Conversation, en 2120, entre Candide et le professeur Lucidix, historien, à propos de ce qui se passait en France un siècle plus tôt.
Candide : – Pourquoi, en moins d’un demi-siècle, les Sarrazins ont-ils réussi à pénétrer et s’installer en masse dans le territoire des Francs ? Comment ont-ils pu imposer leur pouvoir, leur législation, leurs coutumes, leur économie dans plus de sept cents parcelles, dénommées « quartiers », au point que le gouvernement franc, tétanisé à l’idée d’avoir à affronter de possibles émeutes, a donné l’ordre à sa police de ne plus se montrer dans les dits quartiers ?
Lucidix : – Les envahisseurs ont toujours eu des complices à l’intérieur du pays, et de plus en plus nombreux au fur et à mesure qu’ils pouvaient plus aisément corrompre.
Candide : – Certes. Mais alors pourquoi les chefs, les intellectuels, le peuple tout entier ne se sont-ils pas dressés pour dénoncer ces traîtres, les condamner pour intelligence avec l’ennemi et, ensuite, chasser l’envahisseur ? Je ne comprends pas.
Lucidix : – L’explication est simple. Elle tient en deux mots : « ethnocentrisme » et « religion », le second n’étant, en l’occurrence, qu’un dérivé du premier
Ethnocentrisme. Les Européens, qui, en quelques siècles, avaient dominé le monde, n’ont jamais porté vraiment attention aux civilisations qu’ils avaient vaincues. Et quand ils l’ont fait, ils ont fondé leurs jugements de réalité et leurs jugements de valeur en prenant pour critères ceux de leur propre civilisation. Utilisant la même grille d’analyse pour toutes les civilisations, ils en sont arrivés, par un dérapage logique stupide, mais facile à comprendre, à l’idée que, tout compte fait, les civilisations n’étaient pas fondamentalement différentes entre elles. (Analysez le chinois et le turc avec les définitions de la grammaire du français ; vous conclurez que ces langues sont quasiment sœurs.) Les civilisations ne se distinguaient que par leur degré de développement dans une montée de toutes vers le stade supérieur, celui des Européens, maîtres du monde. (On croyait alors au « Progrès universel ».). Ces idées, conformes à l’air du temps, ont remplacé dans la tête des Francs des vérités que leurs ancêtres connaissaient de toute éternité : deux civilisations peuvent être différentes l’une de l’autre, non par suite de leur niveau de développement, mais par nature, radicalement, génétiquement ; d’autre part, rien ne prouve que toutes les civilisations soient disposées à renoncer à leurs spécificités pour se couler dans le moule européen ; enfin, spécificités parmi d’autres, certaines civilisations sont, par nature et/ou tradition, guerrières et expansionnistes et la cohabitation avec l’une d’elles sur un même territoire est source d’affrontements, jusqu’à une guerre, inévitable, qui aboutira à la partition ou à l’expulsion du vaincu.
En particulier, n’ayant plus à se défendre contre l’agressivité des musulmans comme ils avaient dû le faire pendant quatorze siècles, les Européens n’ont plus pris en compte cette agressivité dans leur vision de l’islam. Ils n’ont pas vu ou ils ont oublié que, dans ses textes fondateurs comme pendant toute son histoire, l’islam considère la guerre contre les autres et pour son expansion comme un devoir commandé par Dieu. Et la guerre sous toutes ses formes, à l’imitation des actes de son fondateur, « le beau modèle » : combat, massacre, torture, mise en esclavage, épuration ethnique…, le conflit ne devant cesser qu’avec la disparition complète et définitive des civilisations non musulmanes.
Le peuple franc, qui constatait des différences criantes entre lui et ses envahisseurs, restait méfiant à l’égard de l’islam et, surtout, des musulmans, qu’il constatait de plus en plus nombreux chez lui et de moins en moins désireux de « s’européaniser ». Les gouvernants, les élites, les collabos ont alors dissous ses appréhensions par un mot : Religion. L’islam n’était qu’une religion parmi d’autres, comme le christianisme ou le judaïsme. Et la majorité des gens, de gré (pour se rassurer), sans le savoir (par l’entremise des médias) ou de force (grâce à une justice aux ordres) ont avalé la pilule, qui était un poison mortel.
