Libération s’indigne : que des Blancs dans l’équipe d’Italie !

 

Alors que l’équipe d’Italie s’apprête à disputer son deuxième match de l’Euro, après sa victoire contre la Turquie, l’inénarrable journal Libération s’indigne : pas de diversité dans l’équipe d’Italie, il y a quelque chose qui cloche… De quoi remettre en cause le droit italien de la nationalité, trop basé sur le droit du sang, dixit la”Pravda” du boboisme germanopratin : c’est à cause de cette anomalie, ce vestige d’un autre âge que la squadra azzura ne compte aucun joueur d’origine extra-européenne. Et même de non-Italien de souche, car effectivement cette “Nazionale” porte bien son nom : elle est vraiment nationale.

Mais pour Libé, pour la gauche et les mondialistes, de national à nationaliste, il n’y a qu’un pas. Sur les réseaux sociaux, la fameuse “diversité” bien de chez nous s’est déchaînée suite à la présentation de la photo officielle de l’équipe transalpine : “Pas un Noir, pas un Arabe, je suis dégoûté wesh”, “On dirait un défilé de l’armée de Mussolini”, “Mussolini aurait été content” et tant d’autres réflexions d’une finesse et d’une subtilité rares. Et en plus, suprême outrage, les azzuris n’ont visiblement pas l’intention de mettre un genou à terre, en hommage à Black Lives Matter. Beaucoup déplorent la non-sélection de Moise Keane et de Stéphane El Sharawy : mais le premier revient de blessure, le second est en petite forme. Mais le sélectionneur devait les prendre quand même, c’est devenu une obligation.

Car aujourd’hui, pour tous ces gens, le fait d’être blanc suffit pour être considéré comme raciste. Et ce en dépit des récents faits divers, qui démontrent, s’il le fallait, que loin d’être l’apanage des Européens, certaines victimes désignées du racisme ont largement dépassé leurs supposés “maîtres” en la matière. À en croire tous ces gens, il faudrait presque instaurer des quotas dans les équipes de sport : mais à ce jeu- là, quid de l’équipe de France ? Faudra-t-il sortir Kante pour le remplacer par Digne, au nom de l’équité raciale ? Au vu des commentaires, le responsable des réseaux sociaux de la fédération de foot italienne a soupiré : “Nous vivons dans un monde de fous”… Un monde de fous où un journal français s’arroge le droit d’exiger du peuple italien qu’il change son code de la nationalité, une injure à la doxa mondialiste : telle est la conception gauchiste de la liberté et de la souveraineté des peuples…

Olivier Piacentini