vouloir ré-inventer une tradition d’un autre pays, d’un autre âge, un rite initiateur… passant par la violence. Tant pis pour la gamine qui passait par là ; dans ce genre de tradition, seul le gars et son phallus comptent. La fille n’est rien pour ces gens-là. Pour le psy non plus… mais pour les féministes qui montent sur le pont pour y hurler leur révolte à chaque fois qu’un publicitaire ose utiliser une femme en sous-vêtements pour vendre une voiture, une gamine violée pendant un mois et prostituée… cela ne mérite ni discours ni scandale ? De quoi ont-ils peur, les psys et les féministes ? Que l’on s’intéresse de trop près aux origines et à la culture des violeurs ? D’ailleurs, le psy l’a dit, les 30 pauvres ados, de 16 à 22 ans, “n’étaient pas armés pour anticiper la relation avec la jeune fille“… Il ne faut pas être grand clerc pour décrypter “traditions patriarcales, culture qui méprise les femmes”… D’ailleurs, dans le quartier, la solidarité (chez moi on parle de communautarisme criminel) fait prononcer de drôles de paroles : ” avec une fille de chez nous, cela ne se passerait pas comme ça“
Ils vivent en France, mais ils n’y sont pas “chez eux“. Et ils trouvent normal qu’une fille qui n’est pas de chez eux subisse l’horreur. Il est vrai que dans l’islam les femmes non musulmanes peuvent être des esclaves sexuelles… De là à penser que les violeurs ont été élevés dans les traditions islamiques, il y a un pas que je ne franchirai pas, mais la tentation est forte parce que les indices, multiples, vont tous dans le même sens !
Or, chez nous, en France, en 2011, l’inversion des valeurs est telle que ce que ces délinquants ont fait ce n’est plus une faute, c’est normal, aux yeux de tous les complices de ceux qui se préparent à assassiner nos filles, famille, voisins, journalistes, psys, juges…
Parce que c’est d’un assassinat qu’il s’agit. Qui peut imaginer que la victime pourra un jour retrouver le sommeil, pourra un jour nouer une relation amoureuse sereine avec un homme, pourra un jour élever paisiblement des enfants après ce qu’elle a subi ?
Mais tout cela ne mérite, paraît-il, que deux à trois ans de prison ferme, et seulement pour une poignée de violeurs… sans compter les remises de peine !
Je pense à ces féministes d’antan qui réclamaient la castration pour les violeurs.
Je ne peux m’empêcher d’imaginer un commando d’amazones qui sodomiseraient à coups d’objets contondants pendant un mois tous ceux qui osent dire que la victime “s’exprime avec son cul” et qu’elle a pu “ressentir un plaisir affectif”, histoire pour eux de partager ce plaisir et d’apprendre à s’exprimer avec leur cul !
Je rêve même parfois d’un grand ménage dans la justice. Peut-on m’en vouloir ?
Christine Tasin
Résistance républicaine