Les socialistes préfèrent aider les Grecs plutôt que nos agriculteurs

CazeneuvevallshollandeSelon le Ministre de l’agriculture Stéphane Le Foll, entre 22000 et 25000 éleveurs français sont au bord du dépôt de bilan.
http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2015/07/17/20002-20150717ARTFIG00040-agriculture-entre-22000-et-25000-eleveurs-au-bord-du-depot-de-bilan.php
Eu égard à l’importance de la filière agricole et bovine en France, il est clair qu’il faut au maximum maintenir cette filière.
Sauf qu’on n’a plus d’argent, et qu’on doit d’abord aider les Grecs qui se gavent sur notre dos depuis 30 ans.
Tous les jours, on entend qu’en France un secteur va mal, et qu’il faut trouver de l’argent et qu’on n’en a plus.
Alors quand j’entends nos politiques et Michel Sapin, encore un incapable dont on parle peu… nous dire, la gueule enfarinée, qu’il faut prêter de nouveau 16 milliards à la Grèce, que tout à coup on trouve, je me demande si il faut en rire ou en pleurer !
Quand j’entends la bêtise de certains de nos politiques, qui disent sans rire qu’il faut laisser une seconde chance à la Grèce pour qu’elle puisse construire une économie digne de ce nom.
Il faut être complètement débile, pour croire que ce que les Grecs n’ont pas fait en 30 ans alors que l’argent coulait à flot, ils vont le faire maintenant.
Tout l’argent que les contribuables français et européens leur ont prêté avec leurs impôts est définitivement perdu. Avec, ils se sont acheté des voitures de luxe, des bateaux, ont refait leur maison, en ont mis à l’abri à l’étranger, autant de chose que tous les Français de plus en plus paupérisés n’ont pas pu faire.
Aujourd’hui, nos éleveurs vont crever et on nous demande de prêter encore 16 milliards d’euros à la Grèce pour éviter le chaos.
Désolé, mais je préfère le chaos….surtout en Grèce plutôt qu’en France.
Depuis 30 ans, la Grèce triche. Elle a triché pour rentrer dans l’Europe en falsifiant ses comptes. Elle a triché en ne faisant aucune des réformes pour lesquelles elle a reçu des milliards.
De toute façon, on ne reverra pas notre pognon. Alors la Grèce dehors !
Albert Nollet