Les rapports Kinsey constituent le moteur de la révolution sexuelle

Alfred Kinsey, (1894-1958), professeur d’entomologie, de zoologie, publie deux études sur le comportement sexuel des Américains. Ses enquêtes portent sur quelque 53 000 hommes en 1948 et 8 000 femmes en 1953.

Il conçoit une échelle portant sur la diversité des orientations sexuelles. À la place de trois catégories, hétérosexuel, homosexuel, bisexuel, Kinsey propose un système à sept degrés. Son échelle catégorise les comportements sexuels de 0 à 6 :
0 Exclusivement hétérosexuel ou hétérosexuelle
1 Prédominance hétérosexuelle, expérience homosexuelle
2 Prédominance hétérosexuelle, occasionnellement homosexuel
3 Bisexuel sans préférence
4 Prédominance homosexuelle, occasionnellement hétérosexuel
5 Prédominance homosexuelle, expérience hétérosexuelle
6 Exclusivement homosexuel, homosexuelle
Une catégorie 7, créée par les collègues de Kinsey, distingue les asexuels.

Selon Kinsey, tout être humain porte en lui une composante hétérosexuelle et une composante homosexuelle.
Les rapports Kinsey donnent les résultats suivants.
En ce qui concerne les rapports sexuels en mariage, la fréquence moyenne des coïts au sein des couples mariés, telle que rapportée par des femmes, est : 2,8 fois par semaine à la fin de l’adolescence, 2,2 fois par semaine à l’âge de trente ans, 1 fois par semaine à l’âge de cinquante ans.
En ce qui concerne les rapports sexuels hors mariage, 50 % des hommes mariés ont eu des relations conjugales hors mariage, 26 % des femmes dans la quarantaine ont eu une relation hors mariage, 8 % des femmes âgées de 26 à 50 ans ont eu des relations sexuelles hors mariage.
En ce qui concerne le sadomasochisme, 12 % des femmes et 22 % des hommes ont eu une réaction sexuelle face à une histoire sadomasochiste.

Kinsey prête à l’enfance prépubère une sexualité génitale orgasmique comparable à celle de l’adulte.
Homosexualité et hétérosexualité ne sont pas deux orientations sexuelles et amoureuses exclusives.
La méthodologie de Kinsey comporte un recueil de données collectées lors d’interviews, codées pour maintenir la confidentialité. Les journaux intimes de personnes condamnées pour avoir eu des relations sexuelles avec des enfants sont aussi mis à contribution. Les paramètres sont saisis dans des banques de données pour faciliter leur traitement.

Certaines données ont été obtenues en interrogeant des délinquants et des pédophiles. Les données statistiques sur les orgasmes infantiles proviennent d’une seule source : la retranscription du journal de Rex King, pédophile ayant exploité sexuellement des enfants.

Les travers méthodologiques reprochés sont de trois ordres.
1- L’échantillonnage est contesté. Une portion significative des sujets sont des prisonniers ou des prostituées. Les personnes interviewées sur des sujets tabous sont des personnes qui se sont volontairement désignées. Une autre enquête menée par d’autres chercheurs en Mars-Avril 1999 rapporte : 2,3 % des hommes ont eu des contacts homosexuels, 1,1 % se sont engagés dans une relation uniquement homosexuelle dans les dix dernières années.
2- Des fraudes concernent les sources. En ce qui concerne le passage sur l’orgasme prépubère, Kinsey a retranscrit le témoignage d’une seule personne, un pédophile amateur de bestialité, ayant exploité sexuellement des enfants, et qui rendait compte à Kinsey de son expérience. Les « observations » de cette personne concernaient des mineurs de 2 mois à 15 ans. Kinsey a ensuite présenté ces données comme des études scientifiques émanant de plusieurs témoins.
3- D’autres critiques se centrent sur la vie sexuelle et les motivations d’Alfred Kinsey. Il est bisexuel et expérimente le sadomasochisme. Il encourage le sexe en groupe auprès de ses étudiants et de ses collègues. Il filme des actes sexuels chez lui dans le cadre de ses recherches.

