L’islamo-gauchiste Joe Biden veut “sortir l’Amérique des ténèbres”…

Le Huffington post anti-Trump de gauche : Joe Biden accepte la nomination démocrate et promet de “sortir l’Amérique des ténèbres”. Joe Biden accepte la nomination des démocrates pour les représenter dans la course à la Maison Blanche contre Donald Trump le 3 novembre 2020 et promet venir au secours de l’Amérique ! Sleepy Joe a promis de tourner la page de la peur et des divisions et s’est engagé à surmonter cette époque sombre : “L’actuel président a drapé l’Amérique dans les ténèbres bien trop longtemps. Trop de colère, trop de crainte, trop de divisions”, a déclaré Biden. “Ici et maintenant, je vous le promets, si vous me faites confiance et me confiez la présidence, je ferai ressortir le meilleur de nous, pas le pire. Je serai un allié de la lumière et pas des ténèbres”. Sleepy Joe espère contredire ses opposants qui le disent sur le déclin !

Âgé de 77 ans Sleepy Joe a assuré une rupture totale avec le président républicain sur la gestion de la crise du Coronavirus. Comme dit l’adage : Nous étions au bord du gouffre ! Avec moi, nous ferons un grand pas en avant ! “Notre économie ne retrouvera jamais sa vigueur tant que nous n’aurons pas affronté ce virus”.

“Le président continue à dire que le virus va disparaître. Il continue à espérer un miracle ! Je vais lui apprendre quelque chose : il n’y aura pas de miracle”, promettant sa stratégie nationale contre la pandémie du Covid-19 au premier jour de son mandat. Avec Joe Biden : demain on rase gratis ! “Que l’Histoire puisse dire qu’à cet instant l’Amérique est sortie des ténèbres et que l’amour et l’espoir se sont alliés pour se battre pour l’âme de notre pays. Une bataille que nous remporterons, ensemble, je vous le promets !” Ben voyons !

“Je vous fais la promesse de protéger l’Amérique de toutes les attaques, visibles et (surtout les) invisibles, toujours, sans exception et à chaque fois. L’Amérique ne fermera pas les yeux si la Russie propose des primes sur les têtes des soldats américains et ne tolérera pas une ingérence étrangère”. “Nous serons la génération qui effacera enfin la tache du racisme (le meurtre de George Floyd) de notre histoire nationale“.

Branko Marcetic, anti-k.org : États-Unis : débat. La Convention nationale démocrate (CND) révèle les contradictions du parti. Bien que Joe Biden reste bien placé pour remporter la présidence, sa victoire est loin d’être garantie. Et si lui et le Parti démocrate échouaient une fois de plus à tenir la seule promesse faite aux électeurs, la Convention nationale démocrate (CND) de cette année a montré les germes de leur défaite.

La première nuit de la CND 2020 était un événement taillé sur mesure pour un parti prêt à la défaite plutôt qu’au changement. En 2016, après une défaite électorale humiliante et proche de la délégitimation, les dirigeants démocrates ont refusé le bilan en faisant porter le chapeau à toute une série de causes : la Russie, Facebook, Jill Stein (candidat du Part vert), James Comey (directeur du FBI de 2013- 2017), etc.

Avec Biden à la barre, un candidat chargé de toutes les faiblesses, et plus encore que celles qui grevèrent Hillary Clinton il y a quatre ans, l’élite démocrate a décidé de relancer exactement la même campagne. Comme alors, ils se focalisent sur les failles de Trump et s’efforcent de ramener dans leurs filets des personnalités républicaines et des militants de sa base. Et pourtant, le parti sait combien sa position est précaire car les accents rooseveltiens de Biden pour présenter sa présidence sont clairement du pipeau !

Face à un Trump qui trompette sans complexe son projet de travailler jusqu’à la victoire, le manque d’enthousiasme des partisans de Biden, comparé à l’enthousiasme qui anime ceux de Trump, et la pandémie qui éloignera les électeurs des bureaux de vote, sont de lourds handicaps. L’élite du parti est bien consciente que le faible niveau d’activité à la base de ses sections et la profonde méfiance ou la totale indifférence de ses électeurs à l’égard de leur candidat pourraient ruiner ses chances. Mais toute autre approche supposerait une politique qui les couperait des deux groupes auxquels elle tient vraiment : les électeurs conservateurs et les firmes donatrices. Dans le spectacle donné le 17 août 2020, toutes ces tensions crevaient l’écran !

