Les très lointains descendants d’esclaves nous réclament des sous

Des associations demandent une reconnaissance des « préjudices transgénérationnels » de la traite négrière et de l’esclavage pour les descendants d’esclaves et cela en référence à la loi de 2001 qui reconnaît la traite négrière et l’esclavage comme « crimes contre l’humanité ». 

Dans une décennie, dans un siècle, ce seront les descendants de ces millions de migrants clandestins débarqués en Europe dans les années 2000 et les suivantes qui exigeront que cette « migration illégale », acceptée par les gouvernements de ces époques, soit également reconnue comme un « crime contre l’humanité ». 

Je sais que ce que j’écris aujourd’hui va m’attirer les foudres non seulement des associations et organisations représentant les descendants d’esclaves (noirs, car en ce qui concerner l’esclavage « blanc », il n’en est jamais question !) mais j’estime qu’effectivement le « véritable crime contre l’humanité » c’est ce qui se passe actuellement, ce trafic d’êtres humains, dans des conditions souvent abominables, qui est à mon avis bien plus grave et condamnable que ce que fut la traite négrière et l’esclavage avant le XXe siècle (et je m’inquiète du silence assourdissant de la quasi-totalité de ces associations et organisations concernant la traite négrière et l’esclavage qui n’ont jamais cessé et se poursuivent de nos jours dans certains pays d’Afrique et du Moyen-Orient). 

Vos actions ont une double raison : nous culpabiliser sur la traite négrière et l’esclavage subis par vos ancêtres, avant le XXe siècle, et la seconde : obtenir une compensation financière. Vos revendications, vos exigences de repentance, d’excuses et de recherche de responsables, etc. sont-elles dirigées vers les vrais coupables ?

Les vrais coupables ne sont-ils pas ceux qui ont vendus vos ancêtres « aux plus offrants » : ces chefs de tribus noirs, ces roitelets nègres et parfois même les parents, tous ceux qui ont marchandé quelques-uns de leurs enfants auprès des commerçants « blancs et arabes ». Ce sont eux les premiers coupables.

L’esclavage a toujours existé, depuis l’Antiquité. Il y a toujours eu des esclaves qui ont servi des maîtres. Les Gaulois ont été esclaves des Romains, les Grecs avaient des esclaves. L’esclavage « blanc » a duré plus de vingt siècles et qui en parle, qui exige repentance ? L’esclavage « noir » moins de deux siècles.

C’est la conquête et la colonisation qui ont mis fin à la piraterie et à l’esclavage blanc et noir pratiqués par les « Ottomans » à Alger. C’est la France qui a aboli l’esclavage noir. Il n’y a jamais eu d’esclaves noirs au service des Français sur le sol de la métropole française. 

Les pays musulmans ont, soi-disant, aboli officiellement l’esclavage mais il se pratique toujours dans certains pays, comme la Mauritanie, la Lybie, etc. et vous le savez parfaitement mais on ne vous entend jamais sur ce point. Vos frères, vos sœurs, se marchandent auprès des acheteurs des Émirats, de l’Arabie Saoudite, etc. mais vous préférez l’occulter, comme Christiane Taubira avait « occulté » l’esclavage blanc « afin de ne pas culpabiliser les enfants d’Arabes pour les crimes commis par leurs parents » !

On ne vous entend pas non plus sur ce point, et pourtant cela aussi vous le savez : « pour les « musulmans » et « le Coran » vous êtes une race inférieure, destinée à l’esclavage, et cela depuis la nuit des temps. »

Mais ce n’est pas contre eux que vous vous révoltez, ce n’est pas eux que vous accusez, mais nous, qui vous considérons comme nos égaux, comme des citoyens à part entière.

Ce n’est pas nous qui confisquons vos passeports pour vous empêcher de partir et vous obliger « à crever au boulot pour un salaire de misère et à vivre un véritable esclavage », dans certaines nations islamistes comme les Émirats, l’Arabie Saoudite (dans ce dernier pays, 83 % d’esclaves pour 17 % de maîtres).

Il n’y a qu’une question à poser à tous ceux qui réclament et qui se lamentent sur l’esclavage noir subi jusqu’au début du 19e siècle : « Où seriez-vous aujourd’hui si certains de vos ancêtres n’avaient pas été des esclaves ? ».