Son appétit pour le sexe hors norme et son dédain de la morale traditionnelle de l’époque l’incitent à éliminer la culpabilité entourant le sexe et à miner la moralité traditionnelle.
On critique aussi la surreprésentation des prisonniers et des prostituées, le fait de classer comme faisant partie des couples mariés des couples qui ont vécu ensemble pendant au moins un an.
D’autres oppositions se font sur des critères moraux. Les livres de Kinsey, les rapports Kinsey, favorisent la dégénérescence. Les travaux de Kinsey sont accusés de promouvoir des pratiques sexuelles malsaines et immorales.
En 2004, une étude avance que les données présentées par Kinsey « révèlent des preuves irréfutables des actes illégaux et criminels se faisant passer pour la science ». Pour cette étude, les travaux de Kinsey sont de la « science de pacotille » dont le caractère scientifique est « controuvé, idéologique et trompeur ».

Les rapports Kinsey, vendus à plus de 750 000 exemplaires, traduits dans 13 langues, sont l’ouvrage « scientifique » le plus lu du XXe siècle, et l’un des ouvrages les plus influents du siècle. À partir de l’interview de centaines de personnes sur leur comportement sexuel, ils dressent de la population américaine moyenne un portrait de ses pratiques sexuelles. Et ce portrait traumatise l’Amérique.
L’Amérique avait l’image de couples relativement stables, fidèles, d’une hétérosexualité majoritaire. Les rapports Kinsey envoient une autre image dans laquelle l’homosexualité est banale, la fidélité est une exception, la fréquentation des prostituées est une règle.
Et ces rapports sont utilisés comme tels. La réalité de la vie des Américains n’est pas du tout ce que l’on croit. Ce qu’on appelle des crimes sexuels devient obsolète. Il faut libérer les gens d’une morale trop contraignante et inutile. Au niveau juridique, la législation concernant les crimes sexuels est révisée à la baisse drastiquement.

Les rapports disent que les hommes ont des rapports homosexuels de façon banale et courante. 10 % des hommes sont homosexuels. Mais Kinsey multiplie les chiffres par dix. Il interroge des homosexuels dans des bars homosexuels et des bains homosexuels. Et il en tire une statistique. Il mélange des enquêtes auprès d’hétérosexuels et d’homosexuels. Les chiffres sont faussés.

En conséquence, la découverte de la Gay Pride et les mouvements de libération de l’homosexualité conduisent à la banalisation de l’homosexualité. La banalisation de l’homosexualité ne vient pas de la société, on l’impose à la société, on renvoie cette image à la société, image qui finit par changer les comportements. On fait pression sur la population pour qu’elle change ses comportements. De là, une modification de la perception de la sexualité humaine.
Kinsey parle de la sexualité masculine, de la sexualité féminine en truquant les chiffres. La société va de plus en plus ressembler à cette description fausse.
En 1947, Kinsey fonde, au sein de l’université de l’Indiana, un institut pour la recherche sur le sexe, rebaptisé plus tard Institut Kinsey. L’Institut Kinsey a brisé la morale publique.

Kinsey prétend que les enfants ont des désirs d’ordre sexuel dès leur naissance et des orgasmes. Les enfants ont une sensibilité sexuelle dès l’enfance. Alors Kinsey et ses acolytes ont maltraité, violé, torturé des enfants. Ils ont considéré comme orgasmes les cris, les hurlements des enfants. Ils ont mené des expérimentations abominables sur 2 035 enfants dont 1 888 garçons.
Les pseudo-travaux scientifiques de Kinsey ont des conséquences. On introduit l’éducation sexuelle à l’école, ou plutôt l’éducation à la sexualité. Selon les prescriptions de l’ONU, il faut enseigner la sexualité dès le plus jeune âge, notamment la masturbation, les pratiques sexuelles. Pourtant, l’enfance est la période de l’innocence. La sexualité relève de la vie intime et privée. La société n’a pas à s’en mêler. Et on nous présente ça comme un progrès, cela fait partie du progressisme. Les élucubrations d’un maniaque relayé par les milieux universitaires et médicaux.