Ignorer le système juridico-politique de l’islam et le réduire à une « religion », c’était lui accorder le statut juridique du christianisme et du judaïsme tel que défini par la loi de 1905. C’était, en fait, en lui reconnaissant « la liberté de culte » (le mot « culte » n’existe pas en islam, et pas davantage la « liberté »), lui laisser légalement toutes les facilités pour prendre ses aises chez les Francs. À partir des années soixante-dix, l’islam, sous le masque du mot « religion », a mis en place et n’a cessé de développer ses moyens de propagande et de recrutement, d’armer moralement ses fidèles, d’exercer sa pression sur les tièdes et les indifférents, de s’assurer la complicité des belles âmes attachées « aux valeurs de tolérance de la république, aux droits l’homme, à la lutte contre le racisme et les discriminations, etc. » Mosquées, écoles, aumôneries dans l’armée et les prisons, financements divers, légaux ou non, émissions régulières dans les médias de service public, procès et diffamation envers les esprits critiques… Tout cela est né de l’équation : islam = religion.
Aucun responsable politique d’envergure n’a avancé le diagnostic qui s’imposait et que je résume ainsi : « Tant que le droit français définira l’islam comme une religion, tant que ce totalitarisme n’aura pas été requalifié juridiquement, il ne cessera de progresser, jusqu’à ce que le rapport de force entre Sarrazins et Francs soit inversé et alors, la guerre éclatera entre une communauté soudée, gonflée à bloc par ses victoires incessantes, sûre d’elle-même, et un peuple en pleine décadence, débilité par des années de défaite et, aussi, par la prise de conscience soudaine de sa stupidité abyssale et persistante.
« L’ethnocentrisme des Français est suicidaire. Sauf réveil (et la première mesure à prendre, c’est la requalification juridique de l’islam), il conduit inexorablement à la mort de la France. »
Candide : – Les historiens du XXIe siècle prétendent que les années vingt du siècle dernier ont été décisives. Est-ce vrai ?
Lucidix : – Que se passe-t-il alors ? L’islam se sent suffisamment fort à l’intérieur du territoire franc pour, avec l’appui de ses collabos et des idiots utiles, engager une nouvelle phase de sa guerre de conquête.
Il s’agit cette fois de détruire la fierté d’appartenance des Francs.
Sans fierté d’appartenance, il n’y a plus de peuple. Quel qu’il soit, un peuple a besoin d’être fier de son passé, de son mode de vie qui en est le fruit ; il veut un avenir commun, en tant que peuple, et que cet avenir soit basé sur la prolongation de ce qu’il a été et de ce qu’il est.
Les envahisseurs et leurs complices ont demandé que les Francs jugent leur passé avec les critères du temps présent, en faisant ressortir tous les faits qui, acceptés jadis, seraient tenus à honte aujourd’hui (comme l’esclavage ou la colonisation). C’est de l’ethnocentrisme dans le temps. C’est du chronocentrisme.
Cette manipulation-là est, directement, une tentative d’assassinat. Le peuple franc doit haïr son histoire, son identité qui est fondée sur elle ; il ne doit plus avoir d’attachement à ses modes de vie, et pas plus à son territoire. Il doit se haïr et vouloir en finir avec ce qu’il est. Il doit donner la préférence à ses assassins sur lui-même. Le moment venu, il les laissera le tuer sans lui opposer de résistance.
Candide : – Que fallait-il faire ?
Lucidix : Refuser de définir juridiquement l’islam avec le seul mot de « religion », le sortir du champ d’application de la loi de 1905.
Le contenir en le désignant tel qu’il est : religion, sans aucun doute, mais, en même temps et de manière insécable, parti politique, totalitarisme inégalitaire et cruel, idéologie expansionniste et guerrière. Donc lui retirer ses outils d’expansion, le contrôler, le contenir et, le plus rapidement possible, poser par voie législative la question de son interdiction sur le territoire franc.
