Lettre ouverte à la presse arabe-islamique

Selon l’écrivain algérien Kateb Yacine (1929-1989): « L’Algérie française a duré cent trente-deux ans. L’arabisme dure depuis treize siècles ! L’aliénation la plus profonde, ce n’est pas de se croire Français mais de se croire Arabe. Or il n’y a pas de race arabe, ni de nation arabe, il y a une langue sacralisée, la langue du Coran, dont les dirigeants se servent pour masquer au peuple sa propre identité ».

En 1951, il publie dans le journal Alger Républicain un reportage sur le hadj à la Mecque (Arabie Saoudite) où il dénonce l’escroquerie de l’islam et d’Allah.
Cet écrivain de talon a dit que la langue française est un butin de guerre, parce qu’il fut un amoureux de la langue de Voltaire.
Mais qu’observe-t-on actuellement en Algérie ? C’est le recul de la langue française. D’ailleurs, le pouvoir algérien a décidé de remplacer la langue de Voltaire par celle de Shakespeare, de l’école primaire jusqu’à l’université. Pendant ce temps, les harragas algériens (les clandestins) ne cessent d’affluer en France.

C’est cette hypocrisie de l’arabo-islamisme qui est remarquée ces derniers jours dans la presse des pays musulmans, notamment arabe, iranienne et turque qui fustigent la France qui a pris la décision d’interdire l’abaya dans les collèges et les lycées. Et c’est son droit le plus absolu. Cette presse oublie-t-elle que la France est un pays souverain, jusqu’à preuve du contraire, elle n’a pas à se soumettre aux injonctions de l’islam ? Et puis, si un musulman se sent heurté par la laïcité en France, il n’a qu’à faire la hijra dans un des cinquante-sept pays qui composent la ouma, et ce n’est pas à lui de décider ce qu’elle doit faire, chez elle. Point barre. La France n’est pas encore un pays islamique, à preuve du contraire !

Les islamistes pensent qu’ils ont gagné le bras de fer qui les opposent au peuple français, grâce aux idiots utiles, ces dhimmis de la gauche collaborationniste qui les soutiennent, par conséquent, ils commencent à mordre la main de la France qui les a accueillis, nourris et logés. Mais cette évidence basique est ignorée par ceux qui réclament le port de l’abaya, et d’invités, ils se croient déjà les propriétaires en titre de la patrie de Jeanne d’Arc faisant fi du poids de l’histoire. Pour eux et leurs soutiens, l’identité de la France n’existe plus, et c’est celle de l’islam qui doit la remplacer dorénavant. Ils sont en plein djihad et sûrs de le remporter, en pensant faire plier le gouvernement français.

Un adage magrébin dit : « Ils mangent la récolte et insultent ceux qui la produisent ».
Pourquoi, cette presse écrite et celle du net de l’arabe-islamisme reste-t-elle muette sur les atteintes à la dignité humaine des apostats, des chrétiens, des femmes, des homosexuels et des non-musulmans en terre d’islam ? Dans les pays où les lois d’Allah régentent la vie du berceau au tombeau des hommes et des femmes, il n’y a aucune liberté de culte, aucune tolérance envers les non-musulmans (les infidèles et notamment les apostats) qui sont considérés comme des ennemis de l’intérieur à surveiller de près, car seul l’islam a le droit à la parole en occupant tous les espaces. Et ces journalistes arabo-islamiques viennent pleurnicher sur le sort des musulmans en France.
Quel culot !

C’est l’hôpital qui se fout de la charité, car c’est tellement hypocrite et invendable venant de la part des adeptes d’une religion qui ne reconnait que la soumission ou la mort aux mécréants afin que la vérité devienne un mensonge. Les cris d’orfraie de ces journalistes ne sont qu’un subterfuge pour exister et pour que monde entier parle d’eux.

