Papy Gaga Robinette a commis deux erreurs majeures qui pourraient précipiter la faillite des USA. D’abord, à force de porter à bouts de bras l’Ukraine insatiable et corrompue, les États-Unis sont sur le point d’être déclarés par le FMI en état de cessation de paiements.
Ensuite, une coalition de pays émergents, lassés des menaces, des pressions et des sanctions de Washington, et qui veulent commercer librement avec la Russie et la Chine, entre autres « pestiférés », ont décidé purement et simplement de se passer du dollar.
Au premier juin, les caisses seront vides
Le plafond de la dette, supérieur à 31 000 milliards de dollars, un record mondial, a été atteint il y a quelques mois. Depuis, le gouvernement fédéral a géré la situation par des artifices comptables, façon vases communicants. Mais ces compensations provisoires ne sont que des pis-aller…
Et le nabot mal rasé de Kiev continue d’exiger toujours plus d’armes, de munitions et de pognon, en promettant de mettre bientôt la Russie à genoux… Et le Papy gaga, qui a oublié que la guerre froide est finie, croit combattre l’URSS.
La secrétaire au Trésor Janet Yellen a rappelé qu’il était très probable que les États-Unis se retrouvent à court d’argent public après le 1er juin.
Pour lever le risque d’une banqueroute, le Congrès, Sénat démocrate et Chambre républicaine pourraient décider de relever le plafond maximal d’endettement public autorisé. Mais jusqu’à quel niveau ? La situation n’est pas brillante. Et actionner la planche à billets dans ce contexte, peut conduire à la catastrophe.
Le président des USA a tenté d’amadouer Kevin McCarthy, président républicain de la Chambre des Représentants. Mission délicate, car les deux hommes se détestent pour toutes sortes de raisons autant politiques que personnelles. Il y a des limites au patriotisme quand il est instrumentalisé pour vous rouler dans la farine. Et donc McCarthy serait un imbécile d’aider le sénile.
Car si les finances publiques plongent, adieu les espoirs de réélection du gaga. D’autant que, cette fois, les Républicains échaudés par la fraude massive de 2020 sont décidés à multiplier les scrutateurs, et à placer des caméras partout. Pas de cadeaux à l’adversaire !
Tandis que le gâteux escaladait le sommet du G7 au Japon, promettant au Zygomyr un nouvel afflux de milliards à fonds perdus, l’imbroglio politico-budgétaire à Washington a atteint la zone critique. Là où tout peut s’effondrer à n’importe quel moment.
Les Républicains conditionnent leur accord à une forte réduction des dépenses publiques. Or Biden, qui fait campagne pour sa réélection en 2024 sur des promesses de cadeaux financiers aux fainéants, aux incapables, aux minorités agressives et aux parasites de tout poil, s’y oppose. Considérant, comme Macronescu, qu’on peut régler tous les problèmes en s’attaquant aux niches fiscales.
Quand il n’y a plus de sous, on peut encore fabriquer de la monnaie de singe
En cas de défaut de paiement, les USA ne seraient plus en mesure de rembourser les porteurs de bons du Trésor US, le placement roi de la finance mondiale, provoquant une panique sans nom. Comparable à celle de 1929. Faillites en cascades, chômage exponentiel, effondrement des échanges, fermetures des marchés, troubles sociaux, guérillas ethniques. Les seuls à s’en tirer plus ou moins bien seraient les banksters. Mais que faire de tout leur pognon réduit à sa valeur nominale, dans une économie ruinée et en panne ?
Dans ce contexte, le gouvernement ne pourrait plus payer de nombreux salaires de fonctionnaires, dont ceux des flics fédéraux qui se montreraient moins vaillants à tabasser les trublions… Sans parler des retraites des anciens combattants. Qui seraient moins motivés pour intervenir en tant que milices citoyennes quand ça barde quelque part.