Ses organisateurs semblaient décidés à redoubler la mise face aux plaintes des progressistes et des courants à leur gauche contre la direction du parti de ces quatre dernières années avec un total manque de substance et une rhétorique vide basée sur la décence, l’empathie, la promesse de restaurer l’âme du pays.

On a eu le récit sans fin des errements de Trump ! Les lamentations contre le sortant Trump à virer du pouvoir se réfèrent à celui qui était en réalité la vedette de l’émission, donc la motivation principale du vote Biden, comme il le fut déjà en 2016 avant d’être élu ! Moralité : Biden a été visiblement un second couteau !

Tôt dans la soirée intervenait, John Kasich, ancien gouverneur républicain de l’Ohio de 2011 à 2019, que ses guerres contre les syndicats et les militants pour le droit à l’avortement classent à l’extrême droite de son parti. Il y a à peine quatre ans, le Parti démocrate le détestait officiellement.

Que venait-il donc faire à la convention démocrate, alors même que l’aile gauche du parti, en pleine expansion, manquait cruellement d’orateurs, de même que les musulmans et les communautés latinos ?

John Kasich était là pour rassurer l’électorat conservateur : “Ils craignent un brusque virage à gauche de Joe qui les laisserait sur le carreau. Je ne crois pas cela. Personne ne peut bousculer Joe !”

Le fait est que le parti s’éloigne de ses engagements politiques et les vagues formulations de Biden concernant son éventuelle évolution ne sont rien d’autre que poudre aux yeux. Le parti fait alors donner de la voix à quelques ténors progressistes pour supplier sa gauche et les jeunes électeurs de ne pas lâcher Biden !

Bernie Sanders a renoncé à soutenir ses idées et il a présenté les raisons de voter Biden, non pas en développant le danger d’une victoire de Trump, mais en résumant les engagements de Biden, le salaire minimum à 15 dollars et l’école maternelle universelle dès 3 ans. “Si Donald Trump est réélu, tous les progrès que nous avons réalisés seront menacés. Mes amis, le prix de l’échec est trop élevé pour être imaginé.”

Michelle Obama a parlé au secteur de la coalition démocrate le plus éloigné de Biden, exhortant les électeurs à “voter comme nous l’avons fait en 2008 et 2012 et à témoigner à Joe Biden la même passion et le même espoir“, reconnaissant que Joe n’est pas parfait : “Il n’est pas temps de lui refuser nos votes en signe de protestation ou de s’amuser à voter pour des candidats qui n’ont aucune chance de gagner“.

Michelle ne parvint même pas à formuler un argumentaire politique en faveur de Biden, mais s’est bornée à énumérer toutes les 40 secondes, chacune des choses que Biden veut pour les enfants du pays, comme d’aller dans une bonne école, de pouvoir consulter un médecin ou de vivre sur une planète saine

Hussein Obama s’adresse aux gens qui se sont investis en 2008 parce qu’il leur avait promis des changements de fond, même s’il fit preuve de malhonnêteté pendant tout ce temps. Mais ils ne se sentent pas attirés par Biden qui, comme Clinton en 2016, promet que rien ne changera fondamentalement. Le parti qui harcèle ses propres électeurs est souvent le fossoyeur de sa défaite électorale. Le Parti démocrate croit qu’aussi longtemps que Trump continue de rater la lutte contre la pandémie, cela n’aura guère d’importance.

Les démocrates sermonnent leurs propres électeurs dans l’espoir d’éviter l’échec et ils font la cour aux républicains, le Grand Old Parti qui prend soin de sa base, quand l’élite démocrate n’aime pas la sienne.

Le point : Biden veut tourner la page de la peur ! Il a clôturé la convention démocrate croyant faire de Donald Trump le président d’un seul mandat. Il se pose en champion d’une famille démocrate (faussement) plus unie qu’en 2016 : “L’actuel président a drapé l’Amérique dans les ténèbres trop longtemps. Trop de colère, trop de crainte, trop de divisions. Je serai un allié de la lumière et pas des ténèbres” (socialistes !)

