C’est en voyant la une racoleuse du quotidien auvergnat La Montagne, édition du mardi 21 mars, que j’ai pris connaissance du dossier spécial intitulé « L’extrême droite à l’assaut de la fac ».
En pages intérieures, l’ambiance devient anxiogène car l’allégation mue en une « brutale offensive… ».
« Menaces, tags racistes, violences : l’offensive de l’extrême droite atteint des niveaux inédits à l’université de Clermont. »
Clermont ici, c’est Clermont-Ferrand, une des villes célèbres par son insécurité et ses faits-divers ordinaires que la lecture quotidienne de la rubrique dédiée ne peut pas taire. Ne serait-ce que pour garder du lectorat ponctuel au canard et contenter ses abonnés.
La consultation de ces faits-divers dans les numéros aux archives municipales et départementales suffira à éclairer le plus dubitatif des bons pères de famille.
La ville et son agglomération sont sous la coupe du socialiste réélu Olivier BIANCHI, qui coche toutes les cases de son parti, comme celui des Verts, en matière d’incivilités de quelques sauvageons qui vous étripent gaiement le soir venu et même en journée.
https://www.ouest-france.fr/auvergne-rhone-alpes/clermont-ferrand-63000/faits-divers/
Il suffit de faire la revue de presse des éditions de la PQR Auvergne-Rhône Alpes pour mesurer l’ampleur des dégâts.
QUI VIENT DE CLERMONT-FERRAND ?
https://youtube.com/shorts/tD5fGdOohKE?feature=share
Alors pour le landernau politique rose et médiatique local, mieux vaut parler d’autre chose, même maladroitement pour introduire la double page numérotée 2 et 3 qui vise un syndicat et des organisations identitaires. Disons groupuscules, ça effraye davantage le lecteur.
Maladroitement d’ailleurs, car l’article commence par avouer que si les facs de Clermont-Ferrand avaient coutume d’être un vivier de gauchistes, le vent est en train de tourner.
Mais pour La Montagne, il ne peut s’agir que du fait de l’intervention musclée d’une hypothétique extrême droite.
Même pas peur du ridicule quand à contrario, partout dans le pays, ce sont des violents de la bien réelle extrême gauche et des nervis dits antifas, utiles au pouvoir, qui bloquent et saccagent les universités et qui se permettent d’intimider les étudiants, jusque dans les transports en commun.
Ce qui n’empêche pas La Montagne d’inverser les rôles en relatant d’obscures jérémiades à gauche, comme quoi la colère se conjugue avec une peur bleue d’être attaquée. Une sorte de ressenti.
En réalité une sacrée trouille de perdre le contrôle des idées de gauche chez des étudiants qui réfléchissent.
Une sacrée trouille que les facs redeviennent un vrai creuset d’études et non des machines à diplômer les clients de la bien-pensance contre la France, son Histoire, ses valeurs morales, sa chrétienté et sa place dans le concert des Nations.
Bref, en face des enseignements médiocres utiles à la crétinisation des jeunes, comme le démontre l’écrivain Jean-Paul Brighelli, opposer la formation de vraies élites, loyales à leur patrie, et non de futurs politicards destinés à servir les intérêts de la finance internationale, en promouvant toutes les idéologies de décadence qui les accompagnent.
Et La Montagne d’insister pesamment sur des « témoignages » de gauchistes paraît-il coursés dans les couloirs, des bousculades et de nébuleuses intimidations proférées.
Un encadré (terme de presse, précisons bien: pas un gauchiste, un jeune communiste ou un adhérent à l’Unef encadré) liste les présumés coupables.
Pêle-mêle on cite la Cocarde étudiante, accusée de tracter, de coller et d’être sur les réseaux sociaux. Une horreur.
Et en plus, ces fâcheux voudraient s’inscrire dans le maximum d’instances représentatives de l’université et de la vie étudiante. Et puis quoi encore !
Pour sûr qu’en plein fief socialiste, la Cocarde défrise :
« Comment ne pas faire l’amer constat des effets conjoints du discours soixante-huitard et de l’idéologie libérale, ainsi que des fruits contemporains de leur union, sur notre génération ? L’Université tend de plus en plus à s’ériger comme bastion de la pensée unique et de la déconstruction culturelle, par le biais de colloques, de nouvelles filières d’étude, d’articles “scientifiques” ou tout simplement par les cours qu’elle dispense. Il est temps de réagir. »
Notre initiative est née du constat suivant : depuis trop longtemps la jeunesse étudiante n’a le choix qu’entre deux trajectoires. Ou l’”apolitisme” et le désintérêt absolu pour le bien commun, qui débouchent généralement sur un individu absolument perméable à tous les conformismes de l’époque. Ou le gauchisme culturel, dont l’unique préoccupation est de débusquer un fascisme fantasmé et dont l’obsession est la mise à plat des quelques vestiges de notre civilisation au nom de la défense de toutes les “minorités”. »
Avec la disparition de tout syndicat étudiant de droite digne de ce nom – ou ne subsistant qu’en étant réduit au rôle de main d’œuvre électorale – il était temps de construire une voie alternative.