En même temps, réaffirmer la fierté d’appartenance à la civilisation de souche, partout, à l’école, dans la langue des médias et de la publicité, sur les monuments et dans les cérémonies mémorielles… et ne pas hésiter à renvoyer les donneurs de leçons aux turpitudes de leurs ancêtres en retournant les mêmes critères chronocentristes contre eux. (Dans une guerre de position, il n’est pas interdit de jeter une grenade non-explosée vers celui qui l’a lancée.)
En 2020, l’histoire était à un carrefour. Les partis politiques les plus alertés sur les dangers de l’islam allaient-ils, à l’occasion de l’élection présidentielle proche, oser débusquer l’islam de son statut usurpé de « religion » et prôner les premières mesures législatives de contre-offensive ?
Vous savez, mon cher ami, ce qui s’est passé et où nous en sommes un siècle plus tard.
René Marchand
LES JUIFS ORTHODOXES ET SEPHARADES SONT DES ARABES
Vous pensez qu’il n’y a pas de points commune entre juifs et musulmans?
Vous vous trompez gravement!
D’autre part, beaucoup ignorent que le “judaisme” est la troisieme religion apres le christianisme et l’islam
”Femmes talibans”: la secte cachée juive ultra-orthodoxe
L Islam arme de destruction massive des civilisations et de leurs populations même la terre change de nature nous dit le grand philosophe musulman Ibn Khaldoum dans une de ses citations ou il parle des territoires conquis par l Islam depuis les époques les plus reculées. Jacques Ellul sonne le tocsin des 1994 d une manière magistrale et approfondie Lire Jacques Ellul et l Islam sur Internet Pour ceux qui pensent que l Islam n’est qu une religion comme une autre lire Droit musulman He nri de Wael 120 pages tout y est le christianisme à son esprit saint l Islam son Fiqh ses houdoud droit d origine divine ce qui n interdit pas le respect de ces 2 religions et de leurs adeptes.
Monsieur Marchand, avez-vous eu connaissance de mon livre “Islam, que faire?” disponible sur Amazon, dont le titre de la première édition avril 2016 était “interdire l’islam?”
Brillant! Toujours un plaisir de lire René Marchand.
René, très très bonnes exposition et analyse des faits !!
Ce qui se passe à Dijon est cependant très très révélateur de la réalité cachée le plus longtemps possible aux gens, tant que l’INTERNET n’était pas arrivé à maturité, ce qui est le cas aujourd’hui, en termes de puissances de recherches et de réinformation !!
ll y a seulement 5 ans, JAMAIS les vidéos faites par la mafia des arabes n’auraient été montrées sur cNIOUZs !!
Et je n’ai pas d’informations concernant une vague d’arrestations de ces ORDURES de NAZISLAMISTES (pléonasme !) …
Qui a des informations, autre que celle que Boris, dans un article datant de ce soir, nous donne, mais sans donner de source(s) malheureusement :-((
Ce que vous dites est juste. L’islam est bien une totalité et la tendance est au totalitarisme anesthésiant la pensée. Mais dans n’importe quelle religion, la loi de Dieu est au dessus de la loi des hommes et chaque religion se propose comme une totalité, chaque religion cherche à se répandre. Il se trouve seulement que la France a été façonnée par le catholicisme, en est imprégnée. Pas étonnant que le catholicisme soit compatible avec la culture française. Il est juste aussi de dire que la loi de 1905 est un compromis qui concerne le catholicisme au premier chef mais pas que et que l’islam ne rentre pas dans ce cadre. Mais l’islam ne peut être interdit. Vous ne pouvez interdire de croire comme de penser. Vous pouvez juste rendre invisible l’islam.
Désolée.Les croyances islamiques de l’infériorité de la femme ne sont pas compatibles avec les valeurs universelles de l’humanité.Si je suis considérée comme un animal, je ne vois pas pourquoi je cotiserais à l’Urssaf et paierais des impôts.Je ne vois pas pourquoi je devrais être dominée par un technicien de surface alors que j’ai un bac + 9, sous prétexte qu’il a 2 couilles entre les jambes..DONC OUI L’ISLAMONAZISME DOIT ETRE INTERDIT ainsi que le culte de son fondateur criminel-pédophile et violeur.