Réécrivons l’histoire. Supposons que l’esclavage n’ait jamais existé, qu’il n’y ait jamais eu d’esclavage noir (l’esclavage « blanc » n’en parlons pas, tout le monde s’en moque, personne ne réclame !), vos « ascendants » seraient donc restés en Afrique noire, ils auraient connu la colonisation, qui leur a permis de se civiliser, puis la décolonisation, qui les a ramenés au point précédent, et vous tous, ces millions qui vous estimez victimes soit de l’esclavage, soit de la colonisation, vous seriez encore plusieurs millions à vous précipiter vers les mafias de passeurs et les ONG, en vidant vos poches, en leur offrant vos économies, pour tenter de rejoindre l’Europe. Vous seriez des « migrants » illégaux, risquant vos vies, comme tous ces malheureux qui « dorment » actuellement au fond de la Méditerranée et de l’Atlantique.

Quelle chance vous avez eue d’avoir des ascendants esclaves puisque cela vous a permis d’être « hors l’Afrique », d’exister, tout comme nous, dans des mondes plus modernes, de bénéficier, tout comme nous, des progrès de la civilisation.

Oui, quelle chance vous avez eue de n’être pas restés en Afrique ! 

Tous les descendants d’esclaves se trompent de combat.

Pour qu’il y ait des « acheteurs » d’esclaves, il faut obligatoirement qu’il y ait des « vendeurs » d’esclaves, et ces vendeurs étaient les frères noirs de la jeunesse noire qu’ils vendaient.

Qui sont les responsables, les coupables de l’esclavagisme ? Ceux qui venaient « acheter » une main-d’œuvre ou ceux qui « vendaient » leurs propres enfants, leurs frères, les membres de leurs tribus ?

Il me semble tout de même nécessaire que les Noirs africains apprennent leur « Histoire », cela devrait leur permettre de ne pas se tromper de combat.

L’esclavage, en Afrique, a toujours existé. Il a toujours été pratiqué depuis l’Antiquité. Il a toujours donné lieu à un important trafic humain.

Il se pratiquait déjà dans la Grèce antique.

En dehors de l’esclavage obtenu par les guerres tribales (asservissement des prisonniers), et l’esclavage criminel, l’esclavage, à des fins domestiques, était répandu dans toute l’Afrique.

Dès le Moyen Âge, l’esclavage en Afrique n’a fait que poursuivre les trafics présents depuis l’Antiquité.

Avec l’avancée de l’Islam, dès le VIIe siècle, les premiers raids arabes approvisionnaient les marchés aux esclaves et, dès le XIe siècle, le trafic caravanier, par différents itinéraires parfaitement codés, a progressé très rapidement et de très nombreux chefs de tribus africaines se sont convertis à la religion musulmane, afin d’y participer.

Dès le XIIIe siècle, l’Empire du Mali est fondé et étend sa souveraineté sur une grande partie de l’Afrique Occidentale. Les premiers empereurs réglementent l’esclavage (Charte de Manden) et il se développe rapidement au cours du XVe siècle.

L’esclavage se limite aux « non musulmans » car la loi islamique autorise l’esclavage, mais l’interdit à ceux qui pratiquent la religion musulmane, ce qui explique les nombreuses conversions.

Ainsi les principales victimes de cet esclavage seront les Noirs des régions frontalières de l’Islam en Afrique.

Dès le IXe siècle, les esclaves étaient capturés sur les côtes de la mer Rouge et de l’Océan Indien et vendus à travers le Moyen-Orient.

Les premiers Européens « négriers » furent les Portugais, dès les années 1440 en Guinée.

De nombreux États africains s’organisaient autour de la traite négrière, notamment le Ghana, le Niger, et même les Royaumes Mossi, à l’origine contre l’esclavage humain mais finissant par y participer dans les années 1800, avec la traite atlantique comme principal marché.

L’empire du Mali augmente ses échanges commerciaux d’esclaves avec l’Afrique du Nord.