On peut toujours faire fonctionner la planche à billets comme en Europe, mais la monnaie papier étant par définition fiduciaire, si personne n’a plus confiance dans sa valeur, elle vaut moins que du PQ.
Évidemment, les conséquences pour l’économie mondiale seraient catastrophiques. Et bien avant l’effondrement final, ceux qui peuvent échapper aux conséquences de la banqueroute prendront la tangente. Ils préparent déjà des solutions de remplacement.
Les démocrates préparent-ils un coup d’éclat ou un coup d’État ?
Kevin McCarthy n’est pas trop enclin à se déballonner. D’autant qu’il doit son poste à des élus radicaux qui l’invitent, comme Trump, à ne pas plier. Mais les Ricains ont plus fort que le 49.3. L’aile gauche du parti démocrate pousse Robinette à passer en force en invoquant le 14e amendement de la Constitution, qui interdit de remettre en question la solvabilité de ce qui fut la première puissance mondiale.
Dans ce cas, le gouvernement émettrait de nouveaux emprunts, comme si le plafond de la dette n’existait pas. Cette stratégie de fuite en avant, s’apparentant à une pyramide de Ponzi, est toutefois lourde de dangers.
Dangers juridiques, dans la mesure où ils ont affaire à une Cour suprême à majorité conservatrice qui pourrait censurer le gouvernement et annuler la manipulation. Et dangers économiques, en cas de subterfuges permettant de faire passer ces mesures en jouant sur la multiplication des intervenants financiers… Conduisant à une perte de confiance générale, quand tous les pigeons demanderont à être remboursés en même temps.
Le BRICS propose de changer les règles du jeu et de se passer du dollar
De nombreux pays en ont ras-le-bol du droit exorbitant que se sont arrogés les Ricains de contrôler leurs échanges internationaux, même s’ils ne passent pas par les USA, et de les racketter à coups d’amendes colossales s’ils ne se soumettent pas aux injonctions des mafieux de Washington. Lesquels n’ont pas attendu les bisbilles avec la Russie pour confisquer les avoirs et les biens, et pirater les navires et les avions des récalcitrants. Aux USA. Mais aussi chez les limaces qui leur obéissent servilement, comme la France et l’Eurocrature.
La réponse semble couler de source : en finir avec la tyrannie du dollar. La possibilité d’introduire une nouvelle monnaie internationale sera discutée lors du sommet du BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) en août 2023, en Afrique du Sud, pays hôte du sommet. Très remonté contre l’ingérence des USA dans ses relations commerciales avec la Russie.
La question d’une monnaie unique en remplacement du dollar devient pertinente pour les BRICS bien décidés à échapper à la tutelle des USA. Dans cette perspective, d’autres pays comme l’Arabie saoudite, l’Égypte, l’Iran, l’Algérie, Bahreïn et les Émirats arabes unis ont demandé à leur tour à adhérer aux BRICS. Les rats sont prêts à quitter le navire en perdition. Mauvais signe pour les Yankees.
Pour tous ces pays, la référence au dollar pour l’ensemble de leurs échanges devient un handicap difficilement tolérable du fait du durcissement de la politique de sanctions des USA à l’encontre des deux « stars » du BRICS, la Russie et la Chine. Partenaires de première importance pour les non-alignés, qui refusent de se passer de leurs matières premières abordables et de leur technologie avancée, pour satisfaire les lubies d’un vieillard cacochyme.
Aujourd’hui, des sanctions arbitraires et injustes menacent non seulement les entreprises et les pays qui continuent à commercer avec la Russie. Mais aussi ceux qui ont décidé de coopérer avec la Chine dans le domaine des technologies de pointe, comprenant les processeurs performants, les chaînes pour la fabrication de puces et de mémoires informatiques, et les communications mobiles et satellitaires.
