Les Droits de l’Homme sont régulièrement bafoués dans tous les pays musulmans.
C’est pour cela que la France et généralement toute l’Europe devraient interdire cette idéologie, aussi nauséabonde que l’idéologie nazie du XXe siècle qui a entraîné à la mort des dizaines de millions de personnes.
Combien de dizaines de millions de morts si on laisse l’islam prospérer en Europe, voilà la seule question qui vaille d’être posée par tous les tenants du texte des Droits de l’Homme de 1948 qui jettent un regard séculaire sur l’évolution de la situation du nombre de chrétiens et de Juifs en Turquie ou au Moyen-Orient de 1900 à 2023.
Tenez, une marque symptomatique d’intolérance musulmane, voilà une jeune femme qui souhaitait se sustenter de porc en Indonésie, pays aussi fanatique que le Pakistan d’Islam, qui écope de deux ans de prison :
« Un tribunal indonésien a condamné une femme à deux ans de prison pour avoir posté sur le réseau TikTok une vidéo où elle récite une prière musulmane avant de manger du porc, pratique interdite par l’islam, religion majoritaire de l’archipel….
Le Conseil indonésien des oulémas, la plus haute instance religieuse d’Indonésie qui représente tous les musulmans du pays, avait estimé que la vidéo était blasphématoire…./…
L’an passé, la police indonésienne avait interpellé six personnes pour blasphème à la suite d’une campagne de promotion d’alcool gratuit par une chaîne de bars destinée à des clients nommés Mohammed ».
https://www.fdesouche.com/2023/09/20/indonesie-une-femme-ecope-de-2-ans-de-prison-ferme-et-15-000-euros-damende-pour-avoir-mange-du-porc-en-disant-bismillah-dans-une-video/
https://actu.orange.fr/monde/indonesie-prison-pour-une-femme-ayant-poste-une-video-ou-elle-prie-et-mange-du-porc-CNT0000027tLz5.html
Cette idéologie musulmane intolérante, tyrannique et fanatique est pourtant désormais protégée de certaines Cours de justice européennes, en contravention frontale de la Convention européenne des Droits de l’Homme qui nous sont pourtant vantés comme étant de la partie des valeurs de notre continent.
Même les défenseurs des droit indonésiens n’en peuvent plus de l’ignominie musulmane :
« Les groupes de défense des droits dénoncent régulièrement un usage détourné de la loi pour viser des minorités religieuses.
L’ex-gouverneur de Jakarta, Basuki Tjahaja Purnama, de confession chrétienne, avait été condamné à deux ans de prison en 2017 pour des accusations controversées de blasphème ».
Car en Europe, c’est une ressortissante autrichienne qui a été condamnée pour blasphème envers l’islam figurez-vous. Il faut dire que le droit pénal autrichien s’y prête en tordant un peu les analyses.
https://legal-doctrine.com/edition/la-cour-europeenne-des-droits-de-lhomme-adopte-la-definition-du-blaspheme-de-la-charia/
https://www.humanrights.ch/fr/pfi/fondamentaux/application/conseil-europe/credh/arrets-credh/arret-cedh-mahomet-autriche-paix-religieuse
Si on résume la position combinée de Humanrights, « il est important de souligner que la CrEDH n’a pas condamné Elisabeth Sabaditsch-Wolff pour avoir insulté Mahomet, comme le supposent plus ou moins explicitement les critiques. Elle a au contraire souhaité protéger l’État dans son pouvoir de prendre des mesures et d’administrer la justice pour préserver la paix religieuse dans un contexte bien difficile », et de la CEDH qui confirme la condamnation par les cours autrichiennes de dame Elisabeth « elles ont indiqué en particulier que ces propos n’avaient pas été tenus d’une manière objective contribuant à un débat d’intérêt général (par exemple sur le mariage d’un enfant), mais pouvaient uniquement être compris comme ayant visé à démontrer que le prophète Mohamed Salla Allah ‘alayhi wa Salam n’était pas digne d’être vénéré », on est fondé à considérer qu’un homme de plus de 50 ans qui consomme avec une prépubère de 9 ans est digne de vénération à partir du moment où il reste avec elle jusqu’à sa mort.
Or il y a une inconséquence totale dans la motivation de l’arrêt de la CEDH qui le rend immédiatement caduc donc non avenu pour un juriste logicien.
Ladite Cour européenne pour confirmer le délit de blasphème (outrage à une doctrine religieuse) prononcé par les tribunaux autrichiens met en avant le manque d’objectivité des propos tenus par notre mécréante Elisabeth.
