Les tueries du 7 octobre 2023 pourraient se reproduire en France

Au nom d’Allah, le Clément :
« Après que les mois sacrés expirent, tuez les associateurs où que vous les trouviez. Capturez-les, assiégez-les et guettez-les dans toute embuscade. Si ensuite ils se repentent, accomplissent la Salat et acquittent la Zakat, alors laissez-leur la voie libre, car Allah est Pardonneur et Miséricordieux » (sourate 9, verset 5).

Le président Macron et l’Occident n’ont rien compris à l’idéologie de l’islam qui ne cherche qu’à les éliminer un jour ou l’autre, mais en attendant la corruption et la lâcheté ont détruit l’esprit de combativité de la vieille Europe qui se laisse culbuter au nom des droits de l’homme qu’elle a sécrétés en pensant que le monde entier la suit dans ses élucubrations.
Ce verset 5 de la sourate 9 appelé, selon le fiqh islamique, le verset de l’épée ou de la terreur, démontre une fois de plus que les Occidentaux organisent leur propre mort. Et pourtant ce qui s’est passé le 7 octobre dans les kibboutz israéliens installés le long de la bande de Gaza, où un vrai génocide s’est déroulé, devrait leur ouvrir les yeux sur ce qui les attend bientôt. Ce n’est qu’une question de temps d’autant plus que l’islam s’est installé durablement sur leur territoire.

Le verset 5 de la sourate 9 ordonne aux musulmans de combattre tous ceux (les associateurs et les faussaires, c’est-à-dire les chrétiens et les juifs, en plus des polythéistes) qui ne croient pas à la vraie religion, l’islam. Le but de celui-ci est de montrer ce qui attend les mécréants et ce qui reste aux musulmans à faire pour les convertir ou bien de les exterminer.
Ce verset est considéré par les exégètes comme un verset abrogeant (voir le concept des versets abrogeants et abrogés – publié le 16/12/2019 : ripostelaique-pour-comprendre-lislam-il-suffit-de-lire-le-nasûkhoua-mansûkh). Il interdit toute attitude conciliante à l’égard des non-musulmans. Il est appelé le « verset de l’épée » ou « verset du sabre » (âyat al-sayf). Ce concept lui a été attribué par les oulémas à partir du XIe siècle afin de motiver les musulmans au djihad.

Avec le verset 29 de la même sourate 9, appelé verset de la guerre ou djihad, l’islam mobilise ses adeptes à combattre les mécréants et notamment les Juifs et les chrétiens. D’ailleurs, ce verset est à la base de la dhimma (le racisme anti-juif et anti-chrétien) en islam, appelée communément la dhimmutide ou l’humiliation.
Les frères musulmans, les salafistes et les fondamentalistes islamistes s’appuient sur ces deux versets pour mener la guerre sainte contre les mécréants.

Le mouvement Hamas comme Daesh, et tous les islamistes qui commettent des attentats en Occident et ailleurs dans le monde, utilisent les explications (tafassirs) données à ces deux versets par Ibn Taymiyya (né en 1263 à Harran en Turquie actuelle, mort en 1328 à Damas en Syrie), qui est un théologien fondamentaliste du hanbalisme.
On peut dire qu’Ibn Taymiyya est le père fondateur du terrorisme islamique actuel. Et pourtant ses livres sont vendus dans les librairies occidentales au nom de la liberté de pensée mais pas Mein Kampf. Deux poids, deux mesures.
Ce qui s’est passé le 7 octobre 2023 pourrait se dérouler un jour dans n’importe quelle région de France, ce n’est qu’une question de temps, d’autant plus que les Français ne sont pas encore sortis de leur léthargie, malgré les nombreux faisceaux qui convergent vers cette éventualité.

J’ai publié sur RL, le 15 octobre 2018, un article dans lequel j’ai prévu le scénario qui vient de se dérouler en Israël (ripostelaique-le-cauchemar-qui-attend-la-France).
La haine du Juif occupe une place centrale dans les explications coraniques d’Ibn Taimiyya. Et l’antisémitisme s’en nourrit abondamment.
Alors qu’attend le président Macron pour dénoncer l’islamisme -et ses crimes – qui puise des racines dans le coran et la sunna ?
En tant que murtadd (apostat) qui est considéré comme un déviant, un dérangé mental par l’islam, je conseille à Mr Macron d’ouvrir le coran notamment celui de Médine (Yathrib) qui se compose de vingt-six sourates (2, 3, 4, 5, 8, 9, 22, 24, 33, 47, 48, 49, 55, 57, 58, 59, 60, 61, 62, 63, 64, 65, 66, 76, 98, 110) qui sont de véritables appels au meurtre des mécréants et surtout le summum de la haine envers les Juifs.
Alors où se cache-t-il actuellement l’antisémitisme ? Qu’il nous le dise à haute voix, à moins qu’il veuille ménager sa clientèle ?

Hamdane Ammar