La délégation interministérielle à l’accueil et à l’intégration des réfugiés a publié le 1er septembre un guide à destination de tout élu voulant favoriser l’accueil de réfugiés en milieu rural.
Accueillir et intégrer les personnes réfugiées en milieu rural
https://accueil-integration-refugies.fr/wp-content/uploads/2023/09/230912-guide-ruralite-diair.pdf
Ce guide interministériel énumère tous les obstacles à l’intégration des réfugiés. Des obstacles dont il est responsable, consécutifs à l’abandon des territoires ruraux depuis 30 ans au profit des territoires abandonnés de la République en milieu urbain. Maintenant que ces quartiers sont à saturation et que les milliards distribués n’ont jamais suffi à intégrer et domestiquer les populations ”défavorisées extra-terrestres”, l’État veut faire connaître les joies du vivre-ensemble aux ruraux. Une population passée de 22 % en 2006 à 18,5 % en 2021. (12,5 millions).
Pour faire pleurer dans les chaumières, ce guide s’adresse aux élus pour les encourager à accueillir les réfugiés, mais n’en doutez pas, nombre de migrants seront étiquetés réfugiés.
En premier argument positif, l’accueil des réfugiés pourrait stopper le déclin démographique. Si ces campagnes se sont vidées, c’est qu’elles ont été abandonnées (discriminées ?) pendant qu’en même temps se déversait la manne de l’État sur les banlieues d’immigration. Il est difficile de vivre dans nos campagnes par manque d’équipements, d’administrations, de transports et médecins pour nos compatriotes, mais l’État a décidé qu’il ne pouvait pas infliger cet ”art” de vivre aux migrants qui méritent mieux. Vous allez voir dans ce recueil de bonnes intentions que, pour rendre ces territoires abandonnés de la République plus attractifs aux réfugiés, il va falloir investir et recréer les services disparus.
Pourquoi cela n’a-t-il pas été fait plus tôt ? Pourquoi l’argent que l’État n’a pas voulu trouver pour les Français d’abord va-t-il l’être pour les migrateurs ?
Voici donc quelques extraits du texte gouvernemental, avec les lignes intéressantes passées en gras :
“Pourquoi accueillir des réfugiés en milieu rural ? Les villes sont les destinations privilégiées d’installation des personnes réfugiées en France. En effet, les différentes études empiriques sur le sujet démontrent que le nombre de personnes accueillies par les territoires ruraux se situe en deçà de la moyenne nationale. Les villes attirent parce qu’elles offrent un accès facilité aux services de santé, d’apprentissage de la langue et surtout, aux réseaux communautaires. Cependant, la saturation progressive du parc locatif dans les grandes villes françaises pousse les réfugiés dans des situations précaires et ralentit leur processus d’intégration. Parallèlement, de nombreuses communes rurales souffrent d’une évolution démographique défavorable qui affecte ces territoires.
L’accueil des réfugiés peut contribuer au projet de territoire des zones rurales, mais nécessite de relever de nombreux défis, notamment autour de l’accessibilité des services, et un engagement certain des municipalités et de la population locale. Les avantages liés à l’accueil en milieu rural et les risques qui y sont affiliés sont abordés de manière plus détaillée dans la partie suivante.
Pour les communes
L’accueil de ménages réfugiés peut contribuer à faire vivre des territoires ruraux souvent confrontés à une déprise démographique et un vieillissement de la population. Leur arrivée peut contribuer à la revitalisation des centres-bourgs et leur tissu social en permettant par exemple le maintien de classes dans les écoles primaires ou en favorisant l’ouverture de lignes de bus passant par la commune. C’est ce qui a pu se passer notamment dans la commune de Pesât-Villeneuve. L’installation de personnes réfugiées peut également dynamiser l’économie locale du monde rural. Ce dernier est sujet à un relatif déclin économique et une faible attractivité, notamment dans les domaines de la construction, de l’agriculture, de l’industrie et des métiers de catégories socio-professionnelles moins diplômées.
Pour les réfugiés
Les conditions d’accès aux services publics et de santé constituent un enjeu central pour tous les habitants de communes rurales. Parfois enclavés, souvent isolés, les territoires ruraux sont peu ou mal desservis par les transports collectifs, dont l’offre est limitée et les horaires peu adaptés aux besoins de la population. Dans une commune rurale, la mobilité est le principal défi à relever au quotidien.