Faux et archi-faux puisque les chroniques musulmanes relatent elles-mêmes des faits historiques, donc avérés normalement (nous allons voir que cela est contesté), qui relèvent donc d’une réalité objective révélée publiquement, « La plupart des hadiths (recueils de récits concernant les paroles et les actes de Mahomet Salla Allah ‘alayhi wa Salam) confirment que Aïcha était prépubère au jour de son mariage et n’avait que neuf ans quand le mariage a été consommé ».
La Cour européenne continue de se disqualifier copieusement quand elle assène, pour conforter les tribunaux autrichiens, que « La Cour souscrit à l’avis des tribunaux nationaux selon lequel Mme S. était certainement consciente que ses déclarations reposaient en partie sur des faits inexacts et de nature à susciter l’indignation d’autrui. Les juridictions nationales ont estimé que Mme S. avait subjectivement taxé le prophète Mohamed Salla Allah ‘alayhi wa Salam de pédophilie, y voyant sa préférence sexuelle générale, et qu’elle n’avait pas donné à son auditoire des informations neutres sur le contexte historique, ce qui n’avait pas permis un débat sérieux sur la question ».
Nous avons vu qu’il y a lieu de s’étonner de tribunaux qui considèrent des faits comme inexacts alors qu’ils sont véhiculés par la doctrine islamique.
La CEDH méconnaît également la contemporanéité des propos ainsi que l’espace géographique dans lequel ils ont été tenus, savoir l’Autriche du XXIe siècle : le prophète n’a pas été subjectivement taxé de pédophile, mais implicitement taxé de pédophilie par rapport aux lois existantes dans de nombreux pays européens où la relation avec une mineure par un adulte est sanctionnée pénalement.
En effet, je fais ici l’effort d’une hypothèse, à partir du moment où la relation avec une mineure par un vieux devient vénérable, quid des lois pénales en France par exemple même si je fais vœu de rester avec elle jusqu’à ma mort ?
La loi pénale française m’autorise-t-elle cette relation ?
Sinon, faut-il modifier la loi française et autoriser l’enlèvement au sérail dès l’âge de 6 ans ?
Matzneff ne devrait-il pas être réhabilité, et ne devrait-on pas donner son nom aux collèges et lycées en remplacement de celui de Rosa Parks ou Mandela pour édifier les jeunettes pubères et prépubères et les enjoindre à l’adoration ?
« Or, le consentement et l’accord ne peuvent provenir que d’une personne qui est en âge de prendre consciemment une telle décision. Comment Aïcha qui avait, selon les traditionnistes, six ans à l’époque, aurait-elle pu donner son avis en connaissance de cause à cet âge-là ? ».
https://www.lescahiersdelislam.fr/Aicha-mariee-au-prophete-a-l-age-de-neuf-ans_a2048.html
Les cahiers de l’islam sont dubitatifs sur l’âge de Aïcha retenu par les commentateurs, ce qui infère que les hadiths et la doctrine musulmane ne seraient pas fiables, voire mensongers.
« Aïcha mariée au prophète à l’âge de neuf ans est donc plus un mythe de la transmission historique de l’islam qu’une réalité et la déconstruction historique de cette question, comme tant d’autres, est aujourd’hui une exigence morale et éthique au nom des principes mêmes de cette religion ».
Ainsi, ici, nous amorçons la critique la plus offensive qui soit contre les Cours autrichiennes et la CEDH qui se sont baguenaudées dans l’acceptation du dogme sans interroger les critiques en reprenant leurs propres turpitudes par leur attendu dans le reproche fait à Elisabeth d’Autriche condamnée au motif “qu’elle n’avait pas donné à son auditoire des informations neutres sur le contexte historique”, ce qui n’avait pas permis un débat sérieux sur la question ».
Reprenons, l’incriminée fait un séminaire au cours duquel elle porte un jugement de valeur par rapport aux normes sociales et pénales actuelle sur des faits objectifs concernant Mahomet et Aïcha tels que rapportés par les doctrines.
Les Cours de justice européennes lui dénient la notion de discussion sur des faits pour lui substituer et ne garder à charge que la seule notion de jugement de valeur conduisant à un outrage aux doctrines religieuses, ici l’islam.
Si le jugement de valeur est patent pour qui sait lire et qui sait le poids des mots, je taxe une personne comme ayant pratiqué la pédophilie, je juge en valeur par rapport à ses actes objectifs et aux normes sociales et pénales de jugement dans lesquelles je baigne, sinon j’aurais ajouté à mon propos par exemple qu’« à l’époque il s’agissait de pédophilie, condamnation qui heureusement aujourd’hui n’est plus un délit et est même digne de vénération ».
