L’islam instrumentalise la psychiatrie pour combattre les mécréants

Après le djihad judiciaire, c’est au tour du djihad psychiatrique de faire son apparition en France.
La guerre sainte est une obligation religieuse, c’est le sixième dogme (pilier) de l’islam.
Aucun croyant ne peut se dérober au djihad, conformément au verset suivant :

Au nom d’Allah, Le Clément :
« Il n’appartient pas à un croyant ou à une croyante, une fois qu’Allah et Son messager ont décidé d’une chose, d’avoir encore le choix dans leur façon d’agir. Et quiconque désobéit à Allah et à Son messager, s’est égaré certes, d’un égarement évident » (sourate 33, verset 36).

Ce verset ne donne pas la possibilité aux musulmans de nier que le djihad n’existe pas, bien au contraire, il est obligatoire et nécessaire. Tout croyant qui pense qu’il n’est plus d’actualité, devient par conséquent un renégat. Il doute et le doute n’est pas permis.
Il est écrit dans le Coran, sourate 8 versets 59 et 60 :
« Que les mécréants ne pensent pas qu’ils Nous ont échappé. Non, ils ne pourront jamais Nous empêcher de les rattraper à n’importer quel moment. »
« Et préparez pour lutter contre eux tout ce que vous pouvez comme force et comme cavalerie équipée, afin de terroriser l’ennemi d’Allah et le vôtre, et d’autres encore que vous ne connaissez pas en dehors de ceux-ci mais qu’Allah connaît. Et tout ce que vous dépensez dans le sentier d’Allah vous sera remboursé pleinement et vous ne serez point lésés. »

Le djihad est un commandement d’Allah aux musulmans afin de combattre les mécréants et les apostats par tous les moyens. Il incite à lutter contre les ennemis d’Allah par les prêches, par les paroles, par la contribution financière, par les actes tels que l’insulte, le regard menaçant et méprisant, par l’utilisation de tout objet tranchant dans le but de tuer. Dans le cas où l’islam est en position de force, les califes ont l’obligation religieuse de lancer des razzias, des conquêtes et d’instaurer le djihad.

Actuellement, l’intimidation islamique rôde en France, surtout dans les quartiers perdus de la République.
Une nouvelle tendance du djihad est apparue en Occident et notamment en France : c’est le djihad psychiatrique. Le soldat d’Allah simule alors une démence qui lui permet de s’attaquer aux kouffar en criant “Allahu akbar”, pour les tuer, avant de mourir, devenant ainsi un martyr en rejoignant illico presto le paradis où l’attendent les soixante-douze houris promises par Allah dans le Coran (sourates 55 et 56).
Les exemples de ce djihad psychiatrique ne manquent pas.

Le cas le plus frappant fut, sans aucun doute, celui de feu Mme Sarah Halimi dont le meurtrier s’en sort avec la mention pénalement irresponsable.
L’affaire Sarah Halimi est une affaire judiciaire française qui a pour origine l’assassinat antisémite d’une femme juive à Paris en avril 2017.
En langage codé islamique, cette action a pour nom “le djihad psychiatrique”.
Un autre exemple du djihad psychiatrique s’est déroule dernièrement, quand, durant quatre jours, un chef d’entreprise a tagué et incendié plusieurs bâtiments en Seine-et-Marne. Interpellé par les forces de l’ordre, l’homme a reconnu les faits mais n’a donné aucune explication. L’expert psychiatre qui l’a examiné a conclu à une abolition du discernement.
L’auteur de ces tags et de ces incendies est présenté comme un dérangé mental. Une fois de plus, les autorités vont passer à côté du réel. Le déni est encore de mise.
Et le djihad psychiatrique ne sera jamais évoqué.

Un autre cas similaire vient de se produire. Un homme, qui aurait causé un accident de bus, le 6 mai, vers 21 h 30, sur l’autoroute A 7, à proximité de l’aire de Mornas, sur l’axe autoroutier d’Orange (Vaucluse), serait le même que les gendarmes ont fini par neutraliser. Il a crié “Allahu akbar”  avant de tenter de les tuer.
Une fois de plus, c’est silence radio. Au plus, on dira que c’est un déséquilibré, mais pas un mot sur le djihad psychiatrique.
Après le slogan “tu n’auras pas ma haine”, voilà arrivé le nouveau millésime de la guerre sainte islamique appelée la maladie psychiatrique pour ne pas mettre en cause la religion de paix et d’amour.
Et ce djihad n’est qu’un mutant du combat islamique… Bientôt, il en aura d’autres. La caisse islamique en a beaucoup en réserve.

Le djihad signifie en langue arabe combat, ou guerre sainte. Le mot djihad est employé à plusieurs reprises dans le Coran, dans près six cents versets (600) qui sont consacrés au combat contre les mécréants, les apostats et les hypocrites. Ce concept de djihad a varié au cours du temps. Le djihad est considéré comme le sixième pilier de l’islam par le sunnisme.
Le djihad n’est pas spirituel comme tentent de le faire croire, de nos jours, les Frères musulmans, en Occident, qui font de l’entrisme dans les sphères gouvernementaux, dans le but de prendre le pouvoir afin d’instaurer le califat mondial.
Le djihad, c’est la guerre sainte contre les kouffar, point barre.
Mais les idiots utiles ingurgitent facilement cet entrisme frériste qui n’est en fait qu’un djihad caché, emballé dans la duplicité.
Le djihad ne doit en effet pas être confondu avec l’ijtihad qui désigne, en droit islamique, l’effort de réflexion pour interpréter les textes fondateurs de l’islam. Et, c’est ce que tentent de vendre les oulémas qui se présentent sous le burnous de la tolérance et du vivre-ensemble.

Une fois encore, la dissimulation est appelée en renfort, car l’islam est un monstre tueur d’idées qui empêche tout débat apaisé.
Il n’y a rien de plus facile que de parler et d’agir au nom d’Allah, au lieu de se questionner avant de commettre des crimes abjects.
Le monde occidental doit apprendre à vivre avec le djihad qui n’est pas prêt de s’arrêter, car telle est la volonté de l’oligarchie politico-médiatique de Davos et de Bruxelles.
Supposons que tous les habitants de la planète Terre qui sont atteints d’une maladie psychiatrique se mettent à agresser n’importe quelle personne se trouvant devant eux ou à proximité, le monde entier serait alors en ébullition, heureusement que ce n’est pas le cas.

Pour le moment, seul l’islam, ce chéri des castrés occidentaux qui lui ont déroulé le tapis rouge, est capable de ruser quand il s’agit de combattre les ennemis d’Allah, ces mécréants qu’il faut soumettre de gré ou de force.
Enfin, selon certains médias, les Chinois considèrent l’islam comme une pathologie mentale.

Hamdane Ammar

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3 Commentaires

  1. tout à fait, hamdane, et j’invite les lecteurs à subir une épreuve salutaire en lisant le coran, et notant
    – assassins(tuez les tous), 4:90
    – misogynes (la femme est un champ à labourer à loisir)2:224, (comment une femme normale peut se dire musulmane?)
    – sadiques(du cuivre fondu à boire et des herbes sèches à manger pour les mécréants)18:97
    -scientifiques (la terre est plate comme un tapis)71:15
    etc.

  2. Oui c’est une pathologie mentale. La France se doit de construire des hôpitaux psychiatriques pour mettre ses dingues sous clef.
    C’est simple.
    Elle ne le fait pas par lâcheté.
    Elle sacrifie les victimes en déresponsabilisant les dingues sanguinaires.

    • L’hôpital psychiatrique en question existe déjà : c’est la péninsule arabique…

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