Libre-penseurs, allez vous faire foutre !

(Poème vaguement inspiré par la  «  Chanson pour L’auvergnat » de Georges Brassens)

Référence à la situation des Sables-d’Olonne, où, à l’instigation de la Libre Pensée, le tribunal administratif a décidé que la ville avait six mois pour déboulonner la statue de saint Michel, qui, paraît-il, violerait la laïcité. À noter qu’un référendum local s’est traduit par le fait que 95 % des votants sont hostiles à la décision des juges.

https://www.fdesouche.com/2022/03/06/aux-sables-dolonne-la-statue-de-saint-michel-pourrait-etre-bientot-deboulonnee/

Jean Regourd, président de la Libre Pensée de Vendée, à l’origine du recours contre la statue de saint Michel aux Sables-d’Olonne.

La justice t’a donné raison

Toi, le laïcard franc-maçon,

Toi qui te disais offensé

Par Marie sur l’Île-de-Ré.

Tu chassais la « superstition »

En fils de la Révolution,

Au nom de la « Libre Pensée ».

Tu n’es qu’un bouffeur de curé,

Tu ne distilles que la haine,

Tu te fous de faire de la peine,

De blesser ceux qui prient le Ciel,

Et croient à la vie éternelle.

Refrain : Toi, l’ordure quand tu mourras,

  Quand le croque‐mort t’emportera,

  Qu’il te conduise droit chez Satan,

  Je crois qu’il t’attend.

Tu peux être content de toi,

Et tu ne caches pas ta joie,

La haine chevillée au corps,

Tu n’as pas le moindre remord.

Tu es heureux car en Vendée,

Coin jadis catholicisé,

Un jugement (avant appel)

A eu la peau de saint Michel.

Car ton combat est sans merci :

Tu fais la guerre aux crucifix.

Mais tu n’attaques qu’une croyance,

Celle-là même qui fit  la France.

Toi, salaud quand tu crèveras,

Quand la faucheuse t’emportera,

Qu’elle te livre à Lucifer,

 Il saura quoi faire !

Et tu te crois, pauvre imbécile,

Triste couillon, pauvre débile,

Hérault de la laïcité,

Des athées autoproclamés.

En fait, tu n’es que le lampiste

Du Nouvel Ordre Mondialiste,

Qui sous couvert de religion

Veut détricoter la Nation.

Toi, bien sûr, tu n’as rien compris,

Trop aveuglé par ton mépris

Pour la croyance des chrétiens,

Qui, pour toi, sont pis que des chiens.

 

Mais un jour tu disparaîtras,

La camarde t’emportera,

Qu’elle t’emmène par la peau des fesses,

Tout droit chez Hadès.

                                                                                                                                               -2-

Jules Ferry et l’Émile Combes

Doivent se retourner dans leur tombe :

Anticléricaux forcenés,

Ils ne pouvaient imaginer

Que quelques salopards haineux

Arriveraient à faire pire qu’eux.

Surtout ne va pas quémander

Chez moi un brin de charité.

Je n’ai un devoir de chrétien

Qu’à l’égard  de mon prochain.

Hormis le fait que tu m’énerves,

Je t’assimile à une merde.

Les salauds de ton acabit,

Pour parler franc, je les conchie,

Tu peux crever, vieille fripouille,

Je m’en bats les c……. (1)

Cédric de Valfrancisque

1) On notera la pauvreté des rimes de Cédric de Valfrancisque  qui a peu de chance d’entrer à l’Académie française (Note de l’éditeur)