On ne voit pas comment un jugement de valeur peut conduire à un outrage aux doctrines religieuses, surtout dans un pays européen qui vit dans sa modernité : c’est aux religions de s’adapter, pas aux citoyens de se faire religieux fanatiques, or c’est bien l’intention implicite de ces Cours qui se qualifient encore de « civiles », muer chaque citoyen d’Europe en Ayatollah sourcilleux.
Figurez-vous que mon guéridon a bougé en masse comme les migratoires cette nuit, Voltaire m’a laissé un mot gravé à la fine, « ils sont encore plus cons dans ce siècle que dans le mien » m’a-t-il assombri le moral.
Ici c’est donc le Citoyen de son siècle qui est attaqué dans ses libertés de penser, juger, choisir, diffuser les vérités et sa faculté d’entendement, bref un déni de justice dans un pays européen pratiqué par des Cours autrichiennes, et une CEDH, islamiques.
Il s’ensuit que lesdites Cours ne peuvent plus être considérées comme des Cours civiles aptes à juger le citoyen qui se sont muées en Cours religieuses chargées de traquer l’opposant aux dogmes comme au Moyen Âge ou pendant les guerres de Religion.
C’est un retour de plusieurs siècles en arrière du droit européen vers les heures les plus sombres.
Des critiques musulmans eux-mêmes doutent de la doctrine coranique communément admise.
Les Cours se dispensent pourtant de faire des recherches fines sur ces doctrines tout en reprochant à notre impétrante Elisabeth d’avoir fait état de renseignements inexacts et de n’avoir pas donné d’informations sur le contexte historique.
Elles font fi en outre de la liberté d’expression visée à l’article 10 de la Convention européenne des Droits de l’Homme en se ralliant aux dogmes islamiques.
Les Cours, pour moi, ont raisonné en Sections spéciales dignes de l’Inquisition quand le bûcher était dressé alors même que l’acte d’accusation n’était pas encore rédigé avec la circonstance aggravante que l’abjuration salvatrice n’a même pas été proposée à l’incriminée contre la relaxe comme Galilée avait pu en bénéficier.
Il y a de la volonté d’islamiser notre continent là-dedans.
Les Cours ne s’en cachent même pas d’ailleurs dans leur attendus quand elles annoncent que le jugement intervient dans un contexte de « préserver la paix religieuse dans la société autrichienne » ou selon les commentaires de Humanrights « pour l’Autriche dans le cas d’espèce, estimant que le pays est le mieux à même d’évaluer conformément à sa loi pénale quelles déclarations sont susceptibles de perturber la paix religieuse et par conséquent l’ordre public…/…
il est d’une importance cruciale que les hommes politiques, dans leurs discours publics, évitent de diffuser des propos susceptibles de nourrir l’intolérance. » (Requête n° 59405/00, Erbakan c. Turquie, § 64). Concrètement, elle ne fait ici que réitérer une conclusion essentielle: dans toute société démocratique, l’exercice de la liberté d’expression comporte des devoirs et des responsabilités.
Vous la voyez plein pot l’astuce, sous couvert « d’éviter de diffuser des propos susceptibles de nourrir l’intolérance », on laisse prospérer une idéologie totalement intolérante à la manière des forcenés et diffuser le Coran qui n’est qu’un bréviaire de haine envers le non-musulman.
À cause de la Cour européenne des Droits de l’Homme, le porc et l’alcool vont bientôt finir par être interdits de consommation dans toute l’UE pour blasphème puisque ces produits pourraient aussi être « susceptibles de nourrir l’intolérance ».
Moi, je serais vigneron ou éleveur de truies, j’irais bourrer les urnes pour Reconquête et Zemmour aux prochains scrutins.
Accessoirement, j’irais vérifier le stock de munitions.
Jean d’Acre
Marine c’est Méloni.
à propos d’Aicha ; un journaliste demandait à un imam si cela ne le gênait pas un peu que le chamelier ait pris pour femme une gamine de 6 ans …. réponse outrée de l’imam : c’est faux ! il a attendu qu’elle ait 9 ans pour la consommer.
Ouf : tout va bien .
ils ne doutent de rien ces mecs-là !!!… eux aussi c’est à ça qu’on les reconnaît…
l’important c’est de grand-remplacer les blancs d’europe occidentale en les transformant en consommateurs