Les musulmans qui se trouvent en France, jouissent plus de la liberté qui n’a d’égale dans aucun pays islamique. Mais cette situation, cette presse la passe sous silence, car elle pense avoir trouver l’angle de tir afin de contrer cette interdiction de l’abaya en bombardant par des calomnies la France dans l’espoir de la faire condamner par les instances internationales des droits de l’homme qui ne représentent qu’elles mêmes. Par contre, ces plumitifs islamiques ne rêvent que d’une chose, c’est d’atterrir dans les aéroports d’Orly ou de Charles de Gaulle le plus tôt vite possible afin de se balader à Paris sur les quais de Seine, dans le but d’admirer la beauté de Notre-Dame et de la Tour Eiffel, mais surtout dans l’espoir d’y obtenir une carte de résidence. Plus hypocrite qu’eux, tu meurs !

Supposons un instant que la France est islamophobe et raciste comme le prétend cette presse, pourquoi n’invite-t-elle pas les musulmans qui se sentent discriminés à faire la hijra (la rémigration) conformément au verset coranique 4, verset 97 : « Ceux qui ont fait du tort à eux-mêmes, les Anges enlèveront leurs âmes en disant : ‘Où étiez-vous ?’- (à cause de la religion). ‘Nous étions impuissants sur terre’, dirent-ils. Alors les Anges : ‘la terre d’Allah n’était-elle pas assez vaste pour vous permettre d’émigrer ?’ Voilà bien ceux dont le refuge sera l’Enfer. Et quelle mauvaise destination ! ».

Mahomet, l’émissaire d’Allah sur terre, a prévenu aussi ses suiveurs: « je désavoue tout musulman qui persiste à séjourner ou de résider parmi les polythéistes » (Abou Dawoud-N° 2645).
L’islam est clair : les musulmans ne doivent pas résider dans un pays mécréant, et jusqu’à preuve du contraire, la France est considéré par l’idéologie mahométane comme un pays de Dar-A-Harb.

Cette presse, ignore-t-elle les bases élémentaires de la charia ? Ou bien la douceur de la vie à Paris est meilleure que celle de la Mecque ? Ou encore, manger haram en vivant des aides sociales ?
Il est vrai que la France est devenue une République de l’assistanat, du RSA, de la CAF et de l’APL, par la volonté de ses dirigeants qui veulent accueillir toute la misère du monde, surtout si elle est islamique, dans l’espoir d’obtenir le prix Nobel de la Fraternité humaine.
Pourquoi, cette presse est-elle aux abonnés absents lorsque des Africains, en quête d’une vie meilleure, subissent les pires humiliations dans les pays arabo-islamiques ?
Il est vrai que pour cette presse arabo-islamique, les immigrants africains sont des quantités négligeables, comme les considèrent, d’ailleurs, leurs propres dirigeants, ces despotes de pacotille.

Cette presse qui veut faire la morale à la France, pourquoi n’a-t-elle pas dénoncé le sort des femmes africaines en Libye, pays islamique par excellence, où parfois elles sont vendues comme des esclaves sexuelles jusqu’à cinq cents dollars ( 500 dollars US) l’une, surtout lorsqu’elles sont des adolescentes ?
Pourquoi ne remet-t-elle pas en cause l’esclavage qui est inscrit en lettres d’or dans le coran et dans la sunna ?

Encore de l’hypocrisie, rien que de l’hypocrisie. Le mensonge, la diffamation et l’obscénité caractérisent la presse arabo-islamique dans son ensemble.
Cette presse aux relents guerriers et revanchards, qui est soumise à la dictature d’Allah, nie au non-musulman (mécréant) le droit de penser et de douter qu’elle qualifie d’ennemi de Dieu. Rien que ça.

Cette presse, surtout celle de tendance islamiste qui rêve du califat mondial et qui s’empresse d’incriminer la France, est restée muette comme une carpe quand les autorités de certains pays musulmans à l’exemple des pays maghrébins notamment de l’Algérie et de la Tunisie qui ont arrêté des migrants sub-sahariens se trouvant sur leur territoire irrégulièrement en les abandonnant ensuite en plein désert, livrés à la soif et à la faim. Cette presse n’a pas entendu les cris de détresse des enfants africains et de leurs mères ?