Il y a une abomination derrière tout cela. Kinsey parle d’une sexualité enfantine en faisant torturer des enfants par des pédocriminels. Il a une influence sur l’acceptation à venir de l’existence d’une sexualité enfantine dont tout est biaisé.
On se sert de ces résultats criminels pour justifier le consentement et la banalisation de la sexualité d’adultes avec des enfants, c’est à dire la pédocriminalité. La pédocriminalité est le crime des crimes. Les rapports Kinsey consistent à banaliser ce crime, à le faire accepter.
Et il y a un lien avec le mariage homo. Le mariage homo ouvre la voie à l’adoption, à la PMA, à la GPA. On donne ou on vend des enfants à des homosexuels. On exploite des mères porteuses. C’est une forme d’esclavage. Personne ne pourra vérifier ce qui que passe.

Les premiers mouvements de libération sexuelle sont nés de l’Institut Kinsey, financé à l’origine par Rockefeller, dont le but était d’éradiquer le christianisme. Le patron de Play Boy a pris le relais. Le but affiché des études de Kinsey était de supplanter ce qu’il considérait comme « l’ère judéo-chrétienne de procréation » en un paradis où tout est permis pour les bi, gays, pédophiles, de normaliser un lot de comportements considérés comme inacceptables, la sodomie, l’inceste, la pédophilie, la bestialité…

Derrière la promotion du sexe, la sexualisation des enfants, se cachent des gens qui veulent avoir des relations sexuelles avec des enfants. Il y a aussi un aspect financier, une affaire de gros sous, du commerce, du business. On ouvre un énorme marché à la marchandisation des corps. Il y a aussi une désacralisation de l’amour. L’amour est totalement éliminé, anéanti. Plus d’amour entre deux personnes. L’amour est une activité de loisir. Et certains parlent de droits sexuels des enfants, à partir de dix ans. Mais le droit, ce n’est pas ça. Les pédocriminels sont de plus en plus jeunes. Des enfants violent des enfants. Ces révélations sont tellement surréalistes que les « élites » dénoncent un conspirationnisme, un complotisme. Quand on veut faire le mal, on fait le pire, et les gens ne le croient pas.

L’éducation à la sexualité, la théorie du genre, sont directement inspirées des recherches basées sur les délires de Kinsey, père de la révolution sexuelle. Les atrocités, les horreurs accomplies par Kinsey ne sont pas un mythe, une croyance. Il y a des preuves, des dossiers, des documents.

La théorie du genre est un aspect de cette horreur en marche qui consiste à détruire l’humanité par la destruction de ses enfants. À force de banaliser et de généraliser des comportements, on pousse des générations de jeunes à se conformer à ce modèle. On donne aux enfants une image de la sexualité à laquelle ils vont se conformer.
Les rapports Kinsey servent à corrompre notre civilisation, à corrompre notre monde. Les politiques qui s’appuient sur ces données, qui acceptent ces rapports fallacieux, sont des criminels. S’attaquer aux enfants, c’est s’attaquer à l’humanité à venir.

L’État participe à cette promotion, à cette propagande pour diffuser la théorie du genre. Les gouvernements se mêlent de faire de l’éducation à la sexualité, une éducation qui encourage les coucheries et les pratiques de toutes sortes, jusqu’au changement de genre. Donner la pilule aux filles, n’est-ce pas leur dire : « Allez-y, couchez ». Est-ce le rôle de l’école ?

Les organisations mondiales participent à ce plan de sexualisation des enfants, promeuvent les droits sexuels des enfants, soutiennent la tyrannie LGBTIQ : l’ONU, l’OMS, l’UNESCO, la Fondation Internationale du Planning familial, des ONG. Le sexe et ses dérives constituent bien une carte du programme mondialiste, dans le cadre du divertissement, pour abêtir, crétiniser, et museler le peuple, et aussi pour satisfaire la sexualité débridée de ces « élites » bien sous tous rapports.