L’inclusion de l’Iran dans les BRICS serait un coup de pied au cul donné aux impérialistes qui prétendent diriger la planète et s’immiscer chez ceux qu’ils considèrent comme leurs vassaux. Par la force, l’intimidation, la menace ou le chantage comme ils l’ont toujours fait. Mais si leur monnaie de singe ne vaut plus grand-chose, on pourra rebattre les cartes.
On n’est pas obligés d’approuver les ayatollahs, ni d’admirer le crédit social mis en place par la Chine, mais comme on dit aux USA : « Business is business ». Si une affaire est rentable, on ne va pas y renoncer pour faire plaisir à la concurrence. Et si on craint des mesures de rétorsion, on anticipe des riposte adéquates. Par la ruse comme jusqu’à présent. En s’opposant de front, demain peut-être…
Le Brésil et l’Afrique du Sud sont les plus ardents avocats d’une monnaie de remplacement
L’économie brésilienne est trop liée au dollar, et si la monnaie de référence plonge, le réal s’effondre. Or l’augmentation des dépenses des États-Unis pour servir leurs emprunts et faire face à un déficit croissant de leur budget poussent Washington à accumuler des liquidités en dollars sur les marchés financiers extérieurs. Ces capitaux figés au lieu d’être investis sont gelés pour la croissance, et on peut craindre que les économies latino-américaines subissent à court ou très moyen terme une fuite des investisseurs.
Les investissements chinois pourraient les remplacer, ce qui donne des sueurs froides aux crânes d’œuf de la Maison Blanche et de Wall Street. Lesquels ont conscience que l’aggravation des relations sino-américaines pourrait inciter la Chine à développer une coopération économique plus dynamique avec ses autres partenaires. Puisqu’elle n’aurait plus aucune contrepartie à attendre des USA. Qu’elle dispose de réserves financières importantes. Et d’une puissance militaire qui la met à l’abri de tous les chantages.
D’autant plus qu’aujourd’hui, la Chine est considérée par de très nombreux pays en développement comme un partenaire fiable. Coriace dans les négociations certes, mais qui tient ensuite ses engagements. À la différence des Ricains, des voyous qui peuvent se renier à tout moment, et vous tirer dans le dos façon Far West, tant qu’ils se croient les plus forts.
En luttant pour leur souveraineté face à la dictature du dollar US, le Brésil et les autres pays du BRICS ne prétendent pas remplacer cette monnaie par le yuan. Du moins pas dans un premier temps. Le Brésil a ses propres ambitions pour créer une zone monétaire élargie en Amérique latine. Tandis que l’Inde, l’Afrique du Sud et les pays arabes nourrissent des projets semblables dans leur zone d’influence respective.
Mais dans le monde multipolaire qui se profile, on peut envisager des fusées à deux étages : le premier regroupant des pays adoptant un instrument d’échange régional commun. Avec des règles de droit favorisant leurs partenaires privilégiés. Et un second étage créant des passerelles vers une monnaie mondiale plus forte que le dollar en déconfiture, et appelée à le concurrencer. Sinon à le remplacer.
Christian Navis
La monnaie n’est peut-être plus indexé sur l’Or, mais elle est indexée sur l’économie.
La monnaie vaut ce que l’économie vaut
Et les US ont la meilleure économie, la plus saine, et la plus stable; Et c’est la raison pour laquelle tout le monde veut des dollars;
L’Or aussi ne perdait pas de valeur, c’était sa qualité principale.
ils vont augmenter le plafond de la dette, et puis c’est tout
Il y a eu pas mal d alertes depuis plus de 10ans sur les risques d un changement dans les etats puissants et dominant ke monde
Mais aujourd’hui la machine s accélère et nous sommes entrain de vivre l effondrement des Etats Unis et de tout l occident ainsi que l OTAN, par la faute de dirigeants complètement inconscients et fou dans L UE d avoir pas vu que Biden voulait la ruine de l UE pour pas s alliés au Russe pourtant c était une aubaine encore pour nous, maintenant c est trop tard, Biden a gagné
C’est régulier chez nos amis d’uutre atlantique..