Sillonnant l’Amérique pour occuper le terrain, Donald Trump, 74 ans, s’est rendu en Pennsylvanie :

La survie de notre pays est en jeu. Ces gens sont devenus fous. Si vous voulez une vie sous une présidence Biden, imaginez les ruines fumantes de Minneapolis, l’anarchie violente de Portland et les trottoirs tachés de sang de Chicago dans toutes les villes d’Amérique !” Donald Trump a répliqué à Hussein Obama :

Regardez comme il était mauvais, à quel point il fut un président inefficace !”

Adrien Jaulmes, Le Figaro : Joe Biden accepte l’investiture démocrate et appelle l’Amérique à sortir de l’obscurité (socialiste !) Donald Trump était clairement désigné comme l’adversaire et la source de tous les maux dont souffre l’Amérique. Ce moment mis à part, Biden est resté loin de la caricature du vieillard sénile et de la marionnette entre les mains de l’aile radicale du parti. Il s’est posé (en paroles) en défenseur des valeurs américaines, selon lui bafouées par l’actuel président. Et la menace croissante du changement climatique !

Après plusieurs tentatives malheureuses (la première remontant à 1987), Biden devient à 77 ans le candidat (de l’échec des démocrates) le plus âgé à briguer la présidence des États-Unis. Mais la convention n’est pas la partie la plus difficile de la campagne. Le candidat si souvent malheureux est resté ambigu pour (croire) s’adresser à tous les Américains. Mais Trump reste un adversaire particulièrement pugnace !

20minutes.fr : Convention démocrate : Dans un réquisitoire sanglant, sévère et implacable, l’afro-américain Hussein Obama accuse Trump de menacer la démocratie ! Ben voyons ! TAKAYCROIRE !

Jamais, un ancien président afro-américain n’avait si violemment attaqué son successeur, accusant Trump de menacer la démocratie et de servir ses propres intérêts. Hussein Obama, l’ancien président afro afro-américain a loué la mobilisation (et les violences ?) des Américains contre le racisme, insistant : “Black lives matter. Not more, but not less” (la vie des noirs a de l’importance, pas plus mais pas moins).

Bd Voltaire.fr : Barack Obama, l’assurance défaite de Joe Biden. Le tir groupé effectué par Hussein et Michelle contre Donald Trump à la convention démocrate est la preuve que ce couple (afro-américain) a pris conscience de la mauvaise posture de Joe Biden dans la campagne pour la présidentielle américaine.

Michelle Obama proclame que Trump fait preuve d’un manque total d’empathie, rapporte Le Monde (de gauche anti-Trump), quand Hussein Obama affirme que Donald Trump n’a jamais pris le job de président au sérieux ! Empathie, on y est, le mot préféré des gauchistes, le mot pour faire croire au malheureux qu’on souffre autant que lui de son malheur, le mot symbole de l’hypocrisie (socialiste qui méprise les pauvres !).

C’est parce que Hussein n’a pas fait le job que le mouvement #BlackLivesMatter a été créé durant sa présidence, c’est parce qu’il n’a pas fait le job face aux islamistes que Daech et Boko Haram ont prospéré, c’est parce qu’il n’a pas fait le job que les islamistes ont décapité des innocents lors de sordides vidéos, c’est, finalement, parce que Hussein n’a pas fait le job que Trump a été élu ! Donald Trump ne serait pas à Maison-Blanche si (l’afro-américain) n’avait pas été président ! Si Obama veut faire perdre Biden, qu’il continue d’attaquer Trump, ça mobilise les gens qui n’oublieront jamais les mauvais souvenirs des années Obama !

Marc, jforum.fr : Harris, Omar et la grande marche démocrate vers l’extrême-gauche ! La décision de nommer Kamala Harris candidate à la vice-présidence n’a à voir qu’avec une seule chose : la politique de l’identité et des minorités quand la représentante Ilhan Omar a remporté sa primaire, garantissant son retour au Congrès pour un second mandat. Mais en réalité, la victoire d’Omar est bien la plus importante.

Kamala Harris est originaire de Californie, un État progressiste du bleu le plus profond. En tant que progressiste et riche originaire du nord de la Californie, Harris a peu de capacité à mobiliser de nouveaux partisans dans des endroits comme Detroit ou Pittsburgh. L’année dernière, lorsque Harris est entrée dans les primaires présidentielles démocrates, elle a bénéficié du soutien enthousiaste des médias et des donateurs progressistes aux poches profondes. Malgré cela, elle n’a pas réussi à gagner un soutien pour sa campagne, même dans son État d’origine. Alors que les médias progressistes qualifient Harris de modérée, depuis son élection au Sénat en 2016, Harris a accumulé l’un des records de vote les plus radicaux à la Chambre haute.