Ces facteurs, couplés aux importantes distances à parcourir, expliquent la prépondérance de l’utilisation de la voiture en milieu rural. Or, le public réfugié est, plus que d’autres, dépendant de l’accès aux services publics et aux infrastructures médicales.
Le logement
Les cautions, garanties et dispositifs sécurisant une location dans le parc privé, plusieurs dispositifs permettent de lever des freins à l’accès au logement des personnes réfugiées, comme celui, très prégnant, de la solvabilité des bénéficiaires. Une fois leur statut obtenu et une fois orientées vers le programme AGIR (désignation de l’opérateur AGIR dans le département), les personnes réfugiées peuvent bénéficier d’un accompagnement vers le logement dans le cadre de la politique gouvernementale d’accès au logement des publics réfugiés mise en œuvre par les services . Une garantie visale, avec caution gratuite et prise en charge du paiement du loyer et des dégradations en cas de défaillance du locataire.
L’emploi
Une faible maîtrise de la langue, des codes sociaux professionnels et une vulnérabilité accrue en matière de santé mentale peuvent compliquer l’exercice d’une activité professionnelle chez les personnes réfugiées.
L’accès aux soins
Les habitants du monde rural consomment 20 % de soins hospitaliers en moins que ceux des villes, à âge égal, selon une étude de l’Association des maires ruraux de France (AMRF). Comme l’explique un rapport de l’Assemblée nationale sur l’accès aux soins, les territoires ruraux manquent de médecins tant généralistes que spécialistes.
Or, la santé des réfugiés doit faire l’objet d’une attention toute particulière.
La mobilité
Dans une commune rurale, la mobilité est le principal défi à relever au quotidien. Offre de transport public limitée, horaires inadaptés aux besoins des populations, distances considérables entre les différents services font partie des obstacles récurrents en milieu rural. L’accès aux droits et aux différents dispositifs favorisant l’intégration sont très largement dépendants de ces contraintes, c’est pourquoi il est important d’y accorder une grande attention. Pour les réfugiés, la barrière de la langue vient s’ajouter à ces difficultés, rendant leurs déplacements encore plus complexes. Il est donc fréquent que travailleurs sociaux et bénévoles se substituent aux services de transport manquants et se retrouvent contraints d’effectuer de nombreux trajets.”
Pour résumer voilà les difficultés de vivre des ruraux… difficultés auxquelles l’État n’a pas apporté beaucoup de solutions, bien au contraire, jusqu’à ce qu’il se réveille pour les migrateurs.
Moins d’offre de santé, manque de médecins et infirmières et éloignement des hôpitaux souvent à plusieurs dizaines de km.
Moins d’administrations et services publics souvent très éloignés.
Moins d’écoles.
Manque de bus et nécessité d’une voiture.
” Déprise” démographique.
Déclin économique et catégories socio-professionnelles moins diplômées, la conséquence de moins de collèges et lycées de proximité et l’éloignement des universités.
C’est décidé, l’État va faire un effort pour les migrants : sera-t-il seul ?
Les préfectures et les DDETS (ou DDETSPP)
Ces directions peuvent financer des projets liés à l’intégration des réfugiés, bien souvent à travers des appels à projets départementaux ou régionaux. Les Contrats territoriaux d’accueil et d’intégration (CTAI) représentent également une opportunité de soutien financier à des initiatives locales émergentes. Les CTAI reposent sur une démarche de co-construction entre les services d’une ou plusieurs collectivité(s) accueillante(s) et ceux de la préfecture. Ils permettent de financer des actions améliorant l’accueil et l’intégration des personnes primo-arrivantes, dont font partie les réfugiés. Elles doivent répondre à des besoins identifiés en matière d’accès aux soins, au logement, à la formation linguistique, aux offres sportives et culturelles et au développement de liens avec la société d’accueil…
Daniel Faguet
Comme attelage écolo non ? Avec les jougs et le fouet qui va avec .Voilà une saine occupation pour les squatteurs de prisons quand le pétrole sera devenu inabordable.
Les deux grosses de la photo pourront ouvrir une auberge à migrants. Elles ont les qualités requises .
