L'islam glorifie les pédophiles et tue les homosexuels

A Hammamet ville côtière tunisienne située au sud-est du Cap Bon, en ce jour funeste du 1er août 2012  en plein mois du Ramadan, l’Ange noir de la mort musulman a offert en Holocauste à Allah, cette divinité homophobe,  un Ange de la vie. Angelo. Son meurtre atroce marque l’entrée définitive de la Tunisie dans l’ère de la barbarie qui frappe tout le monde dit musulman.

N’importe qui d’entre nous aurait pu être à la place d’Angelo. Son meurtre de caractère sacralisateur jette le voile noir de l’indignité humaine sur la Tunisie. Un nouveau sacrifice d’Abraham dans la pure tradition mahométane pour apaiser la colère de cette divinité jamais repue de chair humaine surtout de celle de celui qui est différent de soi mais ô combien proche.
Angelo cumule tous les péchés aux yeux de l’islam, un associateur doublé d’un fils de Loth que Mahomet dépourvu pourtant de toute morale sexuelle ordonne de tuer. Il aurait dit : «Tuez ceux qui s’adonnent à l’acte du peuple de Loth » (Sentence prophétique rapportée par Abou Daoud, Tirmidhi et Ibn Maja)
De même : «Si vous trouvez quiconque en train de pratiquer les pratiques du peuple de Loth, tuez-les, que ce soit celui qui commet l’acte ou celui qui le subit » (Tirmidhi, Abou Daoud, Ibn Majah).
C’est pourquoi personne du voisinage n’est intervenue pour ne pas troubler l’accomplissement de l’acte purificateur et de peur de susciter ainsi la colère divine. Un musulman ne vole pas au secours d’un infidèle quand il est châtié par ses coreligionnaires selon la loi de l’islam.
De terre d’accueil de tous les hommes indépendamment de leur croyance, de leur origine et orientation sexuelle, elle devient leur terre hostile et inhospitalière. Grâce au vote d’adhésion à la volonté de Dieu représenté par son parti le mouvement sectaire et anthropomorphe d’Ennahdha, un jour du 23 octobre 2011, la Tunisie est en train d’amorcer une marche-arrière toute à une vitesse-éclair. Aussi, l’assassinat d’Angelo devient le prélude d’une ère sombre et effrayante qui s’ouvre devant les tunisiens.
Ce crime abominable est le témoin de la vraie nature de ce peuple ou tout au moins de ceux qui avaient voté pour les islamistes-homophobes-de-façade.
La Tunisie que le monde entier louait à une certaine époque pour ses vertus humaines et sa douceur de vivre qui avaient séduit Angelo s’avère être une Tunisie fanatique inhibée par la religion et qui a vécu longtemps dans l’illusion de l’humanité, mais avec ce meurtre elle lève le voile sur sa vraie nature hideuse, immonde, raciste, sauvage, homophobe et hypocrite.
 Angelo était comme cette lumière qui illuminait la Tunisie et qu’Ennahdha commanditaire de ce crime immonde vient d’éteindre pour plonger le pays dans le noir de l’infamie humaine.
D’autres meurtres suivront et d’autres Angelo périront. Faute d’être tous coupables, les tunisien ne peuvent s’exonérer de leur responsabilité morale dans ce meurtre qui laissera des traces indélébiles dans leur nouvelle histoire.  Celle qui est en train de les conduire tout droit dans les limbes de l’histoire.
Ce meurtre était prévisible depuis le retour au pays de leur terroriste national  R. Ghannouchi qui n’a jamais manqué  une occasion pour jouer au père-fouettard, pour stigmatiser les homosexuels alors que lui-même souffre de graves troubles d’identité sexuelle. Nonobstant, l’un de ses affidés le dénommé Ali Larayedh homosexuel notoire, mais indigne de faire partie de la communauté homosexuelle du fait de ses penchants criminels pédophiles.
L’hostilité exacerbée d’Ennahdha qui puise ses sources dans de nombreuses sourates dont An -Naml et Al-Arâf,  à l’égard de la communauté homosexuelle tunisienne est de l’ordre surtout de l’esbroufe, de la tartuferie et de la posture histoire de ne pas dévoiler au regard de sa propre identité sexuelle tendance homosexuelle.