Elle soutient la révocation de toutes les restrictions sur les avortements. Elle soutient les restrictions sévères sur le droit de porter des armes. Elle soutient l’interdiction du gaz de schiste et la fin de l’exploration énergétique sur les terres fédérales. Les positions extrêmes de Harris la rendent incapable de gagner des votes dans des endroits comme la Pennsylvanie, l’Ohio et le Michigan. Elle semble être plus un boulet qu’un atout pour la tentative de Biden de gagner ces États cruciaux. Biden l’a choisie pour sa politique identitaire !

Alors que les progressistes sont plus susceptibles d’être athées que les conservateurs, ils vouent une véritable foi en la politique. Et l’une des choses qu’ils sanctifient est la politique identitaire. Biden a choisi Harris, non pour les votes qu’elle peut apporter, mais pour le soutien de la base démocrate. Biden l’a choisie parce qu’elle est une femme plutôt qu’un homme et parce qu’en tant que fille d’un père qui a immigré en Amérique depuis la Jamaïque et d’une mère qui a immigré d’Inde : Harris n’est pas blanche ! Ben voyons !

Biden ne sanctifie pas la politique identitaire et certaines des déclarations foireuses de Biden lors de la campagne électorale ont été qualifiées de racistes. Il a demandé à un journaliste noir s’il était un junkie et il a dit que, à quelques exceptions près, tous les Noirs pensent de la même manière. Ben voyons !

Biden est une girouette. Depuis plus de 40 ans, Biden a constamment adapté ses convictions aux vents dominants. Lorsque le parti s’est opposé à l’avortement, Biden était un catholique anti-avortement.

Maintenant que son parti soutient l’avortement illimité, Biden le suit. À l’époque, Biden s’est opposé à l’immigration illégale. Maintenant que le Parti démocrate a adopté les frontières ouvertes, Biden soutient la gratuité des soins de santé et de la scolarisation des immigrés clandestins. Et tout à l’avenant !

Harris est taillée dans le même bois. Ses opinions évolutives sur Israël le démontrent clairement.

Harris était considérée comme la candidate la plus pro-israélienne parmi les femmes que Biden envisageait de choisir comme candidate à la vice-présidence. Harris, dont le mari est Juif, a toujours refusé de condamner les représentants Omar et Tlaib pour leurs déclarations antisémites répétées.

Harris a averti la communauté juive de ne pas protester contre l’antisémitisme d’Omar, affirmant que l’attention portée à la députée Omar pourrait la mettre en danger. Le fait que l’antisémitisme effréné d’Omar mettait en danger les Juifs américains ne faisait apparemment aucune impression sur Harris.

En tant que Procureur Général de Californie de 2011 à 2017, Harris a reçu de nombreuses demandes de poursuites contre les universités publiques de Californie pour avoir permis à leurs campus de devenir des environnements hostiles pour les étudiants juifs. Harris a ignoré toutes leurs supplications.

Le dévouement servile que Biden et Harris ont démontré à la base de leur parti est un présage dangereux pour les Juifs américains, car les organisations qui composent une grande partie de cette base sont ouvertement antisémites. Un aspect important de la victoire d’Omar est qu’elle témoigne de la montée rapide du pouvoir de la gauche radicale au sein du Parti démocrate. À la lumière de tout cela, il va de soi que la victoire d’Omar était bien plus significative que la sélection par Biden de Harris comme vice-présidente.

Biden et Harris, girouettes démocrates tous les deux, ne dirigeront pas le parti. Ils suivront la base et les donateurs du parti qui mèneront encore plus loin les démocrates dans leur grande marche vers l’abîme de la gauche antisémite et radicale. (source : Caroline Glick, son article a été publié dans Israel Hayom).

Moralité : Une éradication nécessaire de Biden et Harris, girouettes démocrates indigénistes est sûrement devenue quasiment probable ! Tout ça va laisser des traces chez les démocrates !

Marguerite Yourcenar : “Je condamne l’ignorance qui règne en ce moment dans les démocraties” !