Quant à la Mauritanie, où l’esclavage est encore à l’état endémique, il ne faut pas l’évoquer, car il risque d’alourdir la barque.
Lorsque les gardes-frontières saoudiens tuent à balles réelles des migrants africains provenant de la Corne de l’Afrique, cette presse poubelle n’a pas un seul mot de compassion pour ces morts du désespoir. Son silence est une preuve de sa complicité pleine et entière de l’assassinat de ces damnés de la terre. Et pourtant, ces morts sont musulmans. Où est-elle donc passée la fraternité islamique dont se vantent les imams tous les vendredis, lors de la grande prière hebdomadaire, de Tanger à Djakarta ?
Quel crédit peut-on accorder à cette presse ?

Et le voilement des femmes mahométanes, n’est-il pas une preuve supplémentaire de la discrimination islamique exercée contre les mécréantes qui sont considérées comme des dévergondées qui n’ont aucune morale et qui sont faciles à culbuter, d’après leur fiqh ?
Les exemples de cette idée rétrograde largement répandue auprès des suiveurs de Mahomet ne manquent pas, même en France, pays de la liberté et de l’égalité homme-femme. Dans les contrées kaabistes où les femmes sont cachées, interdites de l’espace public, elles sont carrément agressées dès qu’elles mettent le nez dehors. Et cette situation que vivent les femmes musulmanes, cette presse de la honte ne l’évoque même pas, ne serait-ce que par un seul mot.

D’ailleurs la palme d’or des pays où la femme est le plus agressée sexuellement revient à beaucoup de pays musulmans, et à leur tête se trouve l’Egypte, pays de la fameuse mosquée d’Al-Azzhar, selon les organisations de défense des droits des femmes. Et tout cela se fait au nom d’Allah…
Cette presse qui défend l’abaya est un message envoyé aux Français pour lui signifier que leur égalité homme-femme est une foutaise.

Le cas de la presse turque de tendance islamique qui s’attaque à la France, ferait mieux de s’intéresser à ce qui passe dans son propre pays où les réfugiés syriens sont renvoyés dans leur pays en proie au chaos comme des criminels, après avoir été une monnaie d’échange aux mains de Erdogan qui en a tiré un grand bénéfice sonnant et trébuchant auprès des pleutres dirigeants occidentaux qui casquent cash en lui faisant des courbettes. Quant aux Kurdes turcs, qui sont considérés comme des sous-citoyens dans leur propre pays, cette presse nourrie par le mensonge islamique n’a jamais, au grand jamais pris leur défense.

Pourquoi n’a-t-elle pas soulevé les liens qu’entretenaient Erdogan avec Dash ?
Et les crimes d’honneur qui sont encore d’actualité au pays du sultan Souleymane le Magnifique, pourquoi la presse néo-ottomane n’en parle pas ? Et cette presse a-t-elle oublié qu’elle est au XXIe siècle ?
Et pour défendre l’abaya en France, elle a pris place sur le siège de la moraline. Alors qu’elle n’est que le rebut de la honte.

Comme on le répète assez souvent dans les pays allahistes : le chameau ne voit pas sa bosse mais voit celle de son voisin. Alors, il est inutile de prendre au sérieux les élucubrations de cette presse indécente et immorale.
Quant à la presse iranienne, afghane et pakistanaise qui accuse la France d’être islamophobe, elle n’a qu’à se regarder dans un miroir.
Si réellement, la presse arabo-musulmane était objective, elle aurait eu au moins le courage de dénoncer les dépassements dont sont victimes les Ouïghours en Chine et les musulmans citoyens de l’Inde (Bharat), mais comme elle est de mauvaise foi, elle ne fait que pisser dans le sable, car le chien aboie et la caravane passe.