Justifiant ainsi un proverbe tunisien qui dit : je n’aime pas voir mes tares chez autrui et je tuerai celui qui me les rappelle. En tuant cet autre c’est son propre miroir que l’on cherche à briser en réalité. Alors que l’homosexualité  est une identité sexuelle comme l’hétérosexualité. Comme si l’une pouvait être licite et l’autre pas. Le droit de disposer de son corps et d’assumer ses choix sexuels pouvaient être un crime moral en soi.  Ce qui l’est c’est le non-respect du droit à la vie, le corps de l’enfant objet de convoitise chez les musulmans fondamentalistes qui suivent fidèlement la Sira de leur ignominieux prophète.
L’hypocrisie musulmane est sans limite quand on sait qu’il est permis de pratiquer les rapports anaux dans le sentier d’Allah.  Le 26 juin 2014 dans une émission sur la chaîne de télévision égyptienne Al-Tahrir TV un prédicateur des Frères Musulmans venait d’édicter publiquement  une nouvelle fatwa, qui autorise les terroristes musulmans à se sodomiser les uns les autres s’ils sont loin de leurs femmes, s’ils sont en voyage, ou s’ils sont en train de mener le djihad ( art. de Nasreddin al-Brakhmar : Les Frères Musulmans ont le droit de pratiquer le Djihad anal in Riposte Laïque n°370)
La filiale tunisienne à 100% de la Confrérie des Frères Musulmans ne peut se prévaloir de l’exception tunisienne, on est frères musulmans à la vie et à la mort,  la différence d’Angelo, elle n’a ni courage ni volonté d’affirmer publiquement la nature homosexuelle de ses sectateurs. Des nombreuses fatwas telles celle de ce terroriste musulman qui s’est fait agrandir son orifice anal par ses «frères » pour pouvoir y introduire une bombe, légitiment l’homosexualité, la pédophilie, le viol, l’inceste, la nécrophilie dans le cadre du djihad dans le cadre de la guerre malsaine de l’islam contre le reste du monde;.
En tout état de cause, n’est pas Angelo qui veut. Noble, un être pur, civilisé et humain tout simplement. On a tué un innocent, un humain qui faisait honneur à notre humanité. Angelo n’avait pas été tué parce qu’il était différent de son meurtrier c est parce que son meurtrier avait peur de cette part d’Angelo qui est en lui et qu’en le tuant il voulait tuer cet Angelo qui s’est révélé en lui. L’aversion que certains éprouvent à l’égard des homosexuels est moins une question de sexualité différente de soi, qu’une question que l’identité sexuelle nous renvoie à la nôtre.
Plus la haine est forte, plus elle est la preuve de la vraie nature non assumée de leur propre homosexualité. Ce n’est pas par hasard que les peuples les plus homophobes au monde et en premier chef les islamistes sont ceux qui abhorrent les homosexuels parce qu’ils sont leur miroir et en brisant leur miroir ils essayent de se cacher  d’eux-mêmes en se regardant du bout de la lorgnette. Leur leitmotiv est : cachez-moi cette chose que j’ose pas voir, mais parce qu’elle est tout simplement le symbole de leur propre mépris de soi. Les tunisiens en se gardant de condamner explicitement le meurtre d’Angelo démontrent leur incapacité pathologique à assumer au grand jour leur propre identité sexuelle.
Un peuple qui se détourne lui-même n’est pas un peuple d’espoir, c’est un peuple de désespoir comme celui dans lequel se trouve plongés la famille, les amis proches et lointains et tous ceux qui vivent en plein jour cette part d’Angelo qui est en eux.
Espérons que ce meurtre ignoble sonnera le glas des ennemis du genre humain et servira de catalyseur au réveil tant attendu du peuple tunisien ce dont il est permis toutefois de douter à cause de la main mise de l’islam sur la vie des hommes. Tant qu’il suit benoîtement les prescrits de sa mauvaise foi, il a ce crime immonde sur la conscience.
Angelo, en te volant ta vie, ils ont volé aussi la nôtre. On continuera à nous regarder dans notre miroir pour faire vivre cette part d’Angelo qui est en tout un chacun de nous.
Paix à ta mémoire et à celle de tous les homosexuels assassinés par l’islam.
Salem Ben Ammar
 
 

assassinés par l’islam  .
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