À l’origine, en Afrique, l’esclave appartient à un groupe familial : le maître et l’esclave travaillent ensemble. Il donne sa protection à l’esclave et tout ce qui lui est nécessaire à sa subsistance : « Un homme libre est pire qu’un esclave, car il ne peut réclamer sa nourriture à qui que ce soit. » 

En Gambie et au Sénégal, entre le 14e et le 19e siècle, 1/3 de la population était en esclavage et, dans les États musulmans : Soudan, Ghana, Mali, Sierra Leone, Cameroun, Niger, Congo, Angola, Dahomey, Ouganda, etc., près de la moitié des populations était asservie.

Lorsque le trafic des esclaves a été organisé par les Arabes, de très nombreuses tribus locales ont fourni des captifs pour approvisionner les marchés d’esclaves à destination de la traite atlantique.

Cela a marqué les débuts des marchés d’esclaves « hors de l’Afrique » et, lorsque l’esclavage atlantique a été aboli, au début du 19e siècle, l’esclavage dans les plantations a augmenté considérablement car de nombreux États africains, dont la principale économie provenait de la traite internationale des esclaves, se sont réorientés vers l’exploitation des esclaves pour une économie commerciale légitime.

Il est incontestable que la « traite atlantique », qui est tellement contestée depuis des décennies, aurait été impossible sans la participation active des États africains.

Dans les ports des côtes de l’Afrique de l’Ouest, les négriers européens achetaient les esclaves noirs capturés à l’intérieur des terres et acheminés jusqu’à eux dans des conditions le plus souvent effrayantes et inhumaines.

À noter que, dès la seconde moitié du 19e siècle, l’un des premiers à dénoncer l’esclavage pratiqué en Afrique fut le Cardinal Lavigerie.

Un très grand nombre d’Empires ouest-africains ont progressé grâce au commerce des esclaves et l’on peut affirmer que l’abolition de l’esclavage, au cours du 19e siècle a conduit au déclin et à l’effondrement de certains de ces empires africains.

Au début de ce XXe siècle, plus de 2 millions de personnes se trouvent en esclavage dans le Califat de Sokoto et le nord du Nigeria (pays où l’esclavage n’a été proscrit qu’en 1936).

En Afrique du Sud-Est, pour répondre aux besoins des plantations, jusqu’à 30 000 esclaves étaient vendus chaque année et dans le Sultanat de Zanzibar l’esclavage agricole, encore au 19e siècle, exploitait environ 1 million 500 000 esclaves.

Toujours au cours de ce 19e siècle, plus de 50 000 esclaves furent vendus sur le marché d’esclaves de Zanzibar, à destination de la Somalie.

Aussi bien au Zanzibar qu’au Kenya ou à Madagascar, plus de 50 % de la population étaient en esclavage et que les Sultanats musulmans ont poursuivi « officiellement » l’acquisition d’esclaves jusque dans les années 1930 et « clandestinement » depuis. Il y avait plus de deux millions d’esclaves en Éthiopie, lors de l’abolition de l’esclavage, le 26 août 1942, par l’Empereur Haïlé Sélassié.

On estime à environ 30 millions le nombre des esclaves actuellement dans le monde. Rien qu’en Mauritanie, où la vente d’esclaves se poursuit actuellement, bien qu’il ait été officiellement aboli en 1981, environ 600 000 hommes, femmes et enfants, soit 20 % de la population, sont des esclaves.

Au Niger, près de 8 % de la population est encore en esclavage et les ventes d’esclaves se poursuivent de nos jours en Libye.

*Votre premier combat ne doit pas être contre les « négriers blancs », sans lesquels vous ne seriez pas présents de nos jours, ni contre la France et les Français, mais contre vos « ancêtres » noirs, ceux qui ont vendus vos ascendants et contre l’islam qui a organisé le trafic d’esclaves depuis des siècles.  

Ne vous trompez pas d’ennemis ! 

Si demain des navires allaient embarquer « gratuitement » de « nouveaux esclaves » dans les ports d’Afrique pour les conduire vers les États-Unis et les pays européens, ils seraient des millions à être volontaires.

Manuel Gomez

image_pdfimage_print
20

30 Commentaires

  1. les blacks eux même le disent encore aujourd’hui, ils vendaient les déchets ou considérés comme tels. Y a t’il une garantie, ou défaut caché ou retour au magasin et REMBOURSEMENT?