Toute utilisation intense de la planche à billets finit par provoquer de l’HYPERINFLATION et déclencher une guerre….Les amerlocks ont déjà 30 trilliards de dette à effacer(sans compter les dettes domestiques , les prets étudiants etc)! le choix est simple c’est la guerre ou l’effondrement .L’effondrement des USA est déjà engagé, il peut mener à la guerre , ainsi ils feront coup double et auront les deux .
https://m.youtube.com/watch?v=R0a9HmfMGts il faut prendre aux premiers de cordée pour faire la guerre à la vilaine russie et protéger les gentils ukrainiens ? Au pays des 9000 vaches sans herbes est un exemple de decivilisation alors qu’ils pourraient être les meilleurs ? Leur dette est remboursable à condition d’avoir des conditions ?
Une des raisons qui ont poussé les yanks à renverser Saddam Hussein est qu’il voulait vendre son pétrole en euros. Insupportable!
Une Europe indépendante, donc non vassalisée par les US aurait eu une formidable carte à jouer pour imposer l’euro dans les transactions internationales au même titre que le dollar.
Lorsque ce dernier va s’effondrer, ce qui n’est qu’une question de temps, il entrainera l’euro dans sa chute, et le yuan, voire le rouble, vont s’imposer comme monnaie internationale.
Au niveau français l’immonde Sarkozy et le non moins immonde Macron ayant vendu une bonne partie du stock d’or de la Banque de France, c’est le patrimoine des Français qui servira à rembourser la dette.
Baïïï-den, comme disent nos nos journalopes (Biden pour les français normaux) qui ont pris de turbo-cours d’anglais pour pouvoir s’incliner devant leur Dieu Amère-loque en décrépitude mentale, leur fait du Macron à ces braves américains qui comme les français, ont vraiment cru avoir élu ce dingo et ses démocrasses staliniens. Les américains sont d’ors et déjà majoritaires à vouloir le retour de Trump, je crois pourtant que comme l’herpès, une dictature de démocrates-fous ne lâchera pas. Pas sans une petite guerre civile (ou une grande mondiale ???) Alors, le peuple s’osera-t-il dans un combat contre l’imposture ou préfère-t-il une guerre à Grande échelle ? Les USA sont en faillite (quelques mois au plus), ça ira mal, très mal. il nous faut l’aide de Dieu !
Malheureusement je crains plutôt que depuis que Nixon a décrété que le dollar ne faisait plus référence au métal jaune c’est-à-dire l’or, la planche à billet tourne à fond et dans le monde les tous sont contraints de payer avec du papier dollar, alors que ces mêmes tous se réfèrent dans leur pays respectif au métal jaune.
La faillite d’un pays quel qu’il soit n’est jamais souhaitable, car le monde entier en subira les conséquences. Il faut trouver autre chose.
au risque de me répéter, l’arnaque du mythe yankee est la première et surtout la seconde guerre mondiale. Le sans dent est imbibé de narratif frauduleux. Les journaux britanniques ont rappelé les accointances GB-Allemagne dans les années trente. La Couronne, c’est la City. C’est la même chose avec les yankees à la même époque , idem avec L’URSS et l’Allemagne dés 1919 pour les inconditionnels qui ont loupés des épisodes de l’entre deux guerre. Cela fait que nos corrompus et pédophiles “gouvernants” nous somment de courber l’échine devant un groupe mafieux dont certains hauts dignitaires yankees reconnaissent eux même le caractère mafieux de la CIA. Ainsi, il suffit de ressasser Nazisme pour faire courber l’échine à des gens qui auraient été bolcheviks en 1917, Nazis en 1933 et re bolcheviks en 1945. A la poubelle le narratif.