Jean Saunier

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14 Commentaires

  1. Une minorité agissante, avec la bénédiction ou l’indifférence des politiques impose ses vues à la majorité ! Même Elon Musk qui avait promis la liberté d’expression baisse son froc (ce qui est risqué) devant les LGBT ! Pour preuve : mon compte Twitter bloqué car j’ai critiqué les déviances de ladite minorité agissante. Les censeurs (je voulais dire les modérateurs) devrait penser que moi et quelques millions de personnes pouvons vivre sans Twitter mais que l’inverse n’est pas certain !

  2. En 1958 cet homme a rencontré son créateur et depuis, il loge en enfer! C’est très bien ainsi! Il attend avec impatience ceux qui continuent son oeuvre!

  3. sur wiki, la biographie de ce kinsey dénote un individu très perturbé en plus d’être méthodiste
    la version anglaise devrait être encore plus parlante

  4. Très bien, mais vous auriez dû citer les récents travaux de Marion Sigaut sur le sujet.

  5. L’homme, depuis sa création sur terre n’a été que perversion, guerrier, bref et auteurs de toutes les atrocités dans son histoire. Heureusement, nous arrivons à l’âge de raison et du comportement spirituel de toutes les nations. Cette élévation de conscience devrait nous permettre de nous orienter davantage vers l’Amour de son prochain. Les peuples ne sont plus fait pour la guerre depuis longtemps. Pour en arriver là, il va falloir changer notre façon de vivre sans aucun régime politique. Il faut penser à demain, maintenant.

  6. Bien voilà, encore un article qui apporte la preuve concrète que l’autorisation sociale de faire du profit sur le dos des humains, c’est de l’anthropophagie ! D’autre part les critiqueurs du capitalisme l’on analysé : il n’y a aucune limite à la créativité morbide du capital à inventer des marchés créer des offres pour maintenir sa présence pour lutter contre sa nature intrinsèque d’engendrer sa propre destruction. Le capital ne recule devant rien pour se maintenir : le pire moyen étant la guerre!

  7. “tout être humain porte en lui une composante hétérosexuelle et une composante homosexuelle.” et on pourrait ajouter une composante assassine mais la plupart d’entre nous se retiennent de tuer quiconque ne les suit pas aveuglément

    • Désolé de vous l’apprendre mais je suis hétéro et il n’y a aucune part en moi d’homo! Tout cela c’est de la masturbation intellectuelle pour faire accepter l’inacceptable!

    • Je n’ai aucune, mais vraiment aucune, composante homosexuelles, et ce n’est jamais ces tordus qui me ferons changer d’avis !

  8. L’argent, le sexe, l’irresponsabilité jusqu’à l’écœurement…

    Je comprends pourquoi tant de gens détestent et méprisent l’occident devenu fou !

  9. Il nous faudrait un nouvel Hercule pour nettoyer les “écuries d’Augias” contemporaines, il y en a tellement et partout que la tâche est surhumaine. Ce que font les plus motivés des incorruptibles un peu partout dans le monde pour assainir la société en luttant contre le trafic de drogue, la prostitution, et les mafias de tous les pays, ressemble davantage au rocher de Sisyphe qui retombait sans cesse de l’autre côté. Quoi qu’ils fassent, ça continue, encore et encore, ils ne peuvent, au mieux, que limiter les dégâts. C’est décourageant pour tout le monde et plus encore pour ceux d’entre eux qui y croient et sont intègres.

  10. Vivement le Grand Ménage. Il arrive; Nettoyer la saleté et la crasse, ça n’est pas une affaire propre.

    • Il arrive, il arrive, mais seul le Créateur peut faire ça, il l’a promis et comme il est écrit :” Dieu n’est pas un homme pour mentir “

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