Installés par l Etat dans les campagnes, ils ne vont pas tarder à “pleurer” pour avoir toujours plus ou ils “disparaitront rapidement pour la ville
Bien sur, viols, vols, cambriolages, eglises brulées, drogues, cantine scolaire hallal etc Les joies du “vivre ensemble” Autres soluions ? ils “emmerderont” les agriculteurs comme ils le font pour les commerces qu ils rachetent ensuite à bas prix ou se marieront avec leur fille ou fils ( escroquerie sentimentale recommandée par mahomet pour faire + de musulmans) et…hériteront
heureusement la plupart des agriculteurs ont une 12 et un accessoire pelle mécanique pour leur tracteur …
C’est pas chez nous qu’ils viendront, ici, ils restent jamais, personne en veut. Tout le monde en a ras le bol, les impôts montent en flèche et les services publics en campagne c’est le tiers monde. Les dentistes ne prennent plus de nouveaux clients, idem pour les médecins, les lettres mettent 4 jours à arriver, bref, c’est la désolation pour tout, les campagnes sont ruinées.
Mais où va l’argent !
quelques établissements restent accessibles aux migrants : fosses à purin, décharges et cimetières.
Des langues, des cultures, des religions, des mœurs différentes, des ethnies à l’opposé, forcément cela ne va pas marcher. D’énormes tensions sont à prévoir, déjà les Français de souche ou les blancs se font massacrer. C’est la fin annoncée de notre civilisation occidentale policée et apaisée.
On parlera de la fin de l’empire judéo-chrétien, d’Occident comme on a parlé de la fin de Rome ou de l’Empire romain d’Orient.
Mais cela risque de se faire dans la violence. Se rappeler que c’est l’ethnie la moins nombreuse et la plus faible qui subit cette violence. Les Indiens d’Amérique ont pratiquement disparu au 19ᵉ siècle. La culture historique ne semble pas être le fort de nos gouvernants.
quel scandale : ce qui a été retiré aux communes rurales depuis des décennies obligeant leurs habitants à les quitter serait donné comme par miracle aux migrants qui viendraient envahir des contrées encore tranquilles : cette haute trahison mériterait le poteau d’exécution à ces promoteurs
H, ne mets pas le verbe “mériter” au conditionnel, mais au PRESENT !!
Et remplace le mot “migrant” par “ENVAHISSEUR” , parce que c’est le vrai qualificatif qui convient à tous ces criquets muzzs africains qui ont et débarquent sur l’Île de LAMPEDUSA !!
Acces aux soins, il n’y a plus de medecins dans le patelin depuis 4 ans, pareil dans les bleds aux alentours.
Et ils se la ferme tant pis pour eux !
si et seulement si ils acceptent d’être envahis
Lors de toute invasion, le sabotage a été l’un des outils de la résistance :
Le Chant des partisans (extrait)
“Ohé, saboteur, attention à ton fardeau, dynamite”
Mais je ne me fais aucune illusion, lorsqu’on a veauté micron, on ne va pas entrer en résistance, bien au contraire, on va dérouler le tapis vert aux “réfugiés”
Le terme réfugié me fait marrer, et aussi penser à l’accueil des Suédoises (depuis elles ont toutes été violées par leurs réfugees) qui portaient la pancarte coloriée “refugees welcome”
Ce panneau, elles auraient pu se le mettre ou je pense !
La Suède est maintenant “un autre pays”, d’ailleurs tous les migrants devraient y aller, il vaut mieux concentrer le kk au même endroit.
La “Providence Divine” du malicieux Pierre Cassen…
Accueil facilité par le fait qu’il n’y aura pas d’impôts locaux à payer pour “eux”…
Cet ethnocide phase 2 de la France, exploitant sans surprise chantage à la pitié des pauvres envahisseurs venus nous envahir à l’insu de leur plein gré car croyant le pays inoccupé et n’attendant qu’eux, ne peut être enrayé – momentanément – qu’avec la méthode brillamment éprouvée à Callac : la pression permanente sur les élus locaux par les seuls qu’ils sont censés servir : leurs administrés.
Le maire hypocrite de Callac, dit “80%”, peut en témoigner. Un élu local, contrairement à un féodal lointain, vit quotidiennement au milieu de ceux qu’il adminstre. Il est beaucoup plus facile de lui exprimer clairement la volonté populaire.
Partout Callac !
On va vous faire un callac ! Un slogan qui fera date .A l..attention des maires (2) gauchisants, philanthropes maçonno-papisto -macrono compatibles