L’islam est le culte de la mort, c’est pourquoi les musulmans ont un dégoût de la vie

assassinsPlutôt que qualifier les musulmans de bêtes comme l’a fait Abdelwahhab Meddeb, il faut chercher à comprendre pourquoi ils sont arrivés au stade de la déconnexion d’eux-mêmes, étrangers à leur propre vie, n’exerçant aucune emprise sur elle, tenus à ne suivre qu’une seule voie, le sentier d’Allah, et surtout pourquoi ils ont fait de la mort une forme de vie ? Tout bêtement pourquoi ils sont morbides et tristes à mourir. Il faut les voir à la sortie des mosquées avec leur tête de croque-mort.

Leurs mosquées sont plus lugubres et froides que les morgues qui par certains aspects dégagent plus d’hymne à la vie. Un musulman dès sa naissance commence déjà à préparer son linceul, impatient de rejoindre son géniteur, il n’est jamais le fruit de l’amour de ses parents. L’homme est la propriété absolue d’Allah. C’est lui qui décide du moment du passage à l’acte d’autodestruction. Quand un musulman commet un attentat suicide, ce n’est pas lui qui a fait le choix d’y aller, c’est Allah qui l’a désigné pour le faire. Tous ces mercenaires qui partent faire le djihad en Syrie comme je l’ai entendu dire un jour sur une chaîne de télévision, ne le font pas par convictions personnelles dont ils sont dépourvues, c’est Allah qui en fait ses heureux élus.

L’islam comme toute idéologie totalitaire voue une haine féroce à l’humanisme à cause de ses vertus salutaires et libératrices pour l’être humain. Surfant sur les peurs et les angoisses, et érigeant en idéal de vie le culte de la terreur pour gagner le paradis, il multiplie des mises en garde à ses fidèles pseudos sacrées pour les empêcher d’entendre toute voix susceptible de les détourner de leur état d’assujettissement total et qui leur fait prendre conscience du vrai sens de leur existence d’êtres humains responsables oeuvrant pour leur bien-être commun et celui de la communauté humaine universelle.

L’homme musulman n’est pas né pour vivre, il est né pour anéantir son existence et celle d’autrui. L’islam développe pour les siens une forme de nihilisme toute particulière où l’ultra violence est tournée vers soi et vers ses semblables que l’on peut qualifier de sadomasochisme, où l’on jouit de sa mort qui ouvre la voie à d’autres réjouissances virtuelles et fantasmagoriques et celle de ses victimes auxquelles Allah lui-même a ôté la vie. L’irréel et l’insensé sont les vrais traits de caractère de l’islam qui mérite l’appellation du stade suprême de l’absurdité humaine, une véritable pathologie mentale mortifère ou les frontières entre la vie et la mort.

Aucune mélodie ne les berce, sauf les chants funèbres d’Allah Akbar et Mahomet son prophète comme si on avait besoin de lui assener cela toute sa vie mais apparemment il est dur d’oreille et doté d’un faible Q.I.

Abrutis et assommés par les appels à la prière à toutes les heures de la journée, comment vous voulez qu’ils puissent se reposer quand les cris lugubres de leurs muezzins les sortent de leur sommeil en sursaut ? Ne dit-on pas que le repos est dans la tombe ?

Ils sont shootés comme des fous aux tons martiaux et assourdissants des hauts parleurs qui diffusent en boucle les rappels des troupes à moutonner devant Allah et à lui tendre leur cou pour être égorgé comme une victime expiatoire s’offrant “elle-même” en Holocauste à son bourreau.

Leur cité ressemble à des chambres de torture. Ils n’ont d’horizon que la haine d’eux-mêmes et l’idéalisation d’un dieu illusoire et fantasmagorique qui les manipule comme un chef marionnettiste fait valser ses marionnettes, sauf que le premier il le fait pour empoisonner la vie des hommes.

L’homme musulman n’est pas né pour travailler et pourvoir à ses besoins et ceux des siens, il n’est rien, il n’y a de place qu’à l’islam dans sa vie, aucune estime de soi, esclave de son maître, un ‘abd, il n’est qu’une poussière de son vivant, Allah est le maître de la vie de ses ouailles, ne parlons pas de leur prophète, il est au-dessus de tout, en tant que créateur de la religion de la négation de la vie humaine et du culte du suicide stade ultime pour tous les musulmans qui veulent partouzer halal dans l’au-delà mais non sans avoir satisfait au rite de passage : entrainer l’autre dans la mort qu’on s’inflige.

Un mouroir à ciel ouvert, c’est ça le monde de l’islam et le musulman est convaincu que la seule voie pour tous les hommes est la mort de la vie. Ce n’est pas par hasard que leurs femmes et leurs hommes ressemblent de plus en plus à des spectres et des épouvantails qui effraieraient Frankenstein et Dracula et tous les princes des ténèbres. Le jour est une éternelle nuit pour les musulmans, c’est pourquoi ils ne voient jamais le bout du tunnel dans lequel ils sont depuis 1435 ans. Pauvres humains pour qui la tristesse est leur seul lot de consolation. Les musulmans broient du noir et ne cessent de transformer leurs corps en cendres pour évacuer leur propre dégoût d’eux-mêmes.

Salem Benammar