Et c’est l’Europe qui va payer !! Regardez le comportement des imbéciles qui nous gouvernent Macron en tête de liste. Comment respecter encore cette sale mafia destructrice incompétente et irresponsable ?
ils s’en contrefoutant, ils n’ont pas vu que la dédollarisation de la finance mondiale va transformer leurs billets verts en simple bout de papier (dans quelques décennies mais surement)
John Connally, ancien trésorier US sous Nixon a sorti en 1972 :
« Le dollar est notre monnaie, mais c’est votre problème ».
C’était vrai dans les années 1970, ça l’est moins maintenant, mais ça le restera encore pour un bon moment.
Pour ce qui concerne la “planche à billet” , appelé aussi soit “quantitative easing” soit “émission de fausse monnaie” selon qu’on soit schleu ou franconnais, l’UErss et sa BCE à Frankfort n’ont rien à envier aux US.
De plus, une grosse partie de la dette US est détenue par la Chine qui n’a aucun intérêt à voir s’effondrer le dollar, selon d’adage suivant :
Quant tu ne peux pas rembourser tes 2000 € à ta banque, tu as un problème, mais quand tu ne peux pas rembourser tes 200 milliards d’€ , c’est la banque qui a un problème!
https://i83.servimg.com/u/f83/19/48/51/99/4i9bih10.png
Molodiets, droug moï ! Bravo mon ami !
C’est tout à fait cela. Tous vos commentaires illustrés sont très parlants. BRAVO
Allons allons! Le cirque du plafond de la dette, c’est tous les ans la même chose, au dernier moment ils se mettent tous d’accord. Simplement car ils veulent continuer à se remplir les poches.
La consolidation du BRICS est un fait nouveau en 2023, en réponse directe des agressions US contre la Chine et la Russie.
Et ca change quoi ?
Tsar, au cas où tu ne le saurais pas, plus le nombre de billets imprimés est important, pour une même masse d’or détenu, moins le billet a de valeur…jusqu’au moment où ce dernier ne vaut plus rien !!
Les USA sont arrivés au bout de la valeur de leur merde verte … c’est bien pour ça qu’ils vont tout faire pour qu’arrive la 3ème guerre mondiale, et elle sera, en partie, nucléaire en plus !!
Je parle là de frappes ciblées, mais il y a tellement d’éléments qui peuvent intervenir pour créer un début de radiations mortelles, ce qui aura pour effet la peur, et celle-là durera très très longtemps, ce qui permettra de soumettre les peuples, c’est bien ce que veulent les schwab, soros et gates, non ?
Je ne serais pas surpris d’apprendre que l’effondrement US faisait partie du plan mondialiste ; cela semble tellement énorme, je sais …
Oui merci 🙂 Je sais que en theorie le dollar ne vaut que le prix de son papier, MAIS en pratique c’est autre chose car “tout le monde” a des dollars. De moins en moins certes, mais…
Depuis Bretton Wood, le dollar n’est plus indexé à l’or, renseignes toi avant de dire des énormités!
Nixon, le 15 août 1971, a effectivement fait annuler le fait de pouvoir en permanence échanger les billets verts contre sa valeur en or !!
Le dollar a donc, au fur et à mesure que les “faux monnayeurs US” faisaient de la “planche à billet”, perdu de sa valeur quand il est converti en or, et, dans les faits, le papier vert ne vaut même plus son poids en or, il ne vaut plus rien en 2023 !!
https://www.tradingsat.com/actualites/marches-financiers/le-15-aout-1971-richard-nixon-decide-de-fermer-le-guichet-de-l-or-980695.html
Seule la dernière phrase n’est plus vraie dans cet article, car le dollar va s’effondrer en papier Q, ce qu’il est déjà, mais personne, en France, ne veut le dire publiquement, et surtout, expliquer ce que cela va avoir comme – graves – conséquences sur notre économie, économie déjà moribonde dans tous les cas…
On dit ca depuis longtemps. On attend toujours…