C’est dire si tout cela est fait avec le soutien de Hussein Obama, et avec le plus grand sérieux !

Que peut donc attendre le peuple américain qui travaille dur de ces gens-là, ces Biden et Harris, ces girouettes démocrates indigénistes responsables de l’ensauvagement de l’Amérique, et de Barack Hussein Obama, ce démocrate socialiste opportuniste incompétent, mystificateur, lâche et manipulateur ?

Assurément, Donald Trump va sonner la fin de la récréation des girouettes démocrates indigénistes !

Thierry Michaud-Nérard

image_pdfimage_print

28 Commentaires

  1. Joël Biden islamo-gauchiste?
    Je ne sais pas ce que vous prenez mais c’est de la bonne

    • Le titre initial était : Sleepy Joe veut “sortir l’Amérique des ténèbres” démocrates islamo-gauchistes ? avant modification par la rédaction !

  2. sortir l’Amérique des ténèbres en la noyant dans une MERDE NOIRE…J’avoue avoir du mal à comprendre…TANT MIEUX!!

  3. Si biden etait une chanson, ce serait ” j’suis bidon” d’Alain Souchon.

  4. Le parti démocrate est un parti de pédophiles. Epstein et sa copine maxwel ont toujours voté pédo donc démocrates. Étonnant non?

      • De toute façon ce pédo notoire a débarrassé le planché (sans doute y’a t’il été un peu aidé), triste fin pour un multi milliardaire de la communauté, lâché comme une merde. Il est vrai que dans ce milieu…

  5. joe biden n’a qu’une seule phrase audible:
    votez pour moi, je suis le gentil
    ne votez pas pour trump, c’est un méchant

    • Pas de chance pour lui, dans notre monde actuel tout est inversé.
      Donc…

  6. Arrêtez d’écrire n’importe quoi. Joe Biden (Bidon pour les intimes) n’est pas un gauchiste. Et pour être président des Younaïteud states of Amerika : il faut être Sioniste avant tout, quelque soit l’étiquette (républicain ou démocrate)

    • Le titre initial était : Sleepy Joe veut “sortir l’Amérique des ténèbres” démocrates islamo-gauchistes ? avant modification par la rédaction !

  7. Une vague d’indignation secoue ce vendredi Israël après le viol présumé d’une adolescente de 16 ans par un groupe d’une trentaine d’hommes dans un hôtel de la ville balnéaire d’Eilat.

  8. Islamo-gauchiste !!! Finalement , tous les politiques qui ne partagent pas votre haine d’athée islamophobe sont désignés par cette expression. Vous n’avez que ce mot à la bouche, trouvez autre chose.

    • Le titre initial était : Sleepy Joe veut “sortir l’Amérique des ténèbres” démocrates islamo-gauchistes ? avant modification par la rédaction !

  9. “Nous étions au bord du gouffre ! Avec moi, nous ferons un grand pas en avant !”

    Cet imbécile ne se rend pas compte qu’il vient de dire qu’il va précipiter les Etats-Unis dans le gouffre.

    Ca me rappelle unecaricature.

  10. Ces ordures de démocrates tiennent le même discours mensonger et mythomane que les socialistes français :des promesses jamais tenues mais avec le seul but de s’en mettre plein les poches pour eux ,leurs maîtresses ou amants et leurs proches. Des escrocs en délire ,comme la hystéro Clintoris ,emplie de haine pour avoir perdu les dernières élections. Des traîtres , prêts à vendre leurs pays au plus offrant (voir qui sont les sponsors de la Clinton lors des dernières élections) ,des grands malades qui n’ont aucun respect pour leurs pays et le peuple et dont le seul but et de gonfler le compte en banque de leur fondation pourrie qui ne sert à rien sinon a blanchir de l’argent sale.Vive le président Trump ! En novembre je passerai la nuit à regarder les élections et prier pour qu’il gagne .

  11. Un pays en lequel le nombre de lieux de cutes augmente est un pays qui retourne vers les ténèbres médiévales.
    Et cette reflexion ne vaut pas que pour les USA!

    • ce sera fait dans deux mois, vous n’entendrez plus parler de ce biden
      rassurez vous potes des quartchiers

    • On peut quand même se moquer d’un pseudo candidat pédophile, grabataire et sénile.

Les commentaires sont fermés.