https://cocardeetudiante.com/droite-etudiante/
Et la Cocarde d’enfoncer le clou :
« L’avenir promis d’une humanité “mélangée”et destinée à l’être toujours davantage n’est pas une fatalité. Chaque peuple doit pouvoir défendre le principe du “droit à rester lui-même”, car aucun n’est substituable à un autre et nous savons, à la lecture de l’Histoire, que toute disparition en la matière est irréversible. Nous refusons que l’immigration soit synonyme d’implantation massive de populations étrangères, ce qui d’ailleurs est à l’opposé du vécu historique de la France où l’immigration fut avant tout l’histoire d’itinéraires individuels. Ceux de peintres, d’écrivains, de sculpteurs, de musiciens, de savants, de philosophes, etc. Nous disons non au changement de peuple. »
https://cocardeetudiante.com/droite-etudiante/
Alors un conglomérat politique de syndicats et d’associations (vraisemblablement subventionnés), le « Collectif Nous », entendait manifester contre l’extrême droite, dans le cadre de la Journée internationale pour l’élimination de la discrimination raciale (sic).
Plus risible: la Cocarde étudiante serait de mèche avec Marine Le Pen et Éric Zemmour. Comme si ces deux-là pouvaient se pifer et avaient des carrures d’extrémistes de droite !
L’une doit son poste à l’Assemblée nationale à Bayrou qui a battu le tambour pour elle à la présidentielle et l’autre s’est étalé à 7% avant de disparaître aux Législatives.
Quant à Marion de l’ISSEP, une photo lors d’une réunion atteste seulement que la Cocarde est libre d’inviter qui elle veut. Notamment pour ses conférences.
https://cocardeetudiante.com/conferences
Comme légion des volontaires français contre le bolchevisme, on a vu plus costaud.
https://cocardeetudiante.com/droite-etudiante/
La doyenne de la faculté de lettres, elle, a une indigestion de croix celtiques, symbole du christianisme celte qu’elle doit confondre avec des swastika (1) et refuse tout net l’entrée de « ses » locaux universitaires aux malotrus de la Cocarde étudiante censés les dessiner. Les croix celtiques.
D’autant qu’elle a des soupçons, dit-elle.
Car des victimes estudiantines qui se sont ouvertes à elle, ont identifié des personnes « liées à l’extrême droite ». Fortiche, puisqu’il paraît que ces affreux sont encagoulés!… sauf pour siéger pacifiquement à visages découverts, dans des réunions publiques.
Au pays de Fernand Reynaud, on pourrait dire : «Y’a comme un défaut. »
Quatre plaintes sont dans l’air et une main court.
Le porte-parole de la Cocarde étudiante se défend de tout débordement de son organisation.
Chose positive, l’idée de faire installer des caméras à l’Université est aussi dans l’air. Histoire de savoir enfin qui importune qui (2).
Article complet
Enquête
Menaces, tags racistes, violences : l’offensive de l’extrême droite atteint des niveaux inédits à l’université de Clermont.
La droite républicaine est tout à fait compatible avec le socialisme (à partir de 2 h 04 infra)
(1) certains ont même confondu croix de Lorraine et croix gammée (à partir de 2 h 05) : Conseil municipal du 10 mars 2023
https://www.youtube.com/live/5G3iSkanAn8?feature=share
POURQUOI FAUT-IL VENIR (NDLR : ou ne pas venir) À CLERMONT-FERRAND ? (Interview du maire, Olivier…)
(2) Procès en appel pour les quatre prévenus de la fac de droit de Montpellier
13 décembre 2022 Richard Roudier
Prison et mort sociale pour ceux qui ont libéré la fac de l’occupation gauchiste
Jacques CHASSAING
Quand on peut (encore) discuter et échanger avec quelqu’un qui parle de fac ou d’université, toujours lui rappeler que le niveau de plus en plus déplorable de l’enseignement et ses terribles conséquences pour notre pays ont pour origine le sectarisme et l’intolérance gauchiste, ainsi que leur scandaleuse impunité devant la justice !
L’université française, c’est la 2de république espagnole et la présidence d’Allende au Chili !
On sait comment cela a fini…
ils oublient l’extrême gauche violente, sectaire, autoritaire faisant régner sa loi, qui règne dans toute l’université: la malhonneteté intellectuelle des journaleux est sans borne, diffuser mensonges et contre vérités est la contre partie des aides à la presse qu’ils reçoivent – et si la vraie droite se réveille enfin pour combattre les gauchistes universitaires, ce n’est qu’une bonne nouvelle en espérant qu’elle continuera à les combattre
C’est pourtant bien la gauche dans toutes ses composantes qui est dominante depuis 50 ans dans toutes les strates de l’éducation nationale, et qui a endoctriné plusieurs générations de français. La situation sociétale et civique désastreuse d’aujourd’hui qui ne fait qu’empirer, n’est que la résultante de la politique sociétale gauchiste, et ce même quand le gouvernement était de droite. La dite “extrême droite” sert de bouc émissaire, car elle n’a jamais été ni au pouvoir ni majoritaire dans la société, les médias en majorité “gauchisés” depuis des décennies, sont eux aussi complices de toutes ces manipulations et désinformations.
Ce gros maire ferait bien de se mettre au régime au lieu de croire à la menace pollution. C’est sa male bouffe qui l’emportera !
AH ….. la belle époque de la Fac de Droit d’ Assas ou aucun gochos n’osait pénétrer !
la presse est payée par le pouvoir pour distiller des fakeniouzes, la preuve!