L’islam et l’Afrique, les deux menaces essentielles pour notre monde

Deux problèmes majeurs bien distincts menacent notre monde au cours des prochaines décennies : l’islam et l’Afrique.

En ce qui concerne l’islam, le problème se résoudra de gré ou de force.

L’utopiste rêve d’un nouvel empire ottoman, par le dictateur turc Erdogan, disparaîtra avec lui.

Quant à l’Iran, son ambition nucléaire, destinée à menacer Israël et quelques pays arabes, ne verra jamais le jour. Trop de nations s’y opposent, y compris des nations musulmanes, ce qui motive les guerres religieuses entre sunnites, chiites, alaouites, etc.

En ce qui concerne le second problème, l’Afrique, il s’agit d’une autre histoire bien plus difficile, bien plus grave et bien plus planétaire que l’islam.

Tout d’abord un constat irréfutable : la population de l’Afrique se situait à environ 140 millions en 1900.

Elle a atteint 1 milliard 500 millions en 2020 et, selon les prévisions de l’ONU, elle pourrait être d’environ deux milliards 500 millions en 2050.

Donc soyons réalistes : si j’étais un jeune Africain, mon but, mon rêve, serait d’échapper le plus vite possible à la misère, à la famine, et aux massacres soient ethniques, soient djihadistes, (depuis plusieurs années, organisés par les fanatiques musulmans), à cette existence assez effroyable qui m’attend dans mon pays, que ce soit le Mali, le Tchad, le Soudan, l’Érythrée, la Somalie, le Niger, le Congo et j’en passe.

Et pour échapper à cette pitoyable existence qui m’attend, je serais prêt à payer de ma vie, à finir noyé en Méditerranée ou emprisonné, torturé, ou vendu comme esclave en Libye.

Et si, par bonheur, je parviens à destination, dans un quelconque pays européen, à survivre en marge de la société, dans des conditions inhumaines et contre la volonté, bien compréhensible, d’une majorité d’Européens, qui subissent non seulement une pression sociale mais également une insécurité en progression constante.

Cela en ce qui concerne le problème économique et cessons de nous illusionner sur le rôle de l’armée française en Afrique. Ce ne sont pas les quelques milliers de soldats éparpillés dans quelques points de ces pays qui résoudront la menace djihadiste, bien au contraire, puisqu’elle s’amplifie et stimule le rejet de certaines populations, qui refusent de plus en plus cette « ingérence française ».

Seule une volonté affirmée des dirigeants africains de créer une véritable force armée opérationnelle peut mettre fin rapidement aux actions criminelles de ces groupes djihadistes.

Cela se sait depuis des décennies mais ne se pratiquera jamais face à la rivalité des ethnies qui s’opposent, et s’opposeront, et que seule une progression économique de l’Afrique pourra résoudre, peut-être !

La chancelière allemande, Angela Merkel, bien moins représentative et m’as-tu-vu que notre Président, Emmanuel Macron, mais bien plus active et imaginative pour le bien de son pays, a compris l’équation suivante :

L’Allemagne a besoin d’une immigration sélectionnée, susceptible de fournir une main-d’œuvre qui assurera la productivité future de son pays, et cela face à la démographie actuellement en panne.

Cela est loin d’être le cas pour la France, compte-tenu des chiffres très important de notre chômage et qui ne sont pas près de diminuer vu la situation économique désastreuse, occasionnée par un confinement généralisé, rendu obligatoire par le manque de masques et de tests.

Or l’immigration actuelle ne convient pas à Angela Merkel, elle a donc, après un séjour récent en Afrique, décidé de « renvoyer » dans leurs pays, mais sous certaines conditions, les centaines de milliers d’immigrés clandestins, en situation irrégulière et donc improductifs.

Nous serions très bien inspirés d’examiner attentivement cette solution allemande, qui serait sans doute bénéfique et pour la France et pour l’Afrique.

Le revenu mensuel en Afrique se situe entre 30 dollars (Érythrée) et 350 dollars (Algérie) soit une moyenne générale de 156 dollars mensuels.

Un immigré clandestin, en situation irrégulière en France, ne présente aucun intérêt pour notre pays et nous coûte environ, tous frais confondus, de 600 à 900 euros/mois.

Pourquoi ne serait-il pas envisageable de les « renvoyer » dans leurs pays en leur proposant une aide mensuelle nominative, versée sur un compte personnalisé et numérisé, avec prise d’empreinte digitale afin d’éviter les éventuels « retours » et « fraudes », d’environ 300 euros à 500 euros mensuels suivant critères ?

Ils seraient donc en situation financière favorisée dans l’objectif de réaliser et de créer des commerces, des artisanats, voire des fabriques et, pourquoi pas, avec une aide des pays européens, des usines, et cela offrirait aux candidats à l’immigration d’envisager la solution de demeurer dans leurs pays ?

Si nous ne comprenons pas les réalités qui nous attendent, à mon humble avis il sera inévitable que l’Europe soit totalement envahie par les Africains avant la fin du XXIe siècle. 

Et que cela plaise ou non, le Grand Remplacement se sera produit ! 

Manuel Gomez