Les destructions et les fermetures des églises dans les pays arabo-islamiques qui sont récurrentes, cette presse ne les voit pas. Pour elle et ses donneurs d’ordre, les drames, les souffrances et les persécutions que subissent les chrétiens en Allahistan ne les intéressent pas, car ils sont des non-musulmans qui n’ont pas le droit à la protection et au droit d’exercer librement leur culte comme le font les mahométans en Occident.

Pour cette presse, la réciprocité s’exerce uniquement en faveur des musulmans, parce qu’ils constituent la meilleure des communautés qu’Allah ait créée. Les mécréants n’ont qu’aller rejoindre le Diable ou à se convertir à l’islam.
Lorsque cette presse utilise le prétexte de de l’abaya pour attaquer la France en la taxant d’islamophobe et de raciste, elle oublie deux éléments essentiels qui font que son accusation est mal venue :

Il n’y a pas sur terre une idéologie aussi raciste et discriminante envers les non musulmans que l’islam, mise à part le nazisme qui est mort et enterré depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale.
Quant à l’islamophobie, les Français ont-ils le droit d’avoir peur de l’islam en lisant le verset coranique suivant ?
« Combattez ceux qui ne croient ni en Allah ni au Jour dernier, qui n’interdisent pas ce qu’Allah et Son messager ont interdit et qui ne professent pas la religion de la vérité, parmi ceux qui ont reçu le Livre, jusqu’à ce qu’ils versent la capitation par leurs propres mains, après s’être humiliés » (sourate 9, verset 29).
Eh bien oui ! Avoir peur de l’islam est un instinct de survie.

Définition de l’islamophobie :
Le terme « islamophobie » est composé de islamo, préfixe du mot arabe Alʾislām (« la soumission ») qui a pour racine le verbe arabe istaslam (se soumettre) et de phobie, suffixe du grec ancien qui signifie effroi, peur ou crainte existentielle.
Ou encore : l’islamophobie est un terme qui se définit étymologiquement comme la peur ou la crainte de l’islam.

Pour les idiots utiles, cette définition a été transformé en haine des musulmans sous l’instigation de l’ayatollah Khomeiny en 1989, ce qui est complètement faux et stupide. Et demain, les mêmes diront que le communisme, le nazisme et le fascisme furent un vent de liberté jamais égalé dans l’histoire humaine.

L’islam ne reconnait que la force, il est temps de le contrer efficacement et de briser ainsi le silence imposé aux Français depuis des décennies par l’oligarchie politico-médiatique notamment celle qui se définit de gauche, en leur faisant croire qu’ils sont islamophobes ou racistes, et pour éviter les tracasseries du djihad judiciaire et du tribunal de l’antiracisme, ces derniers sont contraints de raser les murs en baissant les yeux dans leur propre pays.
Aux dernières nouvelles, la France Insoumise, mais en réalité la France dhimmie, prévoit d’organiser une manifestation le 23 septembre contre l’interdiction de l’abaya dans les collèges et dans les lycées. Une fois de plus, la gauche alliée à l’islam se déclare ennemie des femmes musulmanes qui luttent au péril de leur vie pour se débarrasser du voilement qui fait d’elles des mineures du berceau au tombeau.

Avec cet appel à manifester pour le port de l’abaya dans les collèges et les lycées, Rachid Mélenchon prouve qu’il est un imam caché, alors qu’il ait le courage de l’affirmer publiquement devant les Français, et l’affaire sera entendue !
Par conséquent, tout pays soumis au totalitarisme de l’islam et du gauchisme est un pays qui se meurt à petit feu. Alors avis aux incrédules…

Je profite de cet article pour présenter mes sincères condoléances au peuple marocain qui vient d’être frappé par un terrible tremblement de terre qui a causé la mort de plus de mille personnes mais le décompte n’est pas encore arrêté, un nombre un incalculable de blessés et des milliers de sans-abris. Les Marocains méritent notre solidarité face au malheur qui vient de s’abattre sur eux.

Hamdane Ammar