  2. Lisez le livre de Kakou Ernest Tigori, Haine du Blanc et monde Noir, il présente TRES BIEN l’esclavage en Afrique à l’époque du commerce avec l’Amérique!

  3. Sauf que ceux qui débarquent en France ne sont pas des descendants d’esclaves puisqu’ils arrivent d’Afrique.

    • Je n’ai pas compris ce que vous voulez dire. Que les esclaves africains n’avaient pas d’enfants? VRAI pour ceux qui se faisaient émasculer par les trafiquants arabes (qui tuaient les enfants nés de femmes africaines esclaves)

  4. Excellent article, Monsieur Navis. Et bien documenté. Le sujet est tellement vaste.
    J’ai eu l’occasion de sur-vivre quelque 2 années dans ces contrées de la péninsule arabique, oubliées des dieux, sauf un. Les pauvres de tous les pays y arrivent pour travailler et se voient confisquer leur passeport. Ce n’est pas de l’esclavage au sens strict, mais ça y ressemble fortement.
    De plus la loi, c’est la charia. En ce qui concerne les accidents de voiture, un bras, c’est tant de dirhams émirati, une main, un pied, un bras tant de DH, et ainsi de suite, alouette. Le plus cher, bien sûr c’est la mort.
    Il n’est donc pas rare de voir se jeter sous votre voiture un pauvre diable de Pakistanais, ayant l’espoir de se casser qqe chose de pas trop grave pour ramasser qques milliers de DH. S’il touche le Jackpot, pas de lézard, l’argent est envoyé à sa famille.
    Rubis sur l’ongle.

  5. Il y a un pays qui continue à pratiquer l’esclavage, c’est le Mali, c’est une coutume locale qui se perpétue depuis des générations et qui fait toujours parti des mœurs actuels, il y a la caste des dominants et celles des dominés, (l’esclavage dit “par ascendance)il y a une video sur internet que j’ai eu l’occasion de visionner. Un malien qui à travaillé en France, rentré au Mali pour sa retraite, son combat local, affranchir tous ces esclaves en les mettant à l’abri dans un village de sa creation, il reçoit meme des menaces de mort, j’ai retrouvé la video. L’esclavage entre noirs existe toujours et la, les blancs n’ont rien à voir.
    https://www.youtube.com/watch?v=Hh1WfUQxOaA

  6. Je pense que pour l’honneur de la France qu’il faudrait payer le billet retour.

  7. il m’a fallu aller à Kédougou au sud est du Sénégal pour apprendre une vérité toute autre que celle que l’on oblige à croire : Ce sont bien les All Pular /Peuls qui faisaient les razzias en pays Bassari , Guinée , Mali ! Et qui vendaient les prisonniers aux Arabo musulmans et aux woloff commerçants avec les Toubabs !!!
    La religion musulmane au Sénégal , c’est la religion des esclavagistes Arabe !!! mdr

    • Les riches familles sénégalaises ont fait leur fortune sur l’esclavage: les griots racontent cela très bien lors des fêtes.

  8. l article me rappelle les paroles d’un intellectuel afro américain en voyage en AFRIQUE , dans un pays qu’il supposait etre celui de ses aieux: ” OH MES PARENTS COMME JE VOUS SUIS RECONNAISSANT DE N AVOIR PAS LOUPE LE BATEAU “

  9. Nous ne supporterons pas le coup de pied de l’ane Si les dirigeants africains veulent de l’oseille, qu’ils sachent que l’on engage en cuisine .

  10. Qu’ils réclament des indemnités à leurs frères africains. Ce sont eux qui revendaient des villages entiers à des négriers. Il n’y a pas plus raciste qu’un noir avec un autre noir et je ne vous parle même pas avec les blancs. Ces salopards nous détestent.

    • C est même illustré par des tableaux.
      Mais même quand ils voient ces tableaux, les franchouillards sont tellement cons qu ils ne réalisent même pas

  11. Une certaine communauté a donné l’exemple en se faisant accorder des “compensations” depuis 1945, pas de raison que d’autres ne fassent pas pareil, ça marche si bien 😂😂😂

    • Ils n avaient rien demandé, c’est chirac qui est allé au devant. Et pour les déportés athées ou Catholiques Jospin à dit “non, ça suffit. ” .

      • Dieu prodigue ses biens à ceux qui font vœu d.etre siens .C’est la seule exception à la règle égalitaire suivant laquelle chaque cotisant dispose d’une vocation à être beneficiaire d.une mesure s.appliquant en principe à tous . Tous les hommes naissent égaux en dignité est en droit .Mais après, ils se débrouillent Jospin se définissait comme un « protestant athée » Son père socialiste était un proche de Marcel Deat ( qu.en penserait-on a LFI) deux de ses frères s.appelaient Oliver et …Mowgli (sic! tout semblerait indiquer qu’ilait rencontré Monsieur kaa, ce qui expliquerait lesyeux rouges ,les cheveux cassants et une tendance à la nervosité que l’on imputait en toute innocence à des problèmes thyroïdiens.

    • Ils n avaient rien demandé c est chirac qui est allé au devant.Et concernant les déportés athées ou Catholiques jospin à dit “non,ça suffit “.et ils n ont rien eu,eux.

    • Ce que vous dites Monsieur, avec ces insinuations dégoutantes, est révoltant. Les gens dont vous insinuez qu’ils demandent réparations pour esclavage ont en fait été exterminés, hommes, femmes, enfants, et leur culture et civilisation annihilée. Votre parallèle est ordurier….. ça marche si bien n’est-ce pas? Obscène

    • @tsar, une certaine communauté, qui dirige la france.bien à vous.pierre75!

  12. Lorsqu’il s’agit de payer pour l’Autre*, micron (et d’ailleurs toute le kk gauchiasse) a toujours le portefeuille grand ouvert, mettant ainsi en oeuvre son mandat d’élu par ce peuple de cons qu’on appelle français.

    Les assuces ma bxxx auraient bien tort de se priver, elles auront pas mal de chances (pour la France bien sûr) de gagner, ici non pas des millions, mais des centaines de milliards, ça vaut le coup d’être l’avocat de ces causes (ya bon banania làà), .. si ça peut donner des idées aux futurs reçus de parcoursup dans les facs de droit, il n’est pas trop tard pour espérer.

    *Autre avec un A majuscule, terme récupéré en référence à la réponse de Cédric Grangeot (adjoint au maire de Vandelans) à Madame Filiot.. voir billet de Madame Bourdillon hier pour plus de détails.

  13. L’explication est limpide! Les pays africains (dont les pays arabes) ne donnent aucune chance à de quelconques “compensations”, alors que chez les blancs, il y a un peu d’espoir…

  14. qui les vendaient aux esclavagistes? jamais un blanc n’a été en afrique capturer des pauvres hères (sauf les nord-africains qui razziaient

    • Les Français sont tellement cons que quand on leur dit que les leurs achetaient des esclaves,ils ne pensent même pas à demander qui les vendaient….

      Faut vraiment être nulle chez nul.

  15. N’oublions pas que les descendants d’esclaves sont Français, pour la plupart Antillais.
    Les Africains étaient, à cette époque, les seuls esclavagistes, qui vendaient leurs familles aux blancs…
    Ce sont eux, les esclavagistes, qui désormais, nous envahissent…

  16. Et combien devraient payer les arabes pour l’esclavage de noirs, des hindous et des européens ?
    Idem pour les Turcs vis à vis des Slaves et autres européens tant grecs qu’Italiens, Français, Espagnols…

  17. “y’a bon les sous donnés par les babtous fragiles” ils ont raison puisque çà marche à cause de la faiblesse de caractere des “blancos”;;; à eux la belle vie

  18. Les premiers à s’opposer à l’esclavage étaient les chrétiens…

    Rien que le fait que l’islam l’admet, l’encourage et le pratique encore devrait disqualifier pour toujours cette idolâtrie criminelle !

    • Complètement. Le fait que l’islam continue à pratiquer l’esclavage et la mise en soumission du troupezu humain qu’on appelle femmes devrait disqualifier l’idéologie mortifère appelée « islam » auprès des gens de « gôche »

  19. Article très intéressant à afficher dans tous les lycées et collèges ,et à l’entrée des cités

Les